Occurences de l'expression

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pour DANCOURT, Florent Carton dit

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L'OPÃ‰RATEUR BARRY (1702)

Il y a ici nombre d'honnêtes gens, que tu étourdis de ton babil. (Prologue, scène 3, MADAME DE CHANVALLON)
Il y a quatre-vingt-treize ans que je faisais du bruit de diable à Paris, n'y a-t-il personne ici qui se souvienne de m'y avoir vu ? (Prologue, scène 4, MONSIEUR BARRY)
Mais, vous autres, belles Dames, vous n'avez pas besoin de mes secrets, je le sais, je le vois, ce réduit est aujourd'hui le centre des charmes et de la beauté, et je vois bien qu'il faut attendre un autre jour pour le débit de mes trésors, et me borner présentement au seul honneur de vous donner en impromptu le divertissement d'une espèce de petite Farce, telle que j'en faisais autrefois représenter assez près d'icI. Nous y joindrons un petit Ballet, où tout le monde entrera masqué. (Prologue, scène 4, MONSIEUR BARRY)
Mais voici le Capitan Spacamonte : ce fanfaron-là ne me plaît point. (Acte 2, scène 1, GARGUILLE)
Voici la maison de Zerbinette, elle est de ma connaissance, et cette petite vieille Italienne en sait beaucoup. (Acte 2, scène 3, GARGUILLE)
Elle va venir ici, allez-vous-en. (Acte 2, scène 6, ZERBINETTE)
Débarrasse-nous de ce fanfaron de Capitan, tâche de faire en sorte que ma fille prenne de l'amour pour quelque autre, afin qu'elle contredise sa mère, sans que je paraisse me mêler de cela, moI. Ôte-toi de là, toi, gros coquin, que viens-tu faire ici ? (Acte 2, scène 7, GARGUILLE)
Gares, gares, gares, voici quelqu'un qui vient interrompre la conversation. (Acte 2, scène 11, JODELET)
La peste m'étouffe si j'en fais rien : je couche ici. (Acte 2, scène 15, SPACAMONTE)

LES AGIOTEURS (1710)

Oui, mais écoute donc, Lucas, je suis ici dans une bonne maison, et avec une jeune Maîtresse, qui m'a promis de faire ma fortune. (Acte 1, scène 1, CLAUDINE)
Mais voici queuqu'un, qui est-ce ste parsonne-là. (Acte 1, scène 1, LUCAS)
En vérité, Claudine, vous vous moquez de moi : pour aller à vingt pas d'ici, vous êtes deux heures à revenir : sans la femme de chambre de ma tante, je ne serais pas encore habillée. (Acte 1, scène 2, SUZON)
J'ai été quatre ans charretier d'un laboureur, ça est pargué bian plus difficile que de mener un carrosse ; il faut prendre garde à ce qu'on fait, aller droit en besogne : mais un carrosse, ce n'est pas de même. (Acte 1, scène 2, LUCAS)
J'ai à te parler Claudine, j'ai confiance en toi : mène ton cousin dans la cuisine, et le fais déjeuner ; tu viendras me retrouver ici... (Acte 1, scène 2, SUZON)
Je vous avais fait prier de passer ici en allant au Châtelet. (Acte 1, scène 6, SUZON)
Que vous descendez ici de bon matin. (Acte 1, scène 7, SUZON)
Il est difficile d'avoir l'un sans l'autre. (Acte 2, scène 1, DUBOIS)
Paix, tais-toi, le voici. (Acte 2, scène 2, TRAPOLIN)
Un garçon de famille de ma Province, qui vient ici chercher de l'emploi. (Acte 2, scène 3, TRAPOLIN)
Il faut bien faire quelque chose pour ses amis ; et puis je vous dirai que j'ai ici en nantissement toute leur vaisselle d'argent, les meilleurs effets de leur magasin, dont ils n'ont point de reconnaissance ; je leur prête mon papier sous le nom d'un autre, afin d'être en droit d'avoir mes sûretés. (Acte 2, scène 4, TRAPOLIN)
Une Demoiselle, qui vient quelquefois ici, demande à vous parler. (Acte 2, scène 5, LE LAQUAIS)
Oui : mais vous l'allez faire sous seing privé, ne vous avisez pas d'anticiper la noce. (Acte 2, scène 5, TRAPOLIN)
Pardonnez-moi, Monsieur, me voilà, et voici Monsieur Craquinet, qui vient lui-même vous rendre réponse de l'affaire qu'il a faite. (Acte 2, scène 7, DUBOIS)
Mais, mais, mais, vous êtes fort imprudent de vous trouver en plein jour ici, et à l'heure qu'il y vient le plus de monde : je serais fort fâché qu'on me vît chez vous, moi, et comme vous savez nous nous faisons tort l'un à l'autre. (Acte 2, scène 7, TRAPOLIN)
Pendant que vous ne faites rien ici, Monsieur Dubois, allez-vous en recevoir ces deux lettres de change à leur adresse. (Acte 2, scène 7, TRAPOLIN)
Qui vous amène ici aujourd'hui chez moi, mon cher ami ? (Acte 2, scène 8, TRAPOLIN)
Je m'en réjouis, et vous en félicite ; jé suis Dargentac, moi. (Acte 2, scène 9, DARGENTAC)
Comme jé suis avancé dans la mienne, et que vous marchez à pas de Géant dans la vôtre, c'est ce qui fait que je parle ici confidemment devant vous autres. (Acte 2, scène 9, DARGENTAC)
Voici lé fait, monsieur Trapolin. (Acte 2, scène 9, DARGENTAC)
À deux heures jé me rends ici, muni d'espèces. (Acte 2, scène 9, DARGENTAC)
Il y a gros jeu chez la Comtesse ; faute de mille livres de papier que tu pourrais me donner dès à présent, je manquerai peut-être un retour de cette capricieuse fortune, qui me guette dans cet instant-là, pour me faire faveur : j'ai cela dans l'esprit, donne-moi tout à l'heure mille francs, tu m'en apporteras demain deux autres, et je te ferai une délégation de quatre, parce qu'il faut attendre. (Acte 2, scène 13, LA BARONNE)
Vous m'attendez ici l'un et l'autre. (Acte 3, scène 2, SUZON)
Je viens de rencontrer un jeune homme qui sort d'ici de bien bonne humeur. (Acte 3, scène 6, MADAME MALPROFIT)
Ce ne sera pas ici le plus mauvais article de la journée. (Acte 3, scène 7, TRAPOLIN)
Voici une drôle de maison, on ne trouve personne à qui parler : oh dame, je suis un drôle de corps aussi, moi ; je vais toujours en avant quand rien ne m'arrête ; et si je trouvais la Caisse ouverte.... (Acte 3, scène 9, DAUDINET)
Ne serait-ce point ici notre jeune sot, Monsieur Durillon ? (Acte 3, scène 9, TRAPOLIN)
Prenez vingt mille francs, cela vous rendra quelque plus de moitié, et avec cela, de plus de trois mois d'ici vous n'aurez pas besoin de nouveaux expédients. (Acte 3, scène 9, DURILLON)
Diantre soit fait de l'homme dé mé venir, relancer jusqu'ici ; les Touffignac sont incommodes. (Acte 3, scène 13, DARGENTAC)
En voici un qui est diablement léger... (Acte 3, scène 14, DUBOIS)
Ma foi je vous défie de le rattraper : mais il dit que vous ne vous impatientiez pas ; qu'il ne va qu'ici près jusqu'à Gennes seulement, et qu'il reviendra le plutôt qu'il pourra pour achever vos comptes. (Acte 3, scène 15, LE FIACRE)
Il n'y avait heureusement dedans que mes habits, mon argent et mon linge, et les papiers du procès qui m'amène ici étaient à l'arrière de ma selle, dans une petite valise : nous ne perdons guère ces effets-là de vue nous autres. (Acte 3, scène 19, CHICANENVILLE)
Fort à votre service ; bon gentilhomme de très ancienne race, je m'appelle Monsieur de Chicanenville ; et j'ai tant de parents dans le pays, qu'on évoque ici mes affaires. (Acte 3, scène 19, CHICANENVILLE)
Pardonnez-moi, il est allé au Café ici-près rejoindre son Avocat, ne perdons point de temps, nous les trouverons. (Acte 3, scène 21, DUBOIS)
Demeurez ici, Jasmin, et prenez bien garde à tous ceux qui viendront me demander, qu'ils m'attendent, ou venez m'avertir au café, chez Mustapha. (Acte 3, scène 21, TRAPOLIN)
Allez-vous-en lui dire de venir ici, j'ai à lui parler, et je l'attends. (Acte 3, scène 22, ZACHARIE)
Le vela tout seul, par bonheur, j'en ferons plus aisément notre affaire ; et il vaut mieux s'adresser à stici qu'à l'autre. (Acte 3, scène 23, CLAUDINE)
Les assurances que votre belle bouche m'a données de notre mariage, augmente mon amour, et ma félicité serait parfaite... (Acte 3, scène 23, ZACHARIE)
Sa simplicité me charme. (Acte 3, scène 23, ZACHARIE)
Augmentent mon amour ; et ma félicité serait parfaite, mon adorable Suzon. (Acte 3, scène 24, ZACHARIE)
Et les fatigantes sollicitations de mon imbécile de parrain... (Acte 3, scène 24, ZACHARIE)
La pluralité des voix n'est ni pour l'un ni pour l'autre, Monsieur Zacharie ; voici pour qui elle se déclare, aussi bien que mon coeur. (Acte 3, scène 26, SUZON)

LES ENFANTS DE PARIS (1699)

Quoi ! Vous causez ici toute seule en cachette ? v.9 (Acte 1, scène 2, MADAME BRICHONNE)
Mais comment vous en va ? Qui vous amène ici ? v.13 (Acte 1, scène 2, FINETTE)
Vous n'appréhendez pas de paraître ici ? v.92 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
Qu'en son absence ici ; nous ne vous avons vu v.129 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
Et venez ici seulement, v.193 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
De revenir ici, de voir, v.202 (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
Votre félicité pour lors sera parfaite. v.273 (Acte 1, scène 6, FINETTE)
Pour réussir ici, ce que je vous demande, v.290 (Acte 1, scène 6, FINETTE)
Voici, je crois, v.304 (Acte 1, scène 6, ANGÉLIQUE)
Le voici. De Monsieur Harpin v.402 (Acte 1, scène 7, FINETTE)
Voici ce qu'il faut que tu saches. v.426 (Acte 1, scène 7, FINETTE)
Voici Monsieur Harpin. v.457 (Acte 1, scène 7, MERLIN)
De rencontrer ici ce maroufle fieffé. v.458 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR HARPIN)
Votre Dame Brichonne est venue ici. v.506 (Acte 1, scène 9, FINETTE)
Le voici. Son chagrin vient naturellement v.527 (Acte 1, scène 9, FINETTE)
Voici, Monsieur, cet Amant langoureux, v.670 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
Dans une heure d'ici je vous attends. v.719 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR HARPIN)
Deux fois ici je serai donc venu, v.747 (Acte 2, scène 5, VALÈRE)
Allons? Mais voici justement v.765 (Acte 2, scène 6, FINETTE)
Je vous apporte ici deux mille écus tournois, v.811 (Acte 2, scène 8, MERLIN)
Çà, votre soeur est-elle ici ? v.899 (Acte 2, scène 10, MADAME ARGANTE)
La voici. v.904 (Acte 2, scène 10, CLITANDRE)
Voici mon père. v.942 (Acte 2, scène 11, CLITANDRE)
Dès aujourd'hui doivent ici venir v.1041 (Acte 2, scène 12, MONSIEUR HARPIN)
Elle doit être ici dans un moment : v.1076 (Acte 2, scène 13, CLITANDRE)
Il est ici, marchez, courez v.1135 (Acte 3, scène 1, FINETTE)
Quoi ! Madame Brichonne ici ? Qui vous amène ? v.1197 (Acte 3, scène 5, MERLIN)
Ne viendriez-vous pas ici nous déceler ? v.1201 (Acte 3, scène 5, MERLIN)
Que faisait-elle ici ? Que diantre pourrait-ce être ? v.1206 (Acte 3, scène -, MERLIN)
J'ai rencontré Madame à trente pas d'ici. v.1225 (Acte 3, scène 8, MADAME BRICHONNE)
Mais un moment ici, vous voulez bien attendre ? v.1236 (Acte 3, scène 8, MADAME BRICHONNE)
Vous me faites ici jouer un personnage v.1244 (Acte 3, scène 9, CLIMÈNE)
Voici votre amoureux. v.1259 (Acte 3, scène 9, FINETTE)
Paix le voici. v.1332 (Acte 3, scène 12, MERLIN)
Climène ici ? v.1334 (Acte 3, scène 12, MERLIN)
Voici Mademoiselle Angélique. v.1371 (Acte 3, scène 13, FINETTE)
Que vous voyez ici votre Maîtresse ; v.1466 (Acte 3, scène 17, FINETTE)
Difficile à connaître, il est sans signature. v.1488 (Acte 4, scène 1, FINETTE)
Laissez-moi, voici justement v.1513 (Acte 4, scène 2, FINETTE)
De m'accompagner jusqu'ici. v.1516 (Acte 4, scène 3, MONSIEUR HARPIN)
Elle n'est pas difficile à se rendre. v.1602 (Acte 4, scène 3, MONSIEUR HARPIN)
Paix, le voici, taisons-nous. v.1687 (Acte 4, scène 4, FINETTE)
Va causer bien du trouble ici. v.1723 (Acte 4, scène 6, FINETTE)
Je voudrais bien, Monsieur, qu'il ne fût point ici. v.1882 (Acte 5, scène 2, MADAME BRICHONNE)
Qu'elle-même aujourd'hui viendrait peut-être ici. v.1948 (Acte 5, scène 5, FINETTE)
Ah ! Ma soeur, nulle joie ici-bas n'est parfaite ; v.1967 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR HARPIN)
Voici Merlin qu'en hâte ici je vous amène v.2002 (Acte 5, scène 8, FINETTE)

LES VACANCES (1697)

Le voici, je pense. (Acte 1, scène 1, LÉPINE)
Va ; quoique je n'eusse encore cette Terre-ci qu'à bail judiciaire, quand tu revins de Flandres l'année passée, j'ai trouvé le moyen de t'en faire le Procureur Fiscal : m'en voilà maintenant Seigneur, par la grâce de Dieu et du Châtelet ; tu es mon filleul, tu as de bons principes, je te pousserai, tu iras loin sur ma parole. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR GRIMAUDIN)
J'en attends ici trois ou quatre, que j'ai priés de me venir voir avec leurs familles pendant les Vacances. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR GRIMAUDIN)
J'ai des vues bien judicieuses. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR GRIMAUDIN)
La voici, je vais sur le champ lui proposer. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR GRIMAUDIN)
Qu'est-ce que c'est donc, Monsieur, est-ce vous qui faites venir ici une Compagnie de Gens-d'armes, pour prendre possession de votre terre avec plus d'éclat ? (Acte 1, scène 4, MADAME LA ROCHE)
Ils sont plus de cinquante hommes à cheval, qui logeront cette nuit dans le village : ils disent qu'ils se sont détournés de trois lieues pour passer par ici. (Acte 1, scène 4, MADAME LA ROCHE)
C'est quelque Officier de votre connaissance, apparemment, qui vient vous rendre visite pour honorer votre prise de possession. (Acte 1, scène 4, LÉPINE)
Son amour est autorisé de l'aveu de mon père, et il vient ici pour m'épouser : le voilà qui arrive. (Acte 1, scène 7, ANGÉLIQUE)
Hé bien, faites, ce sera sa faute ; et s'il ne faut que cela pour le contenter, je ne vois pas que la chose soit bien difficile. (Acte 1, scène 7, MADAME LA ROCHE)
Non, c'est un jeune Officier, qui venait au Couvent où j'étais, voir une de ses parentes. (Acte 1, scène 7, ANGÉLIQUE)
Ce jeune Officier-là est bien fait, je gage ? (Acte 1, scène 7, MADAME LA ROCHE)
Voici la femme du Substitut, Madame Perrinelle. (Acte 1, scène 7, MADAME LA ROCHE)
Voici Monsieur Grimaudin, madame. (Acte 1, scène 9, LE GREFFIER)
Il y a déjà de ces Messieurs à la chasse, des Dames dans le Parc, le reste joue à l'ombre dans la Salle de mon Château, et vous voilà encore ici, vous autres ? (Acte 1, scène 10, MONSIEUR GRIMAUDIN)
Entre Seigneurs hauts Justiciers, on est obligé à certains devoirs l'un envers l'autre. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR GRIMAUDIN)
Monsieur, voici de belles affaires. (Acte 1, scène 11, LÉPINE)
Vraiment, cela ne se fait point ; et ces officiers-là ne savent pas... (Acte 1, scène 12, MONSIEUR GRIMAUDIN)
N'allez pas ici me redemander... (Acte 1, scène 14, LÉPINE)
Que fais-tu ici ; y as-tu quelque connaissance ? (Acte 1, scène 14, CLITANDRE)
Mais que venez-vous faire ici, Monsieur ? (Acte 1, scène 14, LÉPINE)
Palsanguenne, Monsieu l'Officier, vous devez être bian content de nous : je venons de disposer les billets ; et en conséquence de vos bonnes intentions pour notre nouviau Signeur, conformément à celles que j'avais itou pour ly-da, de vos cinquante hommes, j'en ons déjà logé trente cinq, tant dans son Château que dans sa farme ; ils seront morgué là à bouche que veux-tu : c'est un fesse-mathieu qui a de quoi, ne vous boutez pas en peine. (Acte 1, scène 15, LE MAGISTER)
Et à propos de ça : j'ai une petite grâce à vous demander, s'il vous plaît, vous nous ferez l'honneur de demeurer ici tout l'hiver, peut-être ? (Acte 1, scène 15, LE MAGISTER)
Baillez-moi cette permission-là, Monsieur l'Officier, je vous en prie. (Acte 1, scène 15, LE MAGISTER)
À propos, ne seriez-vous point un des Officiers de ces canailles qui sont ici, par parenthèse ? (Acte 1, scène 16, MADAME PERRINELLE)
Je ne m'attendais point à trouver ici cette vieille folle-là. (Acte 1, scène 17, CLITANDRE)
La compagnie que mon père a fait venir ici, se divertira mal ; et sa prise de possession ne sera pas tranquille. (Acte 1, scène 18, ANGÉLIQUE)
Voilà ce jeune Officier dont je te parlais, qui venait au Couvent. (Acte 1, scène 18, ANGÉLIQUE)
C'est le même hasard qui l'a conduite ici, qui vous y amène. (Acte 1, scène 18, MADAME LA ROCHE)
Je crois, ma foi, qu'elle n'a point menti ; et voici une vivante qui ressemble à ma soeur : mais non, si fait, le diable m'emporte, c'est elle-même. (Acte 1, scène 19, MAUGREBLEU)
Vous vous connaissez tous, vous vous rencontrez tous ici, vous vous entendez tous comme larrons en foire. (Acte 1, scène 19, MAUGREBLEU)
Au contraire, vraiment nous prétendons que tout le monde le sache, et que Monsieur votre père qui est ici en soit informé des premiers. (Acte 1, scène 19, MADAME LA ROCHE)
Mon père qui est ici ? (Acte 1, scène 19, MAUGREBLEU)
Qu'est-ce qu'il ferait ici, mon père ? (Acte 1, scène 19, MAUGREBLEU)
J'étais ici dans le dessein de troubler son acquisition : mais je vous assure que bien loin de faire la moindre démarche... (Acte 1, scène 19, CLITANDRE)
Bon tant mieux, grand merci, beau-frère : il n'est morbleu rien tel pour faire fortune que le canal des femmes ; et combien de grands Officiers seraient très subalternes, s'ils n'avaient eu de jolies soeurs ou de jolies cousines ? (Acte 1, scène 19, MAUGREBLEU)
Le voici avec un de ses confrères, je pense. (Acte 1, scène 20, LÉPINE)
Il ne sera pas nécessaire que vous en veniez à ces extrémités-là, mon parrain : et voilà un des premiers Officiers de la Compagnie qui vient ici vous assurer... (Acte 1, scène 21, LÉPINE)
Oui, mon Capitaine l'épouse, je la lui ai donnée en mariage ; l'Aumônier du Régiment, qui est ici, en va faire la cérémonie. (Acte 1, scène 21, MAUGREBLEU)
Ah, voici qui est admirable. (Acte 1, scène 21, MONSIEUR GRIMAUDIN)
Si vous ne faites pas les choses de bonne grâce, vous ne jouirez pas tranquillement de la Terre ; ils sont venus ici pour vous faire déguerpir, je vous avertis. (Acte 1, scène 21, LÉPINE)
J'apprends ici de jolies choses, mademoiselle ma fille. (Acte 1, scène 23, MONSIEUR GRIMAUDIN)
Écoute, ne raille pas ici. (Acte 1, scène 23, MONSIEUR GRIMAUDIN)
Les voici qui viennent d'eux-mêmes. (Acte 1, scène 23, MAUGREBLEU)
Voici la Campagne faite, v.47 (Acte 1, scène 24, UNE PETITE PAYSANNE)
Voici Monseigneur Grimaudin v.68 (Acte 1, scène 24, UN PROCUREUR)
Voici Monseigneur Grimaudin v.70 (Acte 1, scène 24, LE CHOEUR)

LA DÃ‰ROUTE DU PHARAON (1693)

Que diantre venez-vous faire ici, Monsieur ? (Acte 1, scène 1, MARTON)
Non, Monsieur, un homme de qualité, un Gentilhomme étranger qui fait ici les affaires de je ne sais combien de petits Seigneurs ; c'est lui qui fait toutes leurs provisions : qui leur achètent des draps, des étoffes, des habites, et qui leur envoie toutes les modes nouvelles dès qu'elles commencent à vieillir. (Acte 1, scène 1, MARTON)
La voici, parlez-lui avec douceur, elle vous rendra raison de sa conduite ; et je suis presque sûre qu'elle vous persuadera de l'imiter. (Acte 1, scène 1, MARTON)
Venez-vous ici pour moraliser, pour me quereller : pour invectiver bourgeoisement contre mes manières ? (Acte 1, scène 2, BELISE)
Cela serait trop long à déduire, elles s'éclaireront d'elles-mêmes, mais voici Monsieur_le_Baron de Garbatacase. (Acte 1, scène 3, BELISE)
La voici, prenons ouvertement ses intérêts, et travaillons de concert avec elle pour faire réussir son mariage avec Valère. (Acte 1, scène 8, MARTON)
Je ne sais : mais il me semble que dans l'état où sont les choses, si la nouvelle est bien vraie, il devait être le premier à m'en informer, et ne pas tant attendre à se rendre ici. (Acte 1, scène 9, CELIDE)
Le voici, ma chère Marton. (Acte 1, scène 9, CELIDE)
Je vous réponds de mon coeur, Valère ; mais je ne vous réponds pas de ma mère ; je vous ai déjà dit les raisons qui jusqu'ici, je crois, l'ont rendue contraire à notre engagement. (Acte 1, scène 10, CELIDE)
Le voici qui vient tout à propos, comme si vous l'aviez mandé. (Acte 1, scène 10, MARTON)
Depuis le peu de temps que j'ai l'honneur de vous servir, je vous ai pris en affection, je suis fort content de vous ; expliquez-moi votre affaire, que je vois si elle n'est point trop difficile, et si je me ferai prier ou non. (Acte 1, scène 11, FRONTIN)
Le voici, je pense, avec ma mère. (Acte 1, scène 11, CELIDE)
Mais la jousticia, elle n'a point de politicà, Monsieur, è une brutale qui va toujours son train. (Acte 1, scène 12, MARTON)
Quelle manière de si far jousticià de la joustitià habbi sempré la spadà a la mano, lasciamo far al tempo. (Acte 1, scène 12, GARBATACASE)
Allez vous reposer dans votre cabinet, je vous avertirai quand Valère et son valet seront ici. (Acte 1, scène 14, MARTON)
Dans quelle inaction tout me paraît ici ! (Acte 1, scène 15, LA COMTESSE)
Le troupeau se rassemble à la fin ; voici déjà Clitandre, le bel esprit. (Acte 1, scène 16, LA COMTESSE)
Monsieur_le_Baron n'est point ici ; et quand il y serait, il ne taillerait point, je sais ses sentiments. (Acte 1, scène 18, BELISE)
Non, Madame, on ne jouera point ici absolument, j'en connais trop les conséquences. (Acte 1, scène 18, BELISE)
Il n'y aurait plus ici de jeu ! (Acte 1, scène 19, LE CAISSIER)
Ah, ah, voici un assez plaisant caractère d'homme. (Acte 1, scène 19, CLITANDRE)
En, voici bien une autre ? (Acte 1, scène 23, BARTOLIN)
Tu n'as jamais eu de domicile que la prison. (Acte 1, scène 25, FRONTIN)
Mais vraiment, voici une aventure qui devient sérieuse. (Acte 1, scène 25, LA MARQUISE)
Il y aurait ici un beau coup à faire. (Acte 1, scène 25, FRONTIN)
Oh parbleu, il y a ici quelque chose d'extraordinaire, et que je ne comprends pas. (Acte 1, scène 26, VALÈRE)
Ici venu de la Province, v.74 (Acte 1, scène 27, ENSEMBLE)

LES FONDS PERDUS (1686)

Doucement, Monsieur, doucement, nous sommes ici chez elle et quoiqu'elle soit sortie, elle a un certain maraud de valet bègue, qui a beaucoup de peine à parler ; mais on entend merveilleusement bien tout ce qu'on dit, et qui est toujours au guet pour écouler. (Acte 1, scène 1, MERLIN)
Remettons la partie à une autre fois j'ai pour vos affaires quelque dessein dans la tête que vous m'allez gâter, si Madame Gérante vous trouve ici. (Acte 1, scène 1, MERLIN)
Lisette conduira fort bien celle affaire, et elle est venue à bout de choses bien plus difficiles : c'est une illustre, Madame. (Acte 1, scène 2, MERLIN)
Et vous, Monsieur, point de compliments remettez, s'il vous plaît, toutes vos tendresses pour une autre saison. Il y a longtemps que nous jasons ici, il est temps de nous séparer. (Acte 1, scène 2, MERLIN)
Car, après ce que j'ai déjà fait, quand il est question d'achever, je ne prétends point demeurer ici les bras croisés. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
Cela est vrai. Mais voici Madame qui revient, il faut changer de style. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
Non, Madame : il s'est habillé le plus vite qu'il a pu, et il est venu ici pour vous voir ; mais ne vous trouvant point, il est tombé dans une mélancolie épouvantable, et il s'en est allé sans nous rien dire. (Acte 1, scène 1, MERLIN)
Pour moi, Madame, j'ai cru qu'il était de mon petit devoir de vous attendre ici pour vous faire part des agréables rêveries de mon maître. (Acte 1, scène 1, MERLIN)
Je vais le chercher, et lui dire que vous êtes ici. (Acte 1, scène 1, MERLIN)
Va t'avertir, Lisette, que Monsieur est ici : allons l'attendre dans ma chambre. (Acte 1, scène 6, MADAME GÉRANTE)
Mais voici Monsieur Oronte : montez vite dans votre chambre, et me laissez seule avec lui. (Acte 2, scène 1, LISETTE)
Voici Madame. (Acte 2, scène 2, LISETTE)
Il m'inquiète, Valère et je suis surprise qu'il ne soit point encore ici. (Acte 2, scène 4, MADAME GÉRANTE)
Monsieur Oronte est-il ici, Lisette ? (Acte 2, scène 5, MERLIN)
Que cette envie-là ne vous prenne point, Madame : vous nous donneriez ici de l'occupation. (Acte 2, scène 5, LISETTE)
Enfin, un des officiers de la maison nous a fait entrer, et nous l'avons trouvé qui se désespérait. (Acte 2, scène 5, MERLIN)
Oui, de son nouveau domicile, j'ai rencontré notre partie ; un honnête pousse-cul m'a fait la grâce de me la montrer ; car, je ne la connaissais point. (Acte 2, scène 5, MERLIN)
Mais, je te trouve bien hardi de revenir ici sans lui. (Acte 3, scène 1, LISETTE)
Il est ici avec un jeune notaire de nos amis, que nous ménageons en cas de besoin, et qui a nos affaires toutes prêtes. (Acte 3, scène 1, MERLIN)
À propos de notaire, Monsieur Oronte a tantôt passé chez le sien, et je crois qu'il doit venir ici aujourd'hui. (Acte 3, scène 1, LISETTE)
Voici de quoi l'amuser, en attendant qu'il vienne. (Acte 3, scène 1, MERLIN)
Voici le Bègue tout à propos. (Acte 3, scène 1, LISETTE)
Il doit venir ici un notaire, qui demandera Monsieur Oronte m'entends-tu ? (Acte 3, scène 2, LISETTE)
Elle serait déjà à une lieue d'ici ; j'enrage. (Acte 3, scène 3, LE-BÈGUE)
N'est-ce pas ici le logis de Madame Gérante ? (Acte 3, scène 4, LE-NOTAIRE)
Monsieur Oronte est-il ici ? (Acte 3, scène 4, LE-NOTAIRE)
Il vous dit vrai, il n'y a personne ici. (Acte 3, scène 5, LISETTE)
Monsieur Oronte m'a-t-il fait venir ici pour se moquer de moi ? (Acte 3, scène 5, LE-NOTAIRE)
Monsieur, il ne faut point faire ici tant de bruit. (Acte 3, scène 5, LISETTE)
Tais-toi, et va voir là-haut si j'y suis : voici Merlin avec Madame, il ne faut point les troubter. (Acte 3, scène 6, LISETTE)
J'ai dit à Monsieur Oronte de faire venir ici son notaire. (Acte 3, scène 7, MADAME GÉRANTE)
J'ai passé chez mon notaire, Madame, et nous l'aurons bientôt ici. (Acte 3, scène 9, MONSIEUR ORONTE)
Allons, allons, de la joie, voici de quoi est le triomphe ; allons, Monsieur, donnez-moi, que je signe, s'il vous plaît. (Acte 3, scène 10, MERLIN)
Oui, allez, Monsieur, vous n'avez plus que faire ici. (Acte 3, scène 10, MERLIN)

LA MAISON DE CAMPAGNE (1697)

Encore une fois, monsieur, si vous avez quelque considération pour elle, retournez à Paris, et qu'on ne vous voie point ici. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Tant pis ; nous ne tenons pourtant ici que pour cela, mon maître et moi ; et si vous faisiez bien l'une et l'autre, sans tant faire de façons, il enlèverait ta maîtresse, je t'enlèverais, moi : ce serait justement partie quarrée et nous vous ferions voir du pays, je t'en réponds. (Acte 1, scène 1, LA FLÈCHE)
Mais est-il possible, Lisette, que son frère ne soit point ici ? (Acte 1, scène 1, ÉRASTE)
Je vous ai déjà dit qu'il y a trois joimis qu'il est à la chasse avec de ses amis : il ne fait guère d'ordures au logis, vraiment ; et ce n'est pas sa fille seule que notre vieil avaricieux fait enrager : il n'y a personne qui ne se sente de sa mauvaise humeur ; sa femme même a bien de la peine à le mettre a la raison. Il ne veut voir personne chez lui ; ce serait lui arracher l'âme que de tuer un lapin dans sa garenne, et il se désespère autant de fois qu'il voit à sa table quelque personne d'extraordinaire. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Vous vous ennuyez donc furieusement ici ? (Acte 1, scène 1, ÉRASTE)
Fourrez-vous tous deux sous ce degré, et allez vous en dès qu'il n'y aura plus personne ici. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
En voici une dont il sera bien moins satisfait, en cas qu'il la sache. (Acte 1, scène 2, LISETTE)
Et que venez-vous faire ici ? (Acte 1, scène 3, MARIANE)
Sur cette confiance, ne pouvons-nous point hasarder que je demeure ici quelques jours ? (Acte 1, scène 3, ÉRASTE)
Et vous, tirez de ce côté, voilà votre père qui vient droit ici. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
Oui; car ils lui ont dit qu'ils ne seroient ici que huit jours. (Acte 1, scène 5, LISETTE)
Je ne viendrais jamais ici, si j'étais en votre place. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR GRIFFARD)
Oh bien, mon vin ne vaut rien du tout, et la chère que l'on fait ici ne devroit point attirer tant de gens. (Acte 1, scène 8, MONSIEUR BERNARD)
Monsieur, je vous le livre un des plus honnêtes hommes de la province. Je te félicite, baron, d'avoir un voisin comme monsieur. (Acte 1, scène 10, LE MARQUIS)
Nous sommes ici bonne compagnie ; renvoie ton équipage et passe quelques jours avec nous. (Acte 1, scène 10, LE MARQUIS)
Ce baron n'est point fat, au moins : je le débauche, madame, et je le fais rester ici. (Acte 1, scène 11, LE MARQUIS)
Il a chez lui des dames , et nous avons des dames ici : joignons toutes nos dames ensemble. (Acte 1, scène 11, LE MARQUIS)
Il n'y a pas jusques à vos paysans qui se plaignent que vous ne voulez pas qu'ils raccommodent les chemins du village, pour rendre votre maison plus difficile à aborder. (Acte 1, scène 14, MADAME-BERNARD)
Oui, morbleu, et je voudrais que les trous et les ornières fissent casser le cou à tous ceux qui viennent ici. (Acte 1, scène 14, MONSIEUR BERNARD)
Voilà madame la comtesae de Préfanné qui s'en allait en Bourgogne, elle vient de verser à cent pas d'ici. (Acte 1, scène 15, LISETTE)
Je suis à demi consolée de cet accident, puisqu'il est arrivé près d'ici. (Acte 1, scène 15, MADAME-BERNARD)
Il faut que je commence par faire quelque incartade aux gens qui sont déjà ici ; il en arrivera ce qu'il pourra. (Acte 1, scène 17, MONSIEUR BERNARD)
Je veux dire que si vous avez ici bien du monde, vous avez morguenne aussi de quoi les nourrir. (Acte 1, scène 18, THIBAUT)
Ne vous boutez pas en peine : il n'est pas tout seul, il y a je ne sais combien de chiens qui japons dans le village après d'autres, je gage ; je m'en vas au bout de la petite ruelle, et tout autant qu'il en viendra, je les détornerai envars ici, et ils seront pris comme des sots. (Acte 1, scène 18, THIBAUT)
Bon, bon, vous ne savez pas tout : chiens, chevaux, maîtres et valets, tout restera ici jusqu'à demain matin, pour être au bois de meilleure heure. (Acte 1, scène 21, MONSIEUR GRIFFARD)
Tu sais bien que je n'ai pu le faire depuis qu'il est sorti d'ici. (Acte 1, scène 23, MARIANE)
J'ai trouvé en arrivant ici un petit jeune monsieur, que j'ai vu quelquefois avec vous. (Acte 1, scène 24, LE COUSIN)
Je lui ai dit que je venais ici. (Acte 1, scène 24, LE COUSIN)
Quel autre incident est-ce encore ici ? (Acte 1, scène 25, LISETTE)
En voici bien d'une autre. (Acte 1, scène 25, LISETTE)
Dame, c'est ici l'Épée royale, bon logis, à pied et à cheval. (Acte 1, scène 25, THIBAUT)
Les uns vont arriver, et les autres seront ici demain matin. (Acte 1, scène 27, DORANTE)
Cela n'est pas bien difficile. (Acte 1, scène 31, MONSIEUR GRIFFARD)
Mais voici quelqu'un. (Acte 1, scène 31, MONSIEUR GRIFFARD)
Que fais-tu ici, coquin ? (Acte 1, scène 32, MONSIEUR BERNARD)

LA TRAHISON PUNIE (1707)

Le hasard le conduit ici tout à propos. v.26 (Acte 1, scène 1, FABRICE)
Du droit de maître ici, puisque vous vous servez, v.85 (Acte 1, scène 3, FABRICE)
Il vient, demeure ici. v.96 (Acte 1, scène 4, DON ANDRÉ)
Les soins qu'on vous a vu jusqu'ici vous donner, v.141 (Acte 1, scène 6, DON GARCIE)
Mais après le secret qu'ici je vous révèle... v.144 (Acte 1, scène 6, DON GARCIE)
C'est un astre malin qui vous conduit ici. v.329 (Acte 1, scène 10, DON ANDRÉ)
Astre malin, comète, étoile, m'y voici. v.330 (Acte 1, scène 10, DON JUAN)
Nous verrons. Comme ici je n'ai nul de mes gens, v.341 (Acte 1, scène 10, DON JUAN)
L'air me semble plus frais et plus tranquille ici. v.357 (Acte 2, scène 1, LÉONOR)
Toujours fixés ici. v.407 (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
Voici Jacinte. As-tu vu Don Garcie ? v.424 (Acte 2, scène 1, LÉONOR)
Car pour celui qui vient ici dans l'espérance v.455 (Acte 2, scène 2, JACINTE)
Voici mon frère. v.473 (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
Ne nous fait pas grand mal tant qu'il n'est point ici. v.502 (Acte 2, scène 3, JACINTE)
Le voici. v.532 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
Suis-je ici pour cela ? v.558 (Acte 2, scène 6, DON GARCIE)
Ne regardez point ici comme un époux v.567 (Acte 2, scène 7, DON JUAN)
Vous ici, Don André, qu'y venez-vous donc faire ? v.589 (Acte 2, scène 7, ISABELLE)
Vous êtes maître ici, commandez, ordonnez, v.603 (Acte 2, scène 7, DON FÉLIX)
Le Ciel en soit loué. Mais voici votre père. v.721 (Acte 3, scène 1, JACINTE)
Jusques ici du moins, je n'ai rien vu paraître v.729 (Acte 3, scène 2, DON JUAN)
Vous laisserez ici votre équipage ? v.754 (Acte 3, scène 2, DON FÉLIX)
Pour équipage ici je n'ai qu'un de mes gens. v.755 (Acte 3, scène 2, DON JUAN)
De même sans façon ici vous descendrez, v.760 (Acte 3, scène 2, DON FÉLIX)
Mais dans la nuit, comment le faire entrer ici ? v.839 (Acte 3, scène 4, LÉONOR)
Oser venir ici ? v.867 (Acte 3, scène 6, JACINTE)
C'est sur ce titre-là que j'ose ici paraître, v.877 (Acte 3, scène 6, FABRICE)
Pour se cacher ici, je dois le faire entrer, v.915 (Acte 3, scène 7, FABRICE)
Car si l'on vous trouvait ici caché de nuit, v.936 (Acte 3, scène 9, FABRICE)
Tout ici m'est égal, Don Juan, Don Garcie. v.942 (Acte 3, scène 9, DON ANDRÉ)
Il entre moins d'amour ici que de caprice. v.945 (Acte 3, scène 9, FABRICE)
Et je sais en tout cas quand il serait ici, v.955 (Acte 3, scène 9, FABRICE)
Demeure ici. v.965 (Acte 3, scène 9, DON ANDRÉ)
Attendez un moment ici sans faire de bruit, v.968 (Acte 3, scène 10, JACINTE)
Sortez d'ici tandis que je l'entretiendrai, v.1039 (Acte 3, scène 15, DON JUAN)
Ici, comment ? Quelle apparence ? v.1049 (Acte 3, scène 16, DON JUAN)
Jacinte est avertie, et me sait seule ici. v.1075 (Acte 4, scène 1, LÉONOR)
Qu'elle tarde ! À la fin, grâce au Ciel, la voici. v.1076 (Acte 4, scène 1, L?ONOR)
Mais, voici Don Félix ; qu'il est sombre, Madame ! v.1121 (Acte 4, scène 2, JACINTE)
Hé, le moyen, de grâce ? Il est bien difficile, v.1141 (Acte 4, scène 3, JACINTE)
Arrivant hier ici, tout plein de la douleur v.1199 (Acte 4, scène 5, DON JUAN)
Mon perfide rival ici fut introduit. v.1220 (Acte 4, scène 5, DON JUAN)
Pour moi je crois devoir vous parler net ici : v.1231 (Acte 4, scène 5, DON FÉLIX)
Parle, il n'est pas ici raison de plaisanter. v.1292 (Acte 4, scène 7, DON JUAN)
Soyez dons attentif, voici toute l'histoire. v.1302 (Acte 4, scène 7, JACINTE)
Mais hier au soir ici, dis, que venait-il faire ? v.1317 (Acte 4, scène 7, DON JUAN)
Sachez que nous venons voir ici Don Garcie. v.1426 (Acte 5, scène 1, JACINTE)
Ton maître avait ici rendez-vous cette nuit ? v.1503 (Acte 5, scène 3, JACINTE)
Et c'est ici le lieu marqué dans son billet. v.1527 (Acte 5, scène 5, DON JUAN)
Voici le prétendu beau-père. v.1606 (Acte 5, scène 5, FABRICE)
Allez, c'est ici près que la belle demeure ; v.1625 (Acte 5, scène 8, FABRICE)
Vous la devez revoir, et voici quasi l'heure. v.1626 (Acte 5, scène 8, FABRICE)
Qu'à propos je vous retrouve ici ? v.1679 (Acte 5, scène 9, DON ANDRÉ)
La Dame d'ici près? v.1681 (Acte 5, scène 9, DON ANDRÉ)
Par quel sort nous trouver tous ici ? v.1724 (Acte 5, scène 12, DON JUAN)

LE GALANT JARDINIER (1704)

Tenez, mon fils, c'est un vilain, un ladre, un vieux coquin, qui a vécu jusqu'ici d'une manière fort serrée, et qui, faute d'expérience, se répandra au premier jour en des dépenses excessives pour le première guenon qui lui donnera dans la vue. (Acte 1, scène 1, MADAME DUBUISSON)
Je ne dis pas que ma fille ne mérite bien les petites galanteries qu'il fait pour elle : mais, s'il était si raisonnable que vous le dites, il s'abstiendrait de ces bagatelles-là, nous sommes ici à notre maison de campagne. (Acte 1, scène 1, MADAME DUBUISSON)
Il y a déjà dix ou douze jours qu'il est ici à pot et à rôt dans la maison. (Acte 1, scène 1, MADAME DUBUISSON)
Je voudrais bien savoir de quoi ce maroufle s'avise de prendre encore un garçon jardinier de surcroît, quand il y en a deux ici. (Acte 1, scène 1, MADAME DUBUISSON)
Ce vilain monsieur qui est ici depuis quelques jours ? (Acte 1, scène 2, LA MONTAGNE)
Il n'y a qu'une bonne lieue d'ici, et il y envoie lui, deux ou trois fois par jour. (Acte 1, scène 2, LA MONTAGNE)
Je ne suis pas en peine de la reconnaissance, et pour le peu que j'en mériterai de sa part... Mais voici la jardinière. (Acte 1, scène 2, LA MONTAGNE)
Ce ne sont pas ici des vétilleries, vois-tu ? (Acte 1, scène 5, LUCAS)
Mais voici nos deux drôles, ils donnont à plein collier dans l'ornière ; car je me doute qu'ils parlont de ça. (Acte 1, scène 5, LUCAS)
Moins ridicule que la vérité : car, enfin, y a-t-il rien de plus bizarre que ce que nous faisons ici ? (Acte 1, scène 6, LA MONTAGNE)
Je ne sais ce que j'en ai fait ; mais je vous en dirai le sens : Trente pistoles à gagner pour qui donnera, chez monsieur Orgon, des nouvelles d'un jeune officier sur la route d'Allemagne ; le jeune homme, de taille ni petite ni grande, l'encolure déchargée, la jambe sèche et qui porte au vent. (Acte 1, scène 6, LA MONTAGNE)
J'admire sa simplicité. (Acte 1, scène 6, LÉANDRE)
Allons, monsieur, que cela vous touche, arrachez-vous à cette passion extravagante qui vous retient ici. (Acte 1, scène 6, LA MONTAGNE)
Cela sera difficile. (Acte 1, scène 6, LA MONTAGNE)
Enfuyez-vous-en : velà monsieur Dubuisson qui viant envars ici ; il soupçonnera queuque chose, s'il vous trouve ensemble. (Acte 1, scène 7, LUCAS)
Et, mais, vous m'avez baillé quinze pistoles pour ne rien dire que c'est votre maître qui est ici. (Acte 1, scène 7, LUCAS)
Mais, attendons un peu... Oui... tout juste, me voici un peu plus embarrassé qu'auparavant. (Acte 1, scène 7, LUCAS)
Va-t-en voir ici près à l'Épée-Royale s'il n'y est point encore arrivé trois carrossées d'hommes et de femmes à qui j'ai donné rendez-vous. (Acte 1, scène 7, LA MONTAGNE)
Mon pauvre la Montagne, voici Lucile et Marthon qui viennent de ce côté-ci ; elles parlent ensemble : je me flatte d'avoir entendu quelque chose qui me regarde ; je voudrais bien en savoir davantage, comment faire ? (Acte 1, scène 8, LÉANDRE)
Voici un endroit tout propre à vous cacher, mettez-vous sur ce gazon et faites semblant de dormir : il est assez naturel qu'un garçon jardinier s'endorme sur l'herbe au lieu de travailler. (Acte 1, scène 8, LA MONTAGNE)
Les voici. (Acte 1, scène 8, LÉANDRE)
Il ne faut plus chercher de qui sont les fêtes galantes qui se donnent ici depuis quelques jours ; c'est ce jeune amant, sans doute ? (Acte 1, scène 9, MARTHON)
Un Officier qui revenait d'Allemagne : sa chaise de poste rompit en chemin, il prit place dans le carrosse, je fus surprise en le voyant ; il me parut embarrassé comme moi, et tant que nous avons pu nous voir, nous n'avons point cessé de nous regarder l'un l'autre que quand ma mère nous regardait. (Acte 1, scène 9, LUCILE)
Ce nouveau jardinier qui est ici depuis quelques jours... (Acte 1, scène 9, LUCILE)
Velà le corps de logis, la terrasse est comme là, le potager envars ici, et partant, vous voyez bian... Eh ! (Acte 1, scène 10, LÉANDRE)
Votre homme de chambre a dit que si on ne le trouvait pas ici, qu'on vous le donnât à vous-même. (Acte 1, scène 10, LE ROTISSEUR)
Que diantre vient-il faire ici ce grimacier-là, avec son baragouin ? (Acte 1, scène 15, MONSIEUR DUBUISSON)
Il n'est bruit ici que de votre gal galanterie. (Acte 1, scène 19, MONSIEUR BAVARDIN)
Place, place, voici les folies de monsieur Caton qui s'avancent en musique. (Acte 1, scène 22, MARTHON)
Chacun fait ici-bas des tours de gobelets. v.11 (Acte 1, scène 22, LA BOHÉMIENNE)
Chacun fait ici-bas des tours de gobelets. v.20 (Acte 1, scène 22, LA BOH?MIENNE)
Je ne suis ici que pour cela. (Acte 1, scène 22, LA BOHÉMIENNE)
Voici le plus difficile v.36 (Acte 1, scène 22, LA BOHÉMIENNE)
Laissez faire, monsieur, si je ne le trouvons pas là, je le trouverons... Il est morgué ici, ne vous boutez pas en peine. (Acte 1, scène 23, LUCAS)
Monsieur et madame Dubuisson, par quelle aventure vous trouvé-je ici ? (Acte 1, scène 23, MONSIEUR BAVARDIN)
Monsieur a su qu'il y avait bal ici, il aime la joie, il vient prendre part à la fête. (Acte 1, scène 23, LA MONTAGNE)
Oui, mon cher monsieur Dubuisson ; cet honnête paysan est venu m'avertir qu'il était ici déguisé en jardinier, amoureux d'une jeune personne, à qui il donnait tous les jours de nouvelles fêtes. (Acte 1, scène 23, MONSIEUR BAVARDIN)
Votre fils déguisé ici en jardinier et amoureux d'une personne à qui il donne des fêtes. (Acte 1, scène 23, MONSIEUR DUBUISSON)

LES CURIEUX DE COMPIÃˆGNE (1698)

Sandis, je le prends à telle fin que de raison, et je ne suis embarrassé que d'une certaine grosse hôtesse, chez qui j'ai mis loger, à mes dépens, des incommodes de Paris, moitié Bourgeois, moitié Bourgeoises, qui sont très indiscrètement venus me rendre ici visite. (Acte 1, scène 2, LE CHEVALIER)
Le voici, ton maître. (Acte 1, scène 2, LE CHEVALIER)
Point du tout, Monsieur, aux environs d'un Camp, il n'y a point de mal d'aller en parti ; la curiosité a rendu la Bourgeoisie de Paris très voyageuse ; quel inconvénient trouveriez-vous de faire payer aux premiers venus les frais que nous sont venus faire ici leurs camarades ? (Acte 1, scène 3, FRONTIN)
Ça se pourra fort bian : pour les hommes encore passe, n'an leur pardonne ; mais ces Bourgeoises, que venont-elles faire ici ? (Acte 1, scène 6, GUILLAUME)
Il y a morgué de ces masques-là qui avons fait garder la maison aux Procureux pendant qu'alles s'en venont ici courir la prétantaine avec des maîtres Clercs. (Acte 1, scène 6, GUILLAUME)
C'est dommage que le cousin n'ait pas grande autorité, il s'en servirait bien judicieusement. (Acte 1, scène 6, MADAME PINUIN)
Je ne sais, morgué, pas bian : mais ils sont de la connaissance d'un certain Officier que je vians chercher ici, et ce certain Officier a un certain valet. (Acte 1, scène 6, GUILLAUME)
Votre maître m'a dit que je vous trouvisse ici, qu'il avait queuque chose à me dire ; et comme ces parsonnes qu'il a logées cheux nous s'en allont demain, je crois qu'ils ne demandont point à compter : je voudrais bian savoir, ou d'eux, ou de ly, qui me baillera de l'argent ; car je suis homme d'accommodement, il ne m'importe pas qui m'en baille, pourvu que j'en aie. (Acte 1, scène 7, GUILLAUME)
Il n'est pas question ici d'un mariage d'Opéra, nous avons des vues raisonnables. (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
Il faudra donc que cela soit bien difficile ? (Acte 1, scène 8, MADAME PINUIN)
Le délicieux séjour que celui d'un Camp ! (Acte 1, scène 9, MADAME ROBIN)
Ce mélange de bataillons confus, ces escadrons épars, ces Officiers, ces Valets, ces Vivandiers, ces gens de condition. (Acte 1, scène 9, MADAME ROBIN)
Depuis huit jours que nous sommes ici, il n'a jamais manqué l'occasion de me dire les plus jolies choses ? (Acte 1, scène 9, MADAME ROBIN)
Oui, vraiment, et sur la frontière même ; et comme il est un des plus anciens Officiers du Régiment, le moins que vous puissiez espérer, c'est de vous trouver au premier jour la commandante d'un Bataillon. (Acte 1, scène 9, MADAME PINUIN)
Mais écoute, Frontin, le Mouflard et le Valentin n'ont plus guères à rester ici? (Acte 1, scène 11, LE CHEVALIER)
Hé parbleu, je crois que les voilà, le hasard nous les amène ici le plus à propos du monde, cela est d'un heureux présage pour notre entreprise. (Acte 1, scène 12, FRONTIN)
En chemin faisant, nous sommes malheureusement tombés dans un diable de Bataillon, dont les Officiers étaient à peu près vêtus comme ces deux Messieurs. (Acte 1, scène 15, MONSIEUR MOUFLARD)
Parguenne, il y a une douzaine d'Officiers à qui l'on a baillé ordre de faire la recharche de tous les Curieux qui se trouveront ici, et qui n'y avont que faire. (Acte 1, scène 18, GUILLAUME)
La recherche des Curieux qui n'ont que faire ici ? (Acte 1, scène 18, FRONTIN)
On fera entendre raison à ces Officiers-là, Monsieur, ne vous mettez pas en peine. (Acte 1, scène 18, FRONTIN)
Paix, je connais cet Officier-là, laissez-moi faire ; Monsieur, je vous donne le bonjour. (Acte 1, scène 19, FRONTIN)
C'est mon mari, Monsieur l'Officier. (Acte 1, scène 19, MADAME VALENTIN)
C'est lui qui m'a fait venir ici, cela crie vengeance. (Acte 1, scène 19, MONSIEUR VALENTIN)
Oui riez, et bien fort, je vous le conseille ; nous perdons ici le temps. (Acte 1, scène 20, LE CHEVALIER)
Hé bian, palsanguienne, épousez sa femme ; il y a une Madame ici qui ne l'est pas encore ; mais que n'an dit qui allait bientôt l'être, faut-il tant de façons ? (Acte 1, scène 22, GUILLAUME)
Pour moi, je veux m'en retourner à Paris, je me déplais trop ici. (Acte 1, scène 23, MONSIEUR MOUFLARD)
Que les plaisirs succèdent à la crainte ; nous avons ici des hautbois, bonne compagnie. (Acte 1, scène 23, LE CHEVALIER)
Si tous les Curieux qui n'avont que faire au Camp y sont régalés comme ceux-ci, les Officiers ne seront morgué pas ruinés de ces visites-là, sur ma parole. (Acte 1, scène 23, GUILLAUME)
Se tiendraient bien loin d'ici. v.35 (Acte 1, scène 24, MONSIEUR TOUVENEL)
Se tiendraient bien loin d'ici. v.38 (Acte 1, scène 24, MONSIEUR TOUVENEL)
Je fons ici, d'une façon courtoise, v.39 (Acte 1, scène 24, GUILLAUME)
D'exploits guerriers on voit ici l'image ; v.57 (Acte 1, scène 24, FRONTIN)

NOUVEAU PROLOGUE, ET NOUVEAUX DIVERTISSEMENTS (1697)

Et me dites un peu ce que l'on fait ici. v.53 (Acte 1, scène 2, THALIE)
En voici deux nouveaux, c'est Ponteuil et Sallé. v.123 (Acte 1, scène 2, CRISPIN)
En voici de la jeune espèce. v.130 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
Ceux en qui ce défaut est le moins vicieux. v.164 (Acte 1, scène 3, THALIE)
Un de nos Musiciens en a fait de nouvelles, v.240 (Acte 1, scène 3, MIMY)
En sa faveur aussi? Voici ce qu'il faut faire. v.252 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
Vous pouvez l'écouter, voici son Interprète. v.390 (Acte 3, scène 1, LE MARQUIS)
Quand l'Amour, dont je prends ici les intérêts, v.418 (Acte 3, scène 2, COMUS)
Volontiers. Les refus sont assez difficiles, v.424 (Acte 3, scène 2, OLIMPE)
Ma suite a disparue, et je suis seul ici. v.506 (Acte 3, scène 3, COMUS)
Nous disons la bonne aventure ici, v.623 (Acte 4, scène 1, MADEMOISELLE DESMARRES)
Voyez qui c'est, Virgine, et l'amenez ici. v.644 (Acte 5, scène 1, LA COMTESSE)
Je n'irai pas bien loin, Madame, le voici. v.645 (Acte 5, scène 1, VIRGINE)
Pour nous pouvoir ici donner la Comédie ? v.655 (Acte 5, scène 1, LE VICOMTE)
Dont j'ai vu jusqu'ici tout le monde charmé. v.673 (Acte 5, scène 1, LA COMTESSE)
Nous allons bien ici nous divertir. v.737 (Acte 6, scène 1, LE VICOMTE)
Vous en aurez la vue en demeurant ici. v.765 (Acte 6, scène 1, LE VICOMTE)
Voici toute la bande, apprêtez-vous à rire. v.779 (Acte 6, scène 1, LE VICOMTE)
Comme sans cheminée on peut danser ici : v.829 (Acte 6, scène 1, VIGNOLET)
Morgué, je vais danser d'ici jusqu'à demain. v.847 (Acte 6, scène 1, COLIN)
Je ne sis pas si difficile ; v.882 (Acte 6, scène 1, LUBINE)
Non, non, restez ici. v.927 (Acte 6, scène 1, LE VICOMTE)

L'IMPROMPTU DE SURESNES (1713)

Cela ne sera pas nouveau ; mais ces bienfaits-là ne seront que pour les Vignerons, et il faut que tout le monde se ressente ici de l'honneur de votre présence. (Acte 2, scène 1, LA FOLIE)
Ne vous mettez pas en peine, l'un nous mènera à l'autre : je vais faire un tour dans les vignes, et je me rends ici dans un moment. . (Acte 2, scène 1, BACCHUS)
Ayez soin de votre côté d'entretenir les filles et leurs amants dans des sentiments judicieux et raisonnables, tels que vous êtes capable d'en inspirer. (Acte 2, scène 1, BACCHUS)
Cela est bien difficile à deviner ! (Acte 2, scène 4, NÉRINE)
Voici Bacchus avec votre père, éloignons-nous : tout en marchant je vous instruirai de ce que vous aurez à faire. (Acte 2, scène 5, LA FOLIE)
Cela ne sera pas bien difficile. (Acte 2, scène 6, BACCHUS)
En voici deux que je vous présente. (Acte 2, scène 10, LA FOLIE)
Cet emploi-là ne sera pas difficile. (Acte 2, scène 10, BACCHUS)
Voici leurs amants qui se sont faits aussi garçons de cabaret, pour avoir l'honneur de servir sous vos ordres. (Acte 2, scène 11, L'AMOUR)
Écoutez, mes enfants, de filles de guinguette à garçon de cabaret, il n'y a que la main ; n'allez pas abuser de la protection qu'on vous donne, et anticiper? (Acte 2, scène 11, BACCHUS)
J'ai fait dire au bonhomme Silène de se rendre ici, nous en ferons notre Portier. (Acte 2, scène 11, BACCHUS)
Oh pour cela il sera bien difficile de les en empêcher ; mais leur présence ne gâtera rien. (Acte 2, scène 11, LA FOLIE)
Voici déjà un honnête garçon, bien accommodé. (Acte 2, scène 12, L'AMOUR)
Par quelle heureuse aventure? vous n'êtes pas seule ici apparemment ? (Acte 2, scène 13, KERPINOT)
Que vous avez bien fait ; voici une nouvelle petite guinguette aussi jolie, aussi attirante, je n'ai jamais pu m'empêcher d'y entrer, et si nous venons déjà de faire collation, dans une autre à Passy, Madame et moi, avec mon laquais, sa femme de chambre, notre Fiacre, tous cinq tête à tête. (Acte 2, scène 13, KERPINOT)
Cela ne sera pas difficile à accommoder, passez ici la nuit à table. (Acte 2, scène 13, LA FOLIE)
Allez-vous-en trouver de ma part Bacchus et l'Amour qui tiennent table au fond de ce petit bois, vous ne sortirez pas d'ici sans être d'accord. (Acte 2, scène 13, LA FOLIE)
Voilà une bonne recrue pour la table du Dieu du vin ; mais dans un repas de guinguette, il faut des fous et des folles de toute espèce. En voici une joliment masquée. (Acte 2, scène 14, LA FOLIE)
C'est ici le lieu du rendez-vous, et le Chevalier n'y est point encore. (Acte 2, scène 14, LA VEUVE)
Je la connais, c'est cette riche Veuve que l'Amour et moi avons rendu si folle d'un cadet Gascon dont nous voulons faire la fortune ; elle est ici sans lui, qu'est-ce que cela veut dire ? (Acte 2, scène 14, LA FOLIE)
Madame, que faites-vous ici ? (Acte 2, scène 14, LA VEUVE)
Quelle simplicité ! (Acte 2, scène 14, LA FOLIE)
Voici le petit homme de Province. (Acte 2, scène 14, LA VEUVE)
Hé, comment donc, la première ici ? (Acte 2, scène 15, LE CHEVALIER)
Il, faudrait que Madame fût bien difficile. (Acte 2, scène 15, LA FOLIE)
Je t'en félicite, il s'en est fait grande consommation. (Acte 2, scène 17, LA FOLIE)
Les plus suivies sont les meilleures, on s'épargne le moment de la réflexion, Bacchus tient ici table à ses dépens, avec l'Amour. (Acte 2, scène 17, LA FOLIE)
L'Amour est ici ? (Acte 2, scène 17, FORÊT)
Et être de bonne humeur, surtout, ce n'est pas ici une Fête ordinaire, nous faisons cinq noces à la fois, et voilà comme on achalande les Guinguettes. (Acte 2, scène 19, BACCHUS)
C'est le caractère des Musiciens de la Guinguette. (Acte 2, scène 19, LA FOLIE)
De la félicité parfaite v.47 (Acte 2, scène 20, L'AMOUR)
C'est ici l'heureux séjour. v.48 (Acte 2, scène 20, L'AMOUR)
De la félicité parfaite v.50 (Acte 2, scène 20, CHOEUR)
C'est ici l'heureux séjour. v.51 (Acte 2, scène 20, CHOEUR)
De la félicité parfaite v.58 (Acte 2, scène 20, L'AMOUR)
C'est ici l'heureux séjour. v.59 (Acte 2, scène 20, L'AMOUR)
De la félicité parfaite v.61 (Acte 2, scène 20, CHOEUR)
C'est ici l'heureux séjour. v.62 (Acte 2, scène 20, CHOEUR)
Aux doux plaisirs tout ici nous convie, v.108 (Acte 2, scène 20, L'AMOUR)
Ceux qu'ici l'Amour amène, v.137 (Acte 2, scène 20, LA FOLIE)

RENAUD ET ARMIDE (1692)

Voici qui est admirable ! (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GROGNAC)
Mais voici votre tante, je pense : c'est elle-même. (Acte 1, scène 4, LISETTE)
Elle a un si bon petit coeur, c'est une simplicité, une complaisance, une discrétion? (Acte 1, scène 6, MADAME JAQUINET)
Tu le verras ; il doit venir ici, je veux lui donner aujourd'hui un petit régal dans mon appartement, j'ai pris toutes mes mesures pour cela, et? (Acte 1, scène 6, MADAME JAQUINET)
Tu diras à ma fille, toi, que le mari que je lui destine soupe ici ce soir, et que nous aurons les violons ensuite. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR GROGNAC)
Je ne trouve personne ici. (Acte 1, scène 11, LOLIVE)
Ne jurez point, Monsieur : ce n'est pas moi que vous cherchez ici. (Acte 1, scène 12, ANGÉLIQUE)
On sait de vos fredaines ; c'est Madame Jaquinet à qui vous en voulez, vous avez des rendez-vous avec elle tous les jours d'Opéra ; elle vous attend ici aujourd'hui, vous y venez, vous nous trouvez, vous vous évanouissez, vous nous en recontez. (Acte 1, scène 12, LISETTE)
Vous voilà ici, Monsieur, est-ce qu'on vous a permis d'y venir ? (Acte 1, scène 13, MIMI)
Hé, vraiment oui, c'est lui-même, vous dis-je ; je m'en vais dire à ma tante qu'il est ici, vous allez voir comme ils se connaissent. (Acte 1, scène 13, MIMI)
Il est vrai que depuis que nous vous avons perdues, désespérés de ne point trouver dans le quartier de l'Université de quoi nous consoler de notre infortune, nous nous sommes logés dans le faubourg ; et par les conseils de Madame Jaquinet, Monsieur postule pour être Officier de Dragons. (Acte 1, scène 14, LOLIVE)
Voici le père de ma maîtresse, et Monsieur Filassier ; il ne serait pas à propos qu'ils se vissent. (Acte 1, scène 15, LISETTE)
Voici à propos une espèce de sceptre. (Acte 1, scène 15, LOLIVE)
Non, non, c'est le laquais de mon coquin de fils, il ne vient pas ici pour rien, mais si je prends un bâton. (Acte 1, scène 17, MONSIEUR FILASSIER)
On se moque ici de vous et de moi, je pense ? (Acte 1, scène 17, MONSIEUR FILASSIER)
Voici la charmante retraite v.12 (Acte 1, scène 17, LOLIVE, LISETTE)
De la félicité parfaite, v.13 (Acte 1, scène 17, LOLIVE, LISETTE)
Voici l'heureux séjour v.14 (Acte 1, scène 17, LOLIVE, LISETTE)
Va, va-t'en lui dire de venir ici, et de faire le fou, mais à outrance. (Acte 1, scène 17, LOLIVE)
Mon fils est donc ici, apparemment ? (Acte 1, scène 17, MONSIEUR FILASSIER)
C'est ici le séjour enchanté v.18 (Acte 1, scène 17, LOLIVE)
Les voici avec Monsieur Grognac, je pense. (Acte 1, scène 19, LISETTE)
On juge mon procès, je vais solliciter, v.23 (Acte 1, scène 20, MADAME JAQUINET)
Voici qui est plaisant. (Acte 1, scène 22, MONSIEUR GROGNAC)
Cela ne sera pas bien difficile, tenez. (Acte 1, scène 22, LOLIVE)
La voici, nous n'avons qu'à nous bien tenir. (Acte 1, scène 22, LISETTE)

LE CHEVALIER Ã€ LA MODE (1687)

Je t'avoue qu'à cette injure assommante, je n'ai pas eu la force de répondre, j'ai dit à mon cocher de tourner, et de m'amener ici à toute bride. (Acte 1, scène 1, MADAME-PATIN)
Mais le voici. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
Vraiment, si la Justice était pour elle, on aurait bien affaire de vous solliciter. (Acte 1, scène 4, MADAME-PATIN)
Lisette, si la personne dont je vous ai parlé vient ici, qu'on me fasse avertir chez Araminte, où je vais jouer au Reversis. (Acte 1, scène 4, MADAME-PATIN)
Il me semble pourtant que cela n'est pas bien difficile à comprendre. (Acte 1, scène 5, LISETTE)
Vous aimez Madame Patin ma Maîtresse, et vous avez cru jusqu'ici que Madame Patin vous aimait ? (Acte 1, scène 5, LISETTE)
Voici notre Chevalier, adieu. (Acte 1, scène 5, LISETTE)
Vous voulez bien, Monsieur, que j'aille dire à Madame que vous êtes ici. (Acte 1, scène 6, LISETTE)
Parbleu, c'est une conquête aussi difficile que j'en connaisse. (Acte 1, scène 7, LE-CHEVALIER)
Voilà une conquête bien difficile, vous avez raison. (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
Or çà, je vois bien que c'est la dame d'ici qui est la meilleure à ménager, et je m'en vais renvoyer Madame_la_Baronne avec ses présents. (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
Passons dans mon cabinet, nous y serons mieux qu'ici. (Acte 1, scène 8, MADAME-PATIN)
La voici. (Acte 2, scène 1, LISETTE)
Vous devriez, Monsieur Serrefort, ne me point reprocher des choses où je ne me suis exposée que parce qu'on me croit votre belle-soeur ; mais, voilà qui est fait, Monsieur Serrefort, je ferai afficher que je ne la suis plus depuis mon veuvage, je vous renonce pour mon beau-frère, Monsieur Serrefort ; et puisque jusqu'ici mes dépenses, la noblesse de mes manières, et tout ce que je fais tous les jours, n'ont pu me corriger du défaut d'avoir été la femme d'un partisan, je prétends... (Acte 2, scène 2, MADAME-PATIN)
Vous venez ici me morigéner, comme si vous aviez quelque droit sur ma conduite ; c'est tout ce que je pourrais souffrir à un mari. (Acte 2, scène 2, MADAME-PATIN)
Mais, voici votre petite nièce bien échauffée. (Acte 2, scène 3, LISETTE)
Mais voici Monsieur le Chevalier. (Acte 2, scène 5, LISETTE)
Vous êtes mal obéie, Madame, et voici quelqu'un qui vous demande. (Acte 2, scène 8, LE-CHEVALIER)
Voici bien un autre embarras. (Acte 2, scène 8, LE-CHEVALIER)
Ah, ah, Monsieur le Chevalier, que faites-vous ici ? (Acte 2, scène 8, LA-BARONNE)
Je venais ici, Madame, pour solliciter encore vos recommandations pour mon procès ; mais, je ne m'attendais pas d'y trouver Monsieur le Chevalier. (Acte 2, scène 8, LA-BARONNE)
Et qu'enfin je fais tout mon bonheur de lui plaire, et c'est cela qui m'amène ici ? (Acte 2, scène 8, LE-CHEVALIER)
M'y voilà ; voici le fait. (Acte 2, scène 9, LA-BARONNE)
Si vous ne l'emmenez d'ici, nous ne nous en débarrasserons d'aujourd'hui. (Acte 2, scène 9, LE-CHEVALIER)
Vous m'attendrez donc ici, Chevalier. (Acte 2, scène 9, MADAME-PATIN)
Observons d'ici ce que ce peut être ? (Acte 2, scène 10, LISETTE)
La voici. (Acte 2, scène 10, CRISPIN)
Pardonnez-moi, Monsieur, la voici. (Acte 2, scène 10, CRISPIN)
mais voici Lisette qui nous écoute, je crois. (Acte 2, scène 10, CRISPIN)
Ma foi, je ne sais ; mais puisque la voici, je vais lui laisser ces tablettes ; elle les donnera à sa Maîtresse ? (Acte 2, scène 10, CRISPIN)
Non, demeure ici ; je veux que tu les donnes toi-même. (Acte 2, scène 10, LE-CHEVALIER)
La voici, je l'entends. (Acte 3, scène 1, LISETTE)
Cela n'est point si difficile ; et si l'on pouvait seulement trouver quelque habitude auprès d'un certain Chevalier de Ville-Fontaine... (Acte 3, scène 2, MONSIEUR-MIGAUD)
C'est un papier que j'ai trouvé ici. (Acte 3, scène 3, LISETTE)
Le voici. (Acte 3, scène 3, LISETTE)
Il était ravi, rien ne lui a paru difficile, ses souhaits vont au-delà des miens, il a encore plus d'impatience que moi, et je venais vous en avertir. (Acte 3, scène 8, LUCILE)
Les courtisans malaisés ne s'enrichissent point ; Et ceux qui sont le plus à leur aise, ne sont pas difficiles à ruiner. (Acte 3, scène 9, LISETTE)
J'ai ici un Impromptu, qu'il a fait pour moi. (Acte 3, scène 9, LUCILE)
Le Chevalier n'est point venu chez moi, je ne suis guère contente de l'avoir trouvé tantôt ici. (Acte 3, scène 10, LA-BARONNE)
Voici la chambrière avec une petite fille que je ne connais point. (Acte 3, scène 10, LA-BARONNE)
Courons chez Monsieur Serrefort, pour conclure notre mariage avec Monsieur Migaud, afin que je n'entende plus jamais parler de ce petit scélérat de Chevalier ; et s'il vient ici, dites au portier qu'on ne le laisse point entrer. (Acte 3, scène 12, MADAME-PATIN)
Ah, ah, voici quelque chose d'assez drôle. (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
Voici quelque pièce nouvelle. (Acte 4, scène 2, LISETTE)
Mais voici bien le plus plaisant, Madame. (Acte 4, scène 2, LE-CHEVALIER)
Demeure ici, Crispin, et attends ici l'ordre de Madame. (Acte 4, scène 3, LE-CHEVALIER)
On vous a dit vrai, Monsieur ; mais je n'avais nullement recommandé qu'on vous dît de venir ici. (Acte 4, scène 4, MADAME-PATIN)
Voici ce que c'est, Madame. (Acte 4, scène 4, MONSIEUR-SERREFORT)
Il semble que vous parliez de quelque Officier. (Acte 4, scène 4, MADAME-PATIN)
Songez à le devenir, Monsieur Serrefort ; et ne mettez pas ici les pieds, que vous ne vous soyez rendu plus sage. (Acte 4, scène 4, MADAME-PATIN)
Madame est dans son cabinet, qui compte de l'argent, dont Monsieur le Chevalier lui a dit avoir affaire ; et il viendra ici dans une petite demi-heure, avec son notaire : c'est l'ordre de Madame. (Acte 5, scène 1, LISETTE)
Je l'ai fait avertir par un solliciteur de procès, qui est mon compère, de tout ce qui se prépare ici, et je répondrais bien qu'elle ne manquera pas de se trouver aux fiançailles. (Acte 5, scène 1, LISETTE)
Neuf heures viennent de sonner, et vous avez fait dire à Monsieur le Chevalier de ne venir ici qu'à dix. (Acte 5, scène 2, LISETTE)
Sans cet animal, le Chevalier serait ici à l'heure qu'il est, et il n'aurait pas le temps de me faire quelque perfidie. (Acte 5, scène 2, MADAME-PATIN)
Je voudrais bien qu'elle fût ici avec son amant, et qu'on les pût marier aussi cette nuit. (Acte 5, scène 2, MADAME-PATIN)
Bon, voici déjà la Baronne. (Acte 5, scène 3, LISETTE)
Au moins, Madame, il n'est pas heure de solliciter. (Acte 5, scène 3, MADAME-PATIN)
Madame, venez-vous ici pour m'assassiner ? (Acte 5, scène 3, MADAME-PATIN)
La partie n'est pas mal liée ; mais, il ne sera pourtant pas difficile à Monsieur Serrefort de la rompre. (Acte 5, scène 5, LISETTE)
Voici ce qu'il y a à faire, ma nièce. (Acte 5, scène 5, MADAME-PATIN)
Dès que votre amant sera au rendez-vous, il faut qu'il vienne ici, je serai bien aise de le voir ; je ferai mettre six chevaux à mon carrosse, et vous irez ensemble à une maison de campagne, où je répondrais bien qu'on n'ira pas vous chercher. (Acte 5, scène 5, MADAME PATIN)
Qui vous a déjà dit que j'étais ici ? (Acte 5, scène 6, LUCILE)
Sortons d'ici, Monsieur, c'est le plus sûr. (Acte 5, scène 6, CRISPIN)
Mais, à prendre les choses au pied de la lettre, suis-je si coupable que vous vous l'imaginez, et est-ce ma faute si nous nous rencontrons tous les trois ici ? (Acte 5, scène 6, LE-CHEVALIER)

LA FOLLE ENCHÃˆRE (1690)

Vous n'avez que faire ici. (Acte 1, scène 1, MERLIN)
Tout l'équipage est au logis : va-t-en, bourreau, et me laisse ici. (Acte 1, scène 1, MERLIN)
Voici Monsieur, je vais t'attendre de pied ferme. (Acte 1, scène 1, CHAMPAGNE)
Voici Lisette. (Acte 1, scène 2, MERLIN)
Agissons donc, j'y consens ; allez avertir Angélique de se rendre ici. (Acte 1, scène 3, MERLIN)
Adieu, voici bientôt les moments qui décideront de votre destinée. (Acte 1, scène 3, MERLIN)
Est-elle prévenue que Monsieur_le_Comte dépend d'un père avare, fâcheux, violent, impérieux, bourru, capricieux, brutal même ? (Acte 1, scène 4, MERLIN)
Voici Madame, il serait bon qu'elle ne te vît pas. (Acte 1, scène 4, LISETTE)
Qui t'amène ici ? (Acte 1, scène 5, MADAME-ARGANTE)
Demeure ici, Lisette ; et si le Comte vient, tu l'amuseras quelques moments. (Acte 1, scène 6, MADAME-ARGANTE)
Oui par ma foi, tout ceci pourrait bien ne pas tourner aussi heureusement que Monsieur Merlin se l'est imaginé ; cette femme est soupçonneuse, elle cherche à découvrir quelques intrigues de notre petit Comte, et elle découvrira peut-être qu'il ne lui est pas possible d'en avoir ; mais le voici. (Acte 1, scène 7, LISETTE)
Elle pourrait avoir écouté sans avoir entendu, la salle est grande, et la bonne Dame n'a pas l'oreille fine ; mais pour plus de sûreté, cachez-vous un moment, et me laissez prendre langue. Dépêchez vite, la voici ; elle ne paraît pas de bonne humeur. (Acte 1, scène 8, LISETTE)
Hâtez-vous de le prendre, Madame ; il vous échappera, vous n'avez point de temps à perdre : le voici. (Acte 1, scène 9, LISETTE)
N'est-ce point elle qui vous envoie chercher, jusques ici ? (Acte 1, scène 10, LISETTE)
Lisette, qu'on fasse dire à Monsieur de Bonnefoi que je le prie de venir ici. (Acte 1, scène 10, MADAME-ARGANTE)
Je le crois bien, à son nom seul je gagerais que c'est un brutal : le voici. (Acte 1, scène 12, MADAME-ARGANTE)
Voici une occasion des plus favorables, Madame, un petit gentilhomme d'aussi bon air, vaut assez qu'on fasse quelque chose pour lui. (Acte 1, scène 13, MERLIN)
C'est une petite fantaisie qui m'a pris en venant ici ; J'ai plus d'un rôle à jouer dans cette comédie, et l'air et le ton d'un ivrogne déguisent parfaitement un visage. (Acte 1, scène 14, MERLIN)
Voici Madame. (Acte 1, scène 14, LISETTE)
Il semble que ce soit ici le bureau d'adresse. (Acte 1, scène 17, LISETTE)
Cela n'est pas difficile, un grand carrosse doré ; c'est la Marquise assurément. (Acte 1, scène 17, ANGÉLIQUE)
Demeurez ici, Monsieur_le_Comte. (Acte 1, scène 17, MADAME-ARGANTE)
Elle s'est impatientée ; je crois que la voici. (Acte 1, scène 17, LISETTE)
Je n'ai personne ici dans mes intérêts, mais ton père me fera raison de tes perfidies, je vais te l'amener : tu n'as qu'à l'attendre, tu n'a qu'à l'attendre. (Acte 1, scène 18, CHAMPAGNE)
Je crois que le voici ; c'est le hasard qui vous l'amène. (Acte 1, scène 19, LISETTE)
Elle sort d'ici, et Madame votre mère aura grand besoin de vous dans cette affaire. (Acte 1, scène 20, LISETTE)
Voici la Marquise avec mon père. (Acte 1, scène 20, ANGÉLIQUE)
Voici tout à propos Monsieur de Bonnefoi, mon Notaire, comme si je l'avais mandé. (Acte 1, scène 21, MERLIN)
L'affaire est en bon train, ne fais pas trop le difficile. (Acte 1, scène 21, LISETTE)
J'allais passer chez vous en sortant d'ici, Monsieur. (Acte 1, scène 22, MONSIEUR-DE-BONNEFOI)
Mais voici un petit fripon, qui devient bien rétif. (Acte 1, scène 22, MERLIN)
Hé bien, mon père, si l'établissement de ma soeur est une chose où vous soyez si sensible, il se rencontre ici une aventure merveilleuse. (Acte 1, scène 22, ANGÉLIQUE)
Mais voici un amour bien prompt, Je n'en avais jamais ouï parler. (Acte 1, scène 22, MERLIN)
Attendez, Monsieur, voici une enchère. (Acte 1, scène 22, MERLIN)
Holà, Comte, accompagnez Monsieur jusqu'au logis ; faites signer votre soeur, et l'amenez ici. (Acte 1, scène 23, MERLIN)
Ne vous a-t-on pas dit que c'était l'homme du monde le plus bizarre et le plus capricieux ? (Acte 1, scène 23, LISETTE)
Elle les guettait au sortir d'ici. (Acte 1, scène 25, LA-FLEUR)

LE RETOUR DES OFFICIERS (1697)

Oh palsangué, j'irai bian tout seul ; aussi bian j'enrage quand je vous vois faire ici toutes les sottises que vous faites. (Acte 1, scène 1, MATURIN)
Quand il n'y a que de la robe et de la Finance dans le commerce, les Sous-fermiers brillent, on les trouvent passables : mais sitôt qu'on revoit des Officiers, ces autres Messieurs-là deviennent si laids, si laids? (Acte 1, scène 3, TOINETTE)
Oui, j'étais Rat de cave comme vous savez ; et par amiquié depuis qu'il est ici, je l'y sarvais parfois de valet de chambre, je ne suis rian de tout ça ; je charche condition : si vous en saviez queuque bonne où on portît la queue, par exemple, ça porte bonne chance. (Acte 1, scène 3, MATURIN)
Vous êtes trop formé pour cela, Monsieur Maturin, cette condition-là serait difficile à trouver. (Acte 1, scène 3, TOINETTE)
Voici queuque une de vos Damoiselles. (Acte 1, scène 3, MATURIN)
Tant mieux, Madame, c'est bon signe, ils vous en apporteront eux-mêmes ; ils savent bien que nous sommes à Péronne, et dès qu'ils pourront quitter l'armée, ils viendront d'abord ici, apparemment. (Acte 1, scène 4, TOINETTE)
Tu n'y songe pas, cousine, c'est le temps du départ, que le Printemps, tout le monde va à l'armée, on ne voit plus aucun Officier. (Acte 1, scène 5, HENRIETTE)
Paix, taisons-nous, voici ma mère. (Acte 1, scène 5, HENRIETTE)
Je viens d'apprendre que Clitandre et Éraste sont ici. (Acte 1, scène 6, MADAME THOMAS)
Ils sont ici, ma tante, et vous croyez que cela doit nous chagriner ? (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
Quoi, c'est pour cela qu'il vient ici ? (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
Faire deux Officiers de vos deux benêt, et jeter les deux Officiers dans la Robe et dans la Finance. (Acte 1, scène 7, TOINETTE)
Voici déjà vos deux amants, il faut leur proposer la chose ; s'ils y topent, c'est une affaire faite. (Acte 1, scène 7, TOINETTE)
Vous allez la renouveler ici, car vous y avez des rivaux, je vous en avertis. (Acte 1, scène 8, TOINETTE)
Demeurez ici avec moi, vous. (Acte 1, scène 8, TOINETTE)
Tu es bonne personne, nous nous connaissons depuis longtemps, c'est toi qui m'as produit ici, le nid est bon, tu sais mes besoins, il faut me servir, je fais ta fortune. (Acte 1, scène 9, CLITANDRE)
Tenez, voici un galant homme dont je veux vous faire avoir la Charge à bon marché. (Acte 1, scène 9, TOINETTE)
Un Officier, des parents de la famille. (Acte 1, scène 12, TOINETTE)
La voici avec ma tante. (Acte 1, scène 14, ISABELLE)
Madame a raison, Monsieur, vous êtes de vrais gâte-filles, tout tant que vous êtes, vous autres Officiers ; et quand vous en avez fréquenté quelqu'une, on a toutes les peines du monde à lui remettre un bon vernis sur la réputation. (Acte 1, scène 15, TOINETTE)
Voici qui change bien la chose, Madame. (Acte 1, scène 15, TOINETTE)
Vous voyez un nouvel Officier qui avait bien de l'impatience d'avoir l'honneur de posséder l'avantage de vous faire ses très humbles révérences. (Acte 1, scène 16, DES BALIVEAUX)
Voici Monsieur Rapineau le plus à propos du monde, c'est le mari que je destine à ma fille. (Acte 1, scène 17, MADAME THOMAS)
Les violons ont pensé nous manquer, Madame ; ils étaient retenus par je ne sais combien de gens de toutes façons, qui font une espèce de mascarade de Flandres, et qui se réjouissent ensemble de ce qu'on vient de leur dire que la paix est faite ; mais ce sera un surcroît de plaisir pour nous, et voici toute la bande que je vous amène. (Acte 1, scène 18, MONSIEUR RAPINEAU)
Que vient-il faire ici ? (Acte 1, scène 19, MONSIEUR RAPINEAU)
Voici la paix, ne craignez plus les coups, v.21 (Acte 1, scène 20, MADEMOISELLE GODEFROI, FLAMANDE)

LA FÃŠTE DE VILLAGE. (1700)

Je suis ennemi des superfluités, je me contente du nécessaire, et je ne sache rien au monde de si beau, que la simplicité du temps passé. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR BLANDINEAU)
Oui, mais si comme au temps passé on vous donnait trois sols parisis, ou deux carolus pour des écritures que vous faites aujourd'hui payer trois ou quatre pistoles, cette simplicité-là vous plairait-elle, Monsieur Blandineau ? (Acte 1, scène 2, NAQUART)
Je vous les communiquerai. La voici, proposez-lui l'affaire ; selon la réponse qu'elle vous fera, nous réglerons les mesures que nous aurons à prendre ensemble. (Acte 1, scène 2, NAQUART)
Vous voilà, Monsieur Blandineau, je suis bien aise de vous trouver icI. Donnez-moi de l'argent, je n'en ai plus. (Acte 1, scène 5, MADAME BLANDINEAU)
À propos, c'est aujourd'hui la fête du Village, nous sommes les plus considérables, on soupe ici ce soir, je crois que vous en êtes bien et dûment averti ?... (Acte 1, scène 5, MADAME BLANDINEAU)
Mais, voici une petite personne qui l'est encore plus que lui, quoique son malheur soit d'une autre nature. (Acte 1, scène 7, LISETTE)
Oh, pour moi, je ne comprends pas comment depuis huit jours que nous sommes ici, vous n'avez point eu de ses nouvelles : il faut qu'il soit mort ou malade. (Acte 1, scène 8, LISETTE)
Ma chère Lisette, voici Lolive. (Acte 1, scène 8, ANGÉLIQUE)
Qui t'amène donc ici ? (Acte 1, scène 9, ANGÉLIQUE)
T'envoie-t-il ici pour nous dire cela ? (Acte 1, scène 9, LISETTE)
Il va venir ici ? (Acte 1, scène 9, ANGÉLIQUE)
Si fait vraiment, ce n'est pas celle qui a son mari, c'est celle qui est veuve, Madame la Greffière ; et j'ai ici une lettre pour elle que je m'en vais lui rendre au plus vite. (Acte 1, scène 9, LOLIVE)
Le petit Comte va arriver, et en poste, même ; son valet de chambre est déjà ici, cette affaire-là sera bientôt publique. (Acte 2, scène 2, LA GREFFIÈRE)
En voici bien d'un autre. (Acte 2, scène 6, LISETTE)
Vous avez l'usage des affaires, faites au plutôt dresser votre contrat et le mien, nous les signerons dans le moment que nous aurons ici Monsieur_le_Comte. (Acte 2, scène 7, LA GREFFIÈRE)
Le voici, nous allons voir? (Acte 3, scène 2, LE COMTE)
Oh çà, Monsieur, nous voici seuls, parlez-moi sincèrement. (Acte 3, scène 4, NAQUART)
Que venez-vous faire ici ? (Acte 3, scène 4, NAQUART)
Voici Madame la Greffière, entretenez-la dans les sentiments où elle est pour vous, et venez me joindre chez le Tabellion, où je vais vous attendre avec Angélique. (Acte 3, scène 4, NAQUART)
Vous me cherchiez, je vous cherchais, nous nous cherchions tous deux ; l'amour nous conduit l'un vers l'autre, l'hymen va nous unir : quelle félicité ! (Acte 3, scène 5, LA GREFFIÈRE)
Non, qu'ils viennent ici, Monsieur le Magister. (Acte 3, scène 6, LA GREFFIÈRE)
Ici, soit. (Acte 3, scène 6, LE MAGISTER)
Qu'on nous apporte ici des sièges. (Acte 3, scène 6, LA GREFFIÈRE)
Pour vous, pour moi, pour tous tant que nous sommes icI. La fin du siècle m'est heureuse, je me fais un plaisir de la célébrer. (Acte 3, scène 6, LA GREFFIÈRE)
Je vous félicite de devenir Comtesse, félicitez-moi d'être Baronne. (Acte 3, scène 8, MADAME BLANDINEAU)
Ouais, voici qui est admirable ! (Acte 3, scène 10, LA GREFFIÈRE)
C'est un quiproquo, Madame, une méprise, et cela sera difficile à rectifier. (Acte 3, scène 10, NAQUART)
Difficile tant qu'il vous plaira, Monsieur_le_Comte, ni moi, nous ne serons pont les dupes d'un quiproquo, sur ma parole : n'est-ce pas, Comtin ? (Acte 3, scène 10, LA GREFFIÈRE)
Que sur notre simplicité v.27 (Acte 4, scène 1, PREMIÈRE PAYSANNE)
Toute notre félicité v.29 (Acte 4, scène 1, PREMI?RE PAYSANNE)
Vient de cette simplicité : v.30 (Acte 4, scène 1, PREMI?RE PAYSANNE)
Que sur notre simplicité v.33 (Acte 4, scène 1, PREMI?RE PAYSANNE)
Du ridicule ici traité v.51 (Acte 4, scène 1, SECONDE PAYSANNE)
Du ridicule ici traité : v.54 (Acte 4, scène 1, SECONDE PAYSANNE)
Du ridicule ici traité v.57 (Acte 4, scène 1, SECONDE PAYSANNE)

LA COMÃ‰DIE DES COMÃ‰DIENS (1710)

Le voici, je crois, Marton. (Acte 1, scène 1, LUCILE)
C'est lui-même, il vient ici souvent ; ce n'est pas pour moi, quelque autre raison l'y attire. (Acte 1, scène 1, MARTON)
Je n'ai point remarqué qu'il vous vît à regret ici. (Acte 1, scène 2, LUCILE)
La voici, je pense ? (Acte 1, scène 2, MARTON)
Je m'étais imaginé avoir vu entrer ici? (Acte 1, scène 3, ANGÉLIQUE)
Beaucoup de plaisir quand il est ici. (Acte 1, scène 3, MARTON)
N'est-il pas venu ici ?? (Acte 1, scène 5, MONSIEUR GRICHARDIN)
C'est vous qui nous avez envoyé cette bande de /Musiciens en masque ? (Acte 1, scène 5, MARTON)
Ils sont ici ? (Acte 1, scène 5, MONSIEUR GRICHARDIN)
Oui, ma chère enfant, depuis notre mariage je suis galant et de meilleure humeur que je n'ai jamais été, et j'ai imaginé, pour vous faire plaisir, de vous donner ici ce soir une espèce de petit bal, une façon de petite fête. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR GRICHARDIN)
Oh, parbleu, voici qui est plaisant, je la lui garde, il n'a qu'à s'y attendre. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR GRICHARDIN)
Monsieur, voici trois carrossées de parents qui vous arrivent en masques. (Acte 1, scène 6, NICOLE)
Il faudra faire ici un petit Théâtre dans le jardin, et avoir bien soin que tout aille comme il faut, et que cela fasse plaisir à ma femme ; ce n'est que pour elle que je fais tout cela. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR GRICHARDIN)
Cela n'est pas bien difficile, je vais vous faire Comédiens Italiens. (Acte 1, scène 7, MARTON)
Je viens vous dire, Madame, que tous les gens priés sont presque ici. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR GRICHARDIN)
J'en crois le coeur encore plus que les yeux, Éraste, et le mien m'a fait sentir des mouvements qui m'ont appris que vous étiez ici. (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
Que je trouve ce personnage-là difficile ! (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
La métamorphose ne sera pas bien difficile pour moi : une barbe de plus, et des bottes de moins, voilà l'affaire faite. (Acte 2, scène 4, MONSIEUR POISSON)
Cela est difficile sur le champ, et n'est point de notre sujet. (Acte 2, scène 5, MONSIEUR DE LA THORILIÈRE)
Ne perdons point de temps, Monsieur Grichardin pourrait nous trouver ici, et nous reconnaître, moi, surtout. (Acte 2, scène 5, LÉANDRE)
Ne vous inquiétez point vous, je vous garantis votre mariage signé avant qu'il soit une heure d'ici, ou il faudra que Monsieur votre oncle soit devenu plus défiant et plus avisé que de coutume. (Acte 2, scène 6, MARTON)
Paix, taisons-nous, voici mon oncle. (Acte 2, scène 6, ISABELLE)
Oui, Monsieur, on m'a parlé de vous, et voilà ma nièce Isabelle, pour qui l'on m'a dit que vous aviez quelque dessein, qui se rencontre ici fort à propos. (Acte 2, scène 9, MONSIEUR GRICHARDIN)
Voici un jeune docteur que vous voulez bien me permettre de consulter, Monsieur Grichardin, pour savoir si un projet amoureux que nous avons concerté, Mademoiselle Marton et moi, pourra réussir. (Acte 2, scène 11, MEZZETIN)
Plus d'honneur que Pompée, plus de gloire qu'Alphonse, plus de grandeur d'âme que Fabricius, plus de fermeté que Brutus. (Acte 2, scène 11, ANGÉLIQUE)
Il me semble qu'il y a plus de jolies personnes ici-bas qu'il n'y en a jamais eu. (Acte 3, scène 1, MOMUS)
Vous avez pris la chose trop à coeur, il fallait châtier l'Amour autrement, vous voyez où vous en êtes pour l'avoir banni de votre Cour ; toutes les autres Divinités s'en sont éloignées, les Déesses surtout : plus d'Amour auprès d'elles, plus de plaisirs, ni jeux, ni festins, ni fêtes galantes : le séjour de la félicité est devenu celui de la tristesse et de l'ennui, et l'Olympe est un désert à présent. (Acte 3, scène 1, MOMUS)
Il ne sera pas donc difficile d'avoir de leurs nouvelles ? (Acte 3, scène 1, MOMUS)
On solliciterait pour eux ; et en tous cas, les Nymphes de Thémis sont trop de leurs amies pour les laisser manquer de protection. (Acte 3, scène 1, JUPITER)
Voici quelqu'un qui parle de lui, et qui pourrait bien nous en dire des nouvelles. (Acte 3, scène 2, MOMUS)
Je le crois bien ; je ne suis pas de difficile accès, non plus que vous. (Acte 3, scène 2, LE DOCTEUR)
Vous n'êtes donc pas d'ici ? (Acte 3, scène 2, LE DOCTEUR)
Votre métier n'est pas si difficile que le sien. (Acte 3, scène 2, LE DOCTEUR)
Voici qui est plaisant. (Acte 3, scène 4, LE DOCTEUR)
Cela est fort bien, attachez-vous à ces petits passages que je vous ai marqués, et amenez-moi tantôt ici toutes les filles du Village. (Acte 3, scène 5, MERCURE)
mais voici un Rustre qui m'observe. (Acte 3, scène 7, MERCURE)
Oui, c'est comme cela que vous le prenez ; voyez un peu qu'il est difficile ! (Acte 3, scène 7, PIERROT)
Amicitia inter pares? (Acte 3, scène 8, L'AMOUR)
Et moi aussi : mais ne t'inquiète point, nous avons de l'esprit et des talents, il faut les essayer ici dans quelque village ; et selon le succès que nous aurons, nous nous approcherons des grandes Villes. (Acte 3, scène 8, MERCURE)
En pareil cas que nous, Neptune se fit Maçon, et Apollon Berger ; il y a tant de métiers pour subsister : j'ai déjà commencé à travailler ici d'un des miens, le montre la Musique. (Acte 3, scène 8, MERCURE)
Cela ne sera pas bien difficile ; moi comme Musicien, toi comme bel esprit, nous serons de toutes les jolies parties de plaisir, nous y brillerons, nous ferons bonne chère, et bourse commune. (Acte 3, scène 8, MERCURE)
Il y a ici de l'ouvrage, quoique ce ne soit qu'un village. (Acte 3, scène 8, MERCURE)
J'ai vu que c'était avant ma disgrâce le rendez-vous de mes meilleures pratiques ; il s'est fait ici de bons tours sous mes auspices. (Acte 3, scène 8, L'AMOUR)
Vous m'en trouverez bien moins, Monsieur, quand vous aurez vu ceux de ma maîtresse : la voici? (Acte 3, scène 9, SPINETTE)
C'est ce Monsieur le Musicien qui ne me veut rien montrer, le vela bien adressé, il aura biau jeu. (Acte 3, scène 11, PIERROT)
Voici ce maroufle de Pierrot, qui revient pour nous observer. (Acte 3, scène 13, MERCURE)
Le voici qui vient de ce côté, il s'est accosté de Marotte : rentrons sans lui parler, et le laissons jaser avec elle. (Acte 3, scène 14, PIERROT)
Ça est comme je vous le dis, Monsieur : ce Monsieur le Musicien qui est ici, m'a dit de rassembler toute la jeunesse, pour une petite fête qu'il veut nous donner ; et comme les Demoiselles de chez vous sont les plus aimables du Village, on ne me pardonnerait pas de ne vous pas prier de trouver bon qu'elles en fussent. (Acte 3, scène 15, MAROTTE)
Je ne garderai pas longtemps chez moi Jupiter et Momus ; on vient de les avertir que l'Amour est caché quelque part ici dans le Village, ils ne tarderont pas à le retrouver. (Acte 3, scène 16, LE DOCTEUR)
Non, je ne me trouve point mal ici, je prétends y demeurer quelque temps encore, et je demande à Jupiter un mois de vacance pour me divertir à faire parmi les hommes le métier de Charlatan, que Mercure m'a proposé, et qui me flatte. (Acte 3, scène 18, L'AMOUR)
Hé bien, soit, je te l'accorde ; mais je reste ici, je demeure chez le Docteur, je te veux attendre. (Acte 3, scène 18, JUPITER)
Voilà toute la jeunesse du Village que vous m'avez dit de rassembler, Monsieur le Musicien. (Acte 3, scène 19, MAROTTE)
Ce n'est plus un Musicien, belle Marotte, c'est Mercure ; et moi je ne suis plus Pierrot, je suis Léandre. (Acte 3, scène 19, PIERROT)
Voici dans ces paquets tout ce qu'il faut pour plaire, v.189 (Acte 4, scène 2, MERCURE)
Je devine à peu près ce qui vous tient ici. v.301 (Acte 4, scène 4, LE CHEVALIER)
Que vous ferez ici d'excellentes recrues ! v.321 (Acte 4, scène 4, LE CHEVALIER)

L'OPÃ‰RA DE VILLAGE (1693)

Il y a ici deux drôles qui n'y restont pas pour enfiler des parles : ils la lorgnons, et ils ne la lorgnons pas pour des preunes. (Acte 1, scène 1, COLIN)
Mais aussi, que faisont-ils ici ? (Acte 1, scène 1, COLIN)
Est-ce que tu ne sais pas qu'ils attendont une recrue de filles, pour établir ce buriau de musique qu'ils allont avoir à trois lieues d'ici ? (Acte 1, scène 1, THIBAUT)
C'est une des raisons qui nous ont fait demeurer ici, Monsieur Bouvillon et moi, et nous nous promettons beaucoup d'une petite espèce de fête qu'on dit que vous lui préparez. (Acte 1, scène 2, GALOCHE)
C'est le factotum d'un Colonel qui passa dernièrement ici, comme vous êtes le factotum de Monsieur de Bouvillon, vous ; et il attend une recrue d'hommes, justement tout comme vous attendez une recrue de filles. (Acte 1, scène 2, THIBAUT)
Mais sérieusement que faites-vous ici ? (Acte 1, scène 4, GALOCHE)
Enfin Monsieur Bouvillon est ici, à ce que j'ai ouï dire ; c'est un chercheur d'aventures, et vous ne lui êtes pas inutile. (Acte 1, scène 4, LA FLÈCHE)
Le voici de retour fort à propos. (Acte 1, scène 5, LA FLÈCHE)
Ils ont dessein, Monsieur Bouvillon et lui, d'enlever votre fille, et il me sollicitait de leur prêter main forte. (Acte 1, scène 6, LA FLÈCHE)
Voici ma cousine, laisse-nous. (Acte 1, scène 8, LOUISON)
Laisse-nous, te dis-je, et reviens ici dans un moment, j'aurai quelque chose à te dire. (Acte 1, scène 8, LOUISON)
Ce jeune Comte qui passa il y a huit jours par ici. (Acte 1, scène 9, LOUISON)
Il est ici depuis une heure, et il veut m'emmener avec lui ; conseille-moi, que faut-il que je fasse ? (Acte 1, scène 9, LOUISON)
Ce sont de terribles gens que ces jeunes Officiers, il ne faut s'y fier que de la bonne sorte. (Acte 1, scène 10, MARTINE)
Il ne vous trouvera point, ne craignez rien, les Acteurs du divertissement vont venir répéter ici. (Acte 1, scène 10, LA FLÈCHE)
Je crois que voici votre père, je vais l'amuser un moment, et j'irai tout aussitôt vous rejoindre. (Acte 1, scène 10, LA FLÈCHE)
J'avons besoin de vous, Monsieur Galoche, et vous m'avez promis de mettre un tantinet le nez dans nos affaires : morgué, taillez, rognez comme il vous plaira, je ne sommes pas difficiles ; je trouverons tout bian, faites seulement. (Acte 1, scène 14, THIBAUT)
Palsangoi, vous chantez-là bian à votre aise ; mais voici d'autres chansons, mon oncle. (Acte 1, scène 15, COLIN)
Je m'en allais tout bellement au-devant de notte Monsieur_le_Marquis sur notte grand jument qui est pleine : j'ai trouvé envars ici à l'autre bout de la grande allée un jeune Monsieur que je connais de visage, qui enfarmait Martine et Louison dans une petite charrette de cuir, comme dans un coffre. (Acte 1, scène 15, COLIN)

DIVERTISSEMENT DE SCEAUX (1705)

Reçoit ici l'encens et l'hommage des hommes. v.17 (Acte 1, scène 1, MADEMOISELLE SALLE)
C'est la Vertu qui tient ici sa Cour ; v.22 (Acte 1, scène 1, LE DRUIDE)
Ici la moindre fontaine v.42 (Acte 1, scène 1, MADEMOISELLE SALLE)

SANCHO PANÇA, GOUVERNEUR (1712)

Et voici, grâce au Ciel, pour la troisième fois, v.43 (Acte 1, scène 1, SANCHO)
Sans doute, et je vois bien qu'il serait difficile v.69 (Acte 1, scène 1, LE DUC)
Je choisirai vos gens, vos Officiers, vos Pages, v.78 (Acte 1, scène 1, LE DUC)
Je ne m'en suis pas fort aperçu jusqu'ici. v.123 (Acte 1, scène 3, LE DUC)
Mais si la chose était, il serait difficile v.141 (Acte 1, scène 3, LE DUC)
De deux fous que le sort adresse ici chez vous, v.207 (Acte 1, scène 8, LE DUC)
Peut produire de juste en sa simplicité. v.224 (Acte 1, scène 8, LE DUC)
Dans le plaisir qu'ici vous vous donnez vous-même, v.229 (Acte 1, scène 8, LEONOR)
Seigneur, c'en est ici la Ville capitale. v.270 (Acte 1, scène 10, LA DUCHESSE)
De Monseigneur le Duc c'est ici le Château. v.271 (Acte 1, scène 10, SANCHO)
Vous ferez ici votre séjour, v.275 (Acte 1, scène 10, LE DUC)
Enfin voici votre Île, où je veux qu'on vous aime, v.277 (Acte 1, scène 10, LE DUC)
Ici mon aventure à la vôtre est pareille. v.298 (Acte 1, scène 10, SANCHO)
Ici, dans un château fait comme une taverne, v.301 (Acte 1, scène 10, SANCHO)
D'une façon étrange et difficile à croire ? v.394 (Acte 1, scène 12, CARISAL)
Mais qu'ai-je affaire ici de porter vos pensées, v.405 (Acte 1, scène 12, CARISAL)
Ici, je le confesse, on trouve quelque marque v.529 (Acte 2, scène 1, DON QUICHOT)
Et quoique ce public soit si fort difficile, v.613 (Acte 2, scène 1, SANCHO)
On m'insulte ici, moi, qui figure pour vous. v.620 (Acte 2, scène 2, SANCHO)
Un Gouverneur qui vit ici dans l'opulence, v.710 (Acte 2, scène 3, PERALTE)
Sollicitai-je en vain votre magnificence ? v.722 (Acte 2, scène 3, PERALTE)
Ce mauvais goguenard se raille ici de nous, v.727 (Acte 2, scène 3, SANCHO)
Ici par Écuyer me fait rendre visite ? v.742 (Acte 2, scène 4, SANCHO)
Que me propose-t-on ? Qui vous amène ici ? v.767 (Acte 2, scène 8, DON QUICHOT)
La voici, v.768 (Acte 2, scène 8, MADIAN)
Voici le fait en peu de mots. v.778 (Acte 2, scène 8, MADIAN)
Mon excellence ici me semble un peu bernée. v.807 (Acte 2, scène 8, SANCHO)
D'avoir par un exprès appris ici par eux v.845 (Acte 2, scène 8, DON QUICHOT)
Pour bien décider voici ce qu'il faut faire. v.957 (Acte 3, scène 2, SANCHO)
Le voici. v.1015 (Acte 3, scène 3, DON LOPE)
L'amour vif à contraindre est beaucoup difficile. v.1056 (Acte 3, scène 4, MADAME RODRIGUE)
Madame, jusqu'ici nourri dans la contrainte, v.1077 (Acte 3, scène 4, DON CARLOS)
La chose à décider n'est pas fort difficile : v.1132 (Acte 3, scène 4, SANCHO)
Quoi ! S'il en arrivait ici de toutes parts v.1151 (Acte 3, scène 5, SANCHO)
Oui, Monseigneur, j'y viens. Or donc, voici le cas v.1182 (Acte 3, scène 6, L'ÉTRANGER)
Commandez qu'on apporte ici sur deux tonneaux, v.1268 (Acte 4, scène 1, SANCHO)
Voici la salle préparée : v.1289 (Acte 4, scène 2, LE DOCTEUR)
Officier, reportez ce plat à la cuisine. v.1338 (Acte 4, scène 3, LE DOCTEUR)
Toute réplétion est préjudiciable : v.1405 (Acte 4, scène 3, LE DOCTEUR)
Un accident étrange et difficile à croire, v.1422 (Acte 4, scène 3, LE DOCTEUR)
Sortez d'ici, Médecin mal habile, v.1465 (Acte 4, scène 3, SANCHO)
Et tout chemin faisant on me renvoie ici v.1483 (Acte 4, scène 4, LE COURRIER)
Que l'on m'ôte d'ici ce maudit garnement. v.1491 (Acte 4, scène 5, SANCHO)
Et revenez ici pour lui donner l'aubade. v.1563 (Acte 5, scène 1, LE DUC)
L'ennemi va bientôt nous investir ici, v.1634 (Acte 5, scène 5, DON LOPE)
Prévenons-les, de grâce ; aux armes, les voici : v.1635 (Acte 5, scène 5, DON LOPE)
Voici le Gouverneur ; il est mort. Sans tumulte, v.1664 (Acte 5, scène 7, PERALTE)
Si j'osais faire ici le brave à contretemps, v.1718 (Acte 5, scène 10, SANCHO)
Je comprends bien qu'ici l'on me prend pour un sot ; v.1731 (Acte 5, scène 12, SANCHO)
Et l'on croirait qu'ici l'on n'en a jamais vu. v.1775 (Acte 5, scène 13, DON LOPE)
Voici le grand vainqueur, qu'en pompe l'on amène. v.1788 (Acte 5, scène 13, DON LOPE)
L'Enchanteur vient lui-même ici. v.1819 (Acte 5, scène 14, LE DUC)
Ici par des chemins secrets v.1835 (Acte 5, scène 15, ARCHELAÜS)
Je reviens, me voici toujours prêt à bien faire, v.1907 (Acte 5, scène 17, SANCHO)
À la félicité suprême v.1932 (Acte 5, scène 17, DULCINEE)

LE CHARIVARI (1697)

Que diantre fais-tu ici dans cet équipage ? (Acte 1, scène 5, ÉRASTE)
Çà voyons, parle-moi, franchement, qui t'amène ici ? (Acte 1, scène 5, ÉRASTE)
On m'a fait dire de me déguiser en paysan, d'amener des instruments, et des musiciens. (Acte 1, scène 5, CLITANDRE)
Voici la maison de Madame Loricart. (Acte 1, scène 5, LOLIVE)
Il n'importe, je vous en félicite, et la part que je prends à tout ce qui vous regarde... (Acte 1, scène 6, LOLIVE)
C'est bien dit, Monsieur, vous parlez d'or, faites de même, je vous seconderons que rian n'y manquera : vous voici venu tout à propos, et je mourions d'envie de vous voir, ces Damoiselles et moi, afin que vous nous conseillissiais ce qu'il faut que je fassions ; car, voyez-vous, je n'y entendons point de malice, je ne demandons qu'amour et simplesse : je vous en croirons ! (Acte 1, scène 9, MATHURINE)
Que venez-vous faire ici. (Acte 1, scène 10, MADAME LORICART)
Que je reconnais bien là mes deux coquines, qui me font passer pour une bourrue, pour une capricieuse. (Acte 1, scène 10, MADAME LORICART)
Ho je n'en aurai pas le démenti, je fais tous les frais de la noce ; on dansera ici dans ma cour, et je ferai même le festin pour leur faire dépit. (Acte 1, scène 10, MADAME LORICART)
Va-t-en les chercher, et qu'ils veniont ici, il n'y a plus rian à craindre. (Acte 1, scène 13, MATHURINE)
En voici déjà une, je varrons biantôt l'autre. (Acte 1, scène 15, MATHURINE)
Ils sont tous deux ici, ne vous impatientez plus. (Acte 1, scène 16, MATHURINE)
Mais nous avions projeté, comme tu sais, qu'ils ne paraîtraient ici qu'avec toute la noce, et que pendant qu'on danserait, dans la chaleur du divertissement, nous trouverions moyen de les entretenir, sans que ma tante, toute soupçonneuse qu'elle est, pût s'imaginer que deux paysans fussent nos amants. (Acte 1, scène 16, MARIANE)
Je ferais tort à mes nièces d'en douter, Messieurs ; et si Madame Loricart était raisonnable, vous n'auriez pas besoin de paraître ici sous des figures empruntées ; mais... (Acte 1, scène 18, CLÉONTE)
Y a-t-il longtemps que vous êtes ici ? (Acte 1, scène 18, MARIANE)
Non, demeure ici, Mathurine, afin d'amuser ma tante, en cas qu'elle s'avisât de demander où nous sommes. (Acte 1, scène 18, MARIANE)
Mais voici qui est admirable, les uns disont d'une façon, les autres disont de l'autre ; on ne sait à qui croire. (Acte 1, scène 20, THIBAUT)
Voici tout le Village que nous vous amenons, ma soeur, avec les violons de la noce d'Ambroise, pour servir de prélude à la vôtre ; et pour nous réjouir avec vous du bon choix que vous avez fait. (Acte 1, scène 21, CLÉONTE)
Au contraire, Madame, nous en sommes tous ravis, je vous assure ; et Monsieur Thibaut veut bien que je sois le premier à le féliciter. (Acte 1, scène 21, CLÉONTE)
Voici votre gendre aussi, Monsieur Thibaut, qui vous vient faire la révérence. (Acte 1, scène 21, CLÉONTE)

LE VERT-GALANT (1699)

Moi, Officier de Dragons, aller loger chez un teinturier, que l'on sait qui est mon oncle ! (Acte 1, scène 1, ÉRASTE)
Tu sais les vues qui m'amènent ici, cela rétablira mes affaires. (Acte 1, scène 1, ÉRASTE)
J'ai des mesures à garder avec cent officiers de mes camarades. (Acte 1, scène 1, ÉRASTE)
Mais voici votre oncle, voulez-vous que j'aborde le bonhomme ? (Acte 1, scène 1, LÉPINE)
Je vais coucher ce soir à ma maison d'Anthony, et je serai ici demain à Soleil levant. (Acte 1, scène 1, JÉRÔME)
Fort bien, l'Officier de Dragons deviendra Teinturier, et le Teinturier, Gentilhomme ; ce sera là une jolie métamorphose. (Acte 1, scène 3, LÉPINE)
Ne vous mettez pas en peine ; j'ai ici par hasard des gens qui ne seront pas inutiles pour cela. (Acte 1, scène 7, JÉRÔME)
Va-t-en m'attendre avec Lépine dans le petit cabinet du jardin ; quand j'aurai dit un mot à Madame Jérôme que voici, j'irai vous rejoindre, et je vous communiquerai mon projet. (Acte 1, scène 9, JÉRÔME)
Parbleu, voici qui est plaisant ; est-ce que je suis de trop chez moi ? (Acte 1, scène 10, JÉRÔME)
Allez donc, Javotte, et l'amenez ici... (Acte 1, scène 10, MADAME JÉRÔME)
Qu'on apporte le souper ici, c'est l'endroit le plus éloigné de la rue, et où nous serons le mieux à couvert des regards curieux du voisinage. (Acte 1, scène 12, MADAME JÉRÔME)
Il n'est point ici, vous y tenez sa place ; il faut que vous y figuriez comme lui, afin qu'on ne s'aperçoive point de son absence. (Acte 1, scène 13, JAVOTTE)
Un Officier de Dragons, un neveu de Monsieur Jérôme, qui n'est ici que d'aujourd'hui. (Acte 1, scène 14, MADAME JÉRÔME)
Est-ce qu'il ne soupe pas ici. (Acte 1, scène 14, ÉRASTE)
On dit que vous me demandez, mon Officier ? (Acte 1, scène 15, LÉPINE)
Ici comme ailleurs, nous mangerons à table d'hôte, mais la chère est meilleure qu'à l'auberge de la garnison, comme tu vois. (Acte 1, scène 15, ÉRASTE)
Il faut par reconnaissance le divertir aussi, mon Officier, et ne le pas laisser ennuyer. (Acte 1, scène 15, LÉPINE)
L'affaire sérieuse que j'avais a manqué ; il m'en est par hasard survenue une de galanterie ; j'avais dit chez moi que je ne n'y souperais point, et je suis retombé ici pour attendre l'heure. (Acte 1, scène 16, TARIF)
Oui vraiment, et chez le Baigneur même en sortant d'ici. (Acte 1, scène 16, LÉPINE)
Non, non, je n'ai garde ; mais le Baigneur pourrait être un indiscret, un babillard, cela est de conséquence : baignez-vous ici, la chose sera plus secrète. (Acte 1, scène 16, JÉRÔME)
Que je me baigne ici ! (Acte 1, scène 16, TARIF)
Va-t-en chercher Angélique, et l'amène ici. (Acte 1, scène 18, JÉRÔME)
Là-bas dans la salle, où deux Officiers de Dragons, et Monsieur Jérôme, travaillent de concert à enivrer Monsieur Tarif. (Acte 1, scène 19, MADAME JÉRÔME)
Oui, c'est Éraste, je le reconnais ; je ne le croyais pas ici. (Acte 1, scène 19, MADAME CLOPINET)
Oui charmante angélique, nos affaires sont dans la meilleure situation du monde : Monsieur Jérôme, mon oncle, approuve l'ardeur que j'ai pour vous, et j'ose quasi vous répondre que Monsieur votre oncle qui est ici ne me refusera pas son aveu. (Acte 1, scène 20, ÉRASTE)
Que faites-vous ici avec lui ? (Acte 1, scène 20, MADAME TARIF)
J'ai envoyé prier mon cousin, Monsieur Gaspard l'avocat, de se donner la peine de venir jusqu'ici, pour me concerter avec lui, et voir quelle bonne couleur nous donnerons à cela. (Acte 1, scène 22, JÉRÔME)
Voici quelqu'un. (Acte 1, scène 22, JÉRÔME)
Il n'est pas question de latin, je ne l'entends point. Mais je les ai trouvés ensemble, vous dis-je, en présence d'un de mes neveux, Officier d'armée, qui en peut rendre témoignage. (Acte 1, scène 23, JÉRÔME)
Il m'a voulu donner pour excuse, qu'il n'était ici qu'en passant, et en attendant l'heure d'aller chez le Baigneur, pour se préparer à une bonne fortune. (Acte 1, scène 23, JÉRÔME)
Et si je le réparais, de manière à vous remettre dans le même état où vous étiez en venant ce soir ici, que feriez-vous ? (Acte 1, scène 26, LÉPINE)
Apprendre ici comment se venge v.2 (Acte 1, scène 27, JAVOTTE)
Il n'est soins qu'ici l'on ne prenne : v.36 (Acte 1, scène 27, JAVOTTE)

SECOND CHAPITRE DU DIABLE BOITEUX (1707)

Tout Diable que je suis, comme j'ai été longtemps à Madrid, enfermé dans la fiole du Magicien, il m'est échappé bien des choses dont je n'ai tout au plus que des idées confuses ; rendez-les plus nettes, remettez-moi au fait. (Acte 1, scène 1, LE DIABLE)
C'est ici qu'elles logent, sachons ce qu'elles ont fait pendant mon absence, voyons si vous pourrez prendre quelque goût pour l'une ou pour l'autre : elles ont besoin d'un bon protecteur, et j'ai jeté les yeux sur vous pour cela, Monsieur Simon. (Acte 1, scène 1, LE DIABLE)
Avertissez-la que je suis ici, Sanchette, avec un jeune Seigneur de ma connaissance, que je lui amène. (Acte 1, scène 2, LE DIABLE)
En fait de plaisirs et de fortune, comme en toute autre chose, on n'arrive au période que par degrés, au moins, et je vous trouve bien difficile de n'avoir pu vous accommoder, en attendant mieux, des caractères dont vous me parlez là. (Acte 1, scène 3, LE DIABLE)
Nous allons ce soir souper chez elle, il y a grande fête, bal, musique, quantité de Dames et de jeunes Officiers. (Acte 1, scène 3, THÉRÈSE)
Vous êtes de trop dans la maison, nous n'avons que faire ici de Médecin ; et ma Maîtresse et les personnes qu'elle voit, sont trop occupées du plaisir, pour avoir le temps d'être malades. (Acte 2, scène 1, LISETTE)
La veuve d'un Sous-traitant des Aydes de Tours, faire de sa maison une Auberge d'Officiers ? (Acte 2, scène 1, BERTRAND)
Oh, dame, nous sommes ici comme aux Antipodes, Monsieur, il ne fait jour chez nous que quand il fait nuit partout ailleurs. (Acte 2, scène 1, LISETTE)
Plaisirs, visites, affaires, promenades, tout se fait ici pendant la nuit ; et nos Dames se proposaient hier de faire avec des lévriers une partie de chasse aux flambeaux ; et s'il n'avait été grand jour quand elles sont sorties de table? (Acte 2, scène 1, LISETTE)
C'est le Major et la Présidente, il faut que Madame soit éveillée, j'entends sa voix, elle s'est levée sans moi ; ils pourraient bien venir ici, et je serais fâchée qu'on nous vît ensemble. (Acte 2, scène 1, LISETTE)
Monsieur le Major, par complaisance, est aussi incertain que vous, et je vois bien que nous ne conclurons rien, que nous n'ayons ici le Chevalier. (Acte 2, scène 2, MADAME SIMON)
Va voir si le Chevalier est éveillé ; mais non, ne bouge, voici son valet de chambre. (Acte 2, scène 2, MADAME SIMON)
Mais ne vous fâchez donc point, Madame, voici Monsieur le Chevalier, il va vous rendre votre bonne humeur. (Acte 2, scène 2, LISETTE)
Il faut, malgré vous, que vous ayez ici le bal cette nuit, Madame ; il y a là-bas vingt laquais qui viennent savoir à quelle heure il commencera. (Acte 2, scène 4, LISETTE)
En attendant que tout soit prêt, il faudrait que Madame Thérèse et Monsieur le Major nous fissent le plaisir de chanter ensemble une petite Scène très courte, que j'ai ici toute notée, dont je veux que Monsieur le Chevalier me dise son sentiment. (Acte 2, scène 5, MADAME SIMON)
Voilà votre partie à vous, Monsieur le Major, et voici la vôtre, Madame Thérèse. (Acte 2, scène 5, MADAME SIMON)
Vous m'embarrassez fort, Madame, je suis un mauvais Musicien, et vous entendrez une étrange musique. (Acte 2, scène 5, LE MAJOR)
Je serai votre époux, Madame, et c'est un titre qui fera toute ma félicité, toute ma gloire. (Acte 2, scène 5, LE CHEVALIER)
Il est ici mon bon ami, il nous y a donné rendez-vous. (Acte 2, scène 1, SANCHETTE)
Le Diable ici ! (Acte 2, scène 1, LISETTE)
Voici une aventure de bal. (Acte 2, scène 4, LE CHEVALIER)
Je suis ici pour empêcher le désordre. (Acte 2, scène 5, LE DIABLE)
Çà, tandis qu'on dansera dans l'autre salle, que l'on apporte ici la collation. (Acte 2, scène 5, LE DIABLE)
Ici-bas toujours heureux, v.92 (Acte 2, scène 5, LE MAJOR)
Ici-bas toujours heureux. v.96 (Acte 2, scène 5, LE MAJOR)
À venir souvent ici. v.104 (Acte 2, scène 5, THÉRÈSE)
À venir souvent ici. v.108 (Acte 2, scène 5, TH?R?SE)

LE BON SOLDAT (1718)

Si Léandre hasardait de venir jusqu'ici. v.35 (Acte 1, scène 1, ANGÉLIQUE)
Jocrisse vous dira... mais déjà le voici. v.36 (Acte 1, scène 1, JACINTE)
Voici Monsieur Grognard, je crois qu'il a dans l'âme v.50 (Acte 1, scène 2, JACINTE)
Mais je me charge ici... v.75 (Acte 1, scène 4, GROGNARD)
Et pour souper ici Léandre se rendra. v.132 (Acte 1, scène 8, JACINTE)
Voici Monsieur. v.146 (Acte 1, scène 9, JACINTE)
Mais la nuit vous prendra dans une heure d'ici. v.196 (Acte 1, scène 10, ANGÉLIQUE)
Est-il ici ? v.215 (Acte 1, scène 12, LE SOLDAT)
Un ordre que voici, v.216 (Acte 1, scène 12, LE SOLDAT)
Étant seules ici... v.220 (Acte 1, scène 12, JACINTE)
N'avez-vous point ici d'eau-de-vie, ou du vin ? v.247 (Acte 1, scène 12, LE SOLDAT)
C'est du vin et du rôt que j'apportons ici. v.256 (Acte 1, scène 13, LE ROTISSEUR)
Barbe, tenez tout prêt pour le servir ici, v.271 (Acte 1, scène 14, JACINTE)
Jacinte, le voici. v.272 (Acte 1, scène 14, ANGÉLIQUE)
Voici l'occasion la plus belle du monde ; v.282 (Acte 1, scène 15, JACINTE)
Et l'on ne peut ici vous le donner plus beau. v.288 (Acte 1, scène 15, LÉANDRE)
Souffrir un homme ici, seules, en votre absence, v.333 (Acte 1, scène 16, ANGÉLIQUE)
Que j'importune ici. v.346 (Acte 1, scène 17, LE SOLDAT)
De servir quatre mois un grand magicien, v.360 (Acte 1, scène 17, LE SOLDAT)
D'un seul mot tout cela se va trouver ici. v.367 (Acte 1, scène 17, LE SOLDAT)
C'est un Magicien, il n'en faut plus douter. v.388 (Acte 1, scène 17, ANGÉLIQUE)
Ils sont d'accord ici tous deux, v.407 (Acte 1, scène 17, LE SOLDAT)
Je ne vois pas ici que nous fassions débauche, v.413 (Acte 1, scène 17, GROGNARD)
Quelle sera la fin de ce désordre ici ! v.439 (Acte 1, scène 17, GROGNARD)
Mais il est trop certain qu'un Démon est ici. v.440 (Acte 1, scène 17, GROGNARD)
Nul mortel ici-bas n'a de voix qui l'égale, v.474 (Acte 1, scène 17, GROGNARD)
Suivez-moi tous. Comment je reste seul ici ? v.475 (Acte 1, scène 17, GROGNARD)
Mais tout coup vaille, il faut pour m'éloigner d'ici, v.491 (Acte 1, scène 18, GROGNARD)

LE PRIX DE L'ARQUEBUSE (1717)

C'est moi qui ai imaginé de tirer ici ce prix de l'Arquebuse, pour signaler mon avènement à la Prévôté par quelque chose d'extraordinaire. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR MARTIN)
Le voici, mon frère. (Acte 1, scène 5, MADEMOISELLE GIRAUT)
En voici une qui n'est pas trop sotte. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR PRUNEAU)
Je viens ici pour tâcher de gagner le prix ; et si j'étais assez heureux pour y gagner un coeur comme le vôtre, ce serait un prix pour moi plus précieux que tous les prix de l'Arquebuse. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR PRUNEAU)
Nous allions tous de concert vous chercher, mon frère, et vous nous prévenez agréablement en venant ici. (Acte 1, scène 11, MADEMOISELLE GIRAUT)
Mon autre nièce que voici présente, a de son côté aussi un soupirant qui est absent, mais elle en a procuration, elle occupe pour lui, je parle pour eux. (Acte 1, scène 11, MADEMOISELLE GIRAUT)
Ce jeu de l'Arquebuse ne laisse pas au bout du compte d'attirer ici un tas de godelureaux, de fainéants, de chercheurs de bonnes fortunes, hom, hom, hom, hom. (Acte 1, scène 11, MONSIEUR MARTIN)
Ne vous effarouchez point, et demeurez ici, Monsieur Pruneau. (Acte 1, scène 12, MADEMOISELLE GIRAUT)
Quez ne demeurez-vous ici vous-même ? (Acte 1, scène 12, DORANTE)
Les mesures ne sont pas difficiles. (Acte 1, scène 12, MADEMOISELLE GIRAUT)
Que viens-tu faire ici ? (Acte 1, scène 14, BRACASSAK)
Que je suis charmé de te revoir ici, et de retrouver en toi un véritable ami ! (Acte 1, scène 14, DORANTE)
Certaine petite que je viens de voir en arrivant ici. (Acte 1, scène 14, BRACASSAK)
Le Juge me paraît pour le moins, aussi fripon que ma partie ; mais il n'importe, il faut filer doux, pour me tirer d'ici ; je suis presque seul au milieu de la ville, et tout le monde est rassemblé dans les avenues où se tire le Prix, ne nous piquons point ici de faire le brave mal-à-propos, quand je serai tantôt à la tête de ma Maréchaussée, je leur ferai bien voir que je ne les crains guère. (Acte 1, scène 15, MONSIEUR MARTIN)
Sandis, mets-moi dans la première venue, dans celle d'ici, si tu le veux ; j'en deviendrai, si j'y prends femme. (Acte 1, scène 17, BRACASSAK)
Il n'est pas ici, ce Monsieur le Prévôt ? (Acte 1, scène 19, BARBALOU)
Un nouviau venu, un homme de bian loin, car parsonne ne le connaît, c'est ce qui fait qu'ils le croyons le Diable, voyez-vous Gros-Jean l'a mis dans la Brigade d'ici, parce qu'il n'avait point de pays, n'an croit qu'ils sont sorciers tous deux, et Gros-Jean n'a qu'à se bian tenir, n'an l'y revaudra, c'est ly qui a prêté s'narme. (Acte 1, scène 21, NICOLAS)

LES FÊTES NOCTUNES DU COURS (1714)

Dans un séjour délicieux v.3 (Acte 1, scène 1, CHOREDA)
Qu'ici le plaisir vous délasse v.19 (Acte 1, scène 1, ENSEMBLE)
Prend ici la nuit. v.40 (Acte 1, scène 1, CYNOEDOR)
Ici Vénus veille v.41 (Acte 1, scène 1, CHOREDA)
Allons-y d'abord, nous, Madame, car ce n'est ni le bal ni la promenade qui vous attirent ici. (Acte 1, scène 1, MARTON)
Pour avoir trop bien déguisé les masques dans un des derniers Bals qu'on donnait ici. (Acte 1, scène 3, CINOEDOR)
Voici qui est plaisant. (Acte 1, scène 3, MARTON)
J'ai bien d'autres assortiments plus bizarres à faire ici, à quoi les Parties ne s'attendent pas. (Acte 1, scène 3, CINOEDOR)
Lucile et Cidalise sont ici. (Acte 1, scène 5, ORONTE)
Pour vous, Madame, vous êtes une façon de Junon, une déesse jalouse, qui venez chercher ici votre Jupiter, que vous croyez qu'une Nymphe de ma connaissance vous enlève. (Acte 1, scène 5, MARTON)
Vous tachez de vous la cacher à vous-même, mais elle est trop vive, et sans cela vous ne seriez pas ici? (Acte 1, scène 5, MARTON)
Cela ne me sera pas bien difficile, j'ai pour le reste de la nuit seulement une façon de toute-puissance dans ces promenades, dont je prétends me servir utilement pour le bonheur de bien des Amants. (Acte 1, scène 5, MARTON)
Elle est ici. (Acte 1, scène 5, MARTON)
Qu'il demeure ici ; qu'il tâche de rencontrer l'Olive ou Clitandre, et qu'il vienne m'en donner avis ici près, à Chaillot, dans ce grand pavillon couvert d'ardoise. (Acte 1, scène 5, MARTON)
Je vois cela d'ici. (Acte 1, scène 5, ORONTE)
Je serais mieux au lit qu'ici, v.58 (Acte 1, scène 6, L'OLIVE)
Voici un drôle qui me parait avoir tout le son de la voix et toute l'encolure du valet de Clitandre. (Acte 1, scène 6, ORONTE)
Que fais-tu ici ? (Acte 1, scène 6, ORONTE)
Le voici, je pense. (Acte 1, scène 6, L'OLIVE)
Je trouvais que nous sommes de grandes dupes, de la mode et des fantaisies de certaines Dames, de venir ici nous ennuyer pendant la nuit à une promenade, qui devient cohue. (Acte 1, scène 9, CLITANDRE)
Les détails sont longs, et je cherche ici compagnie. (Acte 1, scène 9, CLITANDRE)
Célide a donné ici rendez-vous à Damon ? (Acte 1, scène 9, CLITANDRE)
Je m'intéresse à Célide, j'en conviens ; je sais qu'elle est ici : mais ce n'est point pour le malheureux Damon qu'elle y vient. (Acte 1, scène 9, CLITANDRE)
Voici qui est plaisant. (Acte 1, scène 9, CLITANDRE)
Dans le moment qu'il jure qu'il l'adore, il vient ici avec d'autres Dames, qu'il y régale. (Acte 1, scène 9, MARTON)
Célide est ici ? (Acte 1, scène 9, CLITANDRE)
Mais voici un Masque qui me tourne et qui paraît m'en vouloir, à moi. (Acte 1, scène 11, L'OLIVE)
Il cherche ici quelque aventure. (Acte 1, scène 12, MARTON)
Mais j'ai à chercher ici Monsieur Butorville, et voici des gens de notre compagnie qui se rapprochent : va-t'en hâter le réveillon, dépêche. (Acte 1, scène 12, MARTON)
Cela est fort judicieux. (Acte 1, scène 15, FINETTE)
C'est pour elle que je suis ici. (Acte 1, scène 16, BUTORVILLE)
Voilà une femme bien difficile à persuader ! (Acte 1, scène 17, MARTON)
Le voici qui vient de ce côté, il ne vous reconnaîtra point : éprouvons un peu s'il vous aime de même. (Acte 1, scène 19, CINOEDOR)
Masque à bonnes fortunes, je trouble mal à propos votre tête à tête ; mais je suis le premier en date, et c'est à moi que cette Dame avait donné rendez-vous ici. (Acte 1, scène 20, CLITANDRE)
Si vous aimez si fort Célide, venir ici sans elle avec d'autres Dames, c'est une étourderie. (Acte 1, scène 20, CINOEDOR)
Cela ne vous sera pas difficile, Clitandre. (Acte 1, scène 20, CÉLIDE)
Comme chacun sait qui vous êtes, et le droit que vous avez de présider ici, on vous laisse le maître des arrangements. (Acte 1, scène 21, MARTON)
Tout le monde s'en flatte ; mais voici une bande de violons et quelques Masques qui s'approchent. (Acte 1, scène 21, MARTON)
Ici maint agréable v.130 (Acte 1, scène 22, TOUS)
L'Amour vous offre ici des conquêtes aisées, v.174 (Acte 1, scène 22, TOUS)
En foule ici témoins v.207 (Acte 1, scène 22, TOUS)

LA FEMME D'INTRIGUES. (1692)

Car, elle ne m'emploie que lorsqu'il y a ici des affaires à tout rompre. (Acte 1, scène 2, LA BRIE)
Il se fait ici les plus belles affaires de Paris : voulez-vous des Charges, des Offices, des Emplois ? (Acte 1, scène 2, LA BRIE)
On vous y fournira des femmes de toutes tailles, de tous âges ; et si vous plaidez, vous y trouverez des Solliciteuses depuis une pistole jusqu'à trente : voilà ce qu'on appelle une bonne boutique ; il n'y a point ici de nenni. (Acte 1, scène 2, LA BRIE)
La voici qui revient de la ville, quel équipage pour une femme qui couche en joue un parti de cent mille écus ! (Acte 1, scène 2, GABRILLON)
Je ne vois point ici que ce Maître à danser, ni ce Maître de musique soient venus ? (Acte 1, scène 3, MADAME THIBAUT)
Voici le Maître à danser. (Acte 1, scène 3, GABRILLON)
Le voici. (Acte 1, scène 5, LE MAÎTRE À CHANTER)
Je travaille à mettre en beau langage le Code, le Protocole des Notaires, et le Praticien Français. (Acte 1, scène 7, DORISE)
Lorsque je t'ai vu, je mourais de peur que ne m'allasses donner du la Ramée devant mes gens ; c'est pourquoi, je t'ai promptement entraîné ici. (Acte 2, scène 1, LA RAMEE)
Après quelques aventures, mon bonheur m'a conduit ici, et il ne s'est peut-être pas encore vu un plus beau coup de sympathie. (Acte 2, scène 1, LA RAMEE)
Vous êtes ici, Cléante, et je n'en suis pas avertie. (Acte 2, scène 2, MADAME THIBAUT)
Voici quelqu'un, laisse-nous. (Acte 2, scène 4, MADAME THIBAUT)
Écoute si cette Maîtresse des Comptes à qui il appartient venait ici, ne va pas lui dire qu'on le marchande ? (Acte 2, scène 5, MADAME THIBAUT)
Mais ce jeune Officier qui a déjà les chevaux, et qui n'attend plus qu'après l'argent du carrosse pour achever son équipage, s'accommodera-t-il de cela ? (Acte 2, scène 5, GABRILLON)
Mais... Tes discours sont inutiles, je ne suis point ici pour prendre de tes conseils, j'y viens pour te demander de l'argent. (Acte 2, scène 6, ANGÉLIQUE)
Ce fou d'Éraste, qui pour se raccommoder avec sa famille, a quitté l'épée pour la robe, et d'Officier, s'est fait apprentif Magistrat ? (Acte 3, scène 1, MADAME THIBAUT)
Voici Cléante : qu'on dise à tout le monde que je n'y suis pas. (Acte 3, scène 1, MADAME THIBAUT)
C'est un de vos laquais qu'il a trouvé à votre logis, qui l'a amené ici. (Acte 3, scène 2, GABRILLON)
Les jours sont courts pour un homme qu'on attend à souper à cent cinquante lieues d'ici, il n'y a pas un moment à perdre. (Acte 3, scène 3, CHAMPAGNE)
Mais, voici votre nouvel appui du Palais. (Acte 3, scène 4, GABRILLON)
Mais quelqu'un monte ici, et Madame n'y veut pas être ; il faut que j'aille dire qu'elle est sortie. (Acte 3, scène 5, GABRILLON)
Que vient-elle faire ici. (Acte 3, scène 6, ÉRASTE)
Voici un endroit propre pour me cacher, je ne tarderai pas à en être éclairci. (Acte 3, scène 6, ?RASTE)
Par votre permission, Monsieur, n'est-il point monté ici un Monsieur et une Madame ? (Acte 3, scène 10, LE COCHER)
Que fais-tu ici, Maroufle ? (Acte 3, scène 11, GABRILLON)
Voici Madame. (Acte 3, scène 11, GABRILLON)
Passez ici demain, je vous rendrai réponse. (Acte 3, scène 12, MADAME THIBAUT)
Monsieur le commandeur est entré dans ce goût-là, et je dois lui faire entendre ici dès aujourd'hui un petit concert de ma composition, qui, à ce que je me persuade, achèvera de le déterminer. (Acte 4, scène 1, LE MAÎTRE À CHANTER)
Sur un coteau délicieux v.3 (Acte 4, scène 1, LE MAÎTRE À CHANTER)
C'est ce jeune Officier pour cette vaisselle d'argent. (Acte 4, scène 3, GABRILLON)
M'y voici. (Acte 4, scène 1, LÉANDRE)
Irrité de l'injustice de ma mère, comme je suis de profession à savoir ce que c'est que le droit de représailles, j'ai pris le temps que la bonne Dame était au bal, j'ai enlevé la vaisselle neuve, je l'ai fait apporter ici. (Acte 4, scène 1, L?ANDRE)
Mais voici mon père. (Acte 4, scène 1, LÉANDRE)
S'il vient ici, je le ramènerai par les oreilles. (Acte 4, scène 6, GABRILLON)
En voici un de fraîche date ? (Acte 4, scène 6, LISETTE)
Madame Thibaut est-elle ici ? (Acte 4, scène 6, LISETTE)
Elle doit venir tantôt ici avec son mari : elle lui a fait croire que vous aviez un très beau bureau à vendre. (Acte 4, scène 6, LISETTE)
Voici justement ton petit neveu. (Acte 4, scène 6, LISETTE)
Ah, ah, petit coquin, que venez-vous faire ici ? (Acte 4, scène 7, GABRILLON)
Et moi il me prend envie pour vous apprendre à parler, de vous donner le fouet ici avant que de vous remener. (Acte 4, scène 7, GABRILLON)
Ma pauvre Lisette, remène-le, je te prie, il nous tiendrait ici jusqu'à demain. (Acte 4, scène 7, GABRILLON)
Ma mie, ce Monsieur dont le carrosse est là-bas, ne serait-il point ici. (Acte 4, scène 9, MÉLINDE)
On s'entend ici avec lui pour me fourber : Mais je te ferai pendre, et ta maîtresse aussi, sur ma parole. (Acte 4, scène 9, DORANTE)
La voici avec un homme d'épée ; de peur de quelque inconvénient, allons faire mes plaintes chez un Commissaire. (Acte 4, scène 10, DORANTE)
Je voulais vous surprendre par un concert que je donne ici ce soir ; mais vous en voyez les apprêts malgré moi. (Acte 4, scène 11, MADAME THIBAUT)
N'ont-ils rien pris ici ? (Acte 4, scène 12, GABRILLON)
Le traître de musicien. (Acte 4, scène 12, MADAME THIBAUT)
Je vole où vos ordres m'appellent, et je reviens promptement ici procéder au reste. (Acte 4, scène 12, LA RAMEE)
Elle me fait souvenir d'une pauvre diablesse qui demeure à deux pas d'ici. (Acte 4, scène 13, MADAME THIBAUT)
Voici Madame. (Acte 4, scène 14, GABRILLON)
Vous ne m'aviez point donné ordre de passer cette somme ; mais pourtant, voici comme j'ai raisonné. (Acte 4, scène 15, MADAME THIBAUT)
Madame sera bientôt ici : on mettait les chevaux au carrosse quand je suis sortie du logis. (Acte 5, scène 1, LISETTE)
Enfin, tous deux ensemble vont venir ici dans la meilleure intelligence du monde. (Acte 5, scène 1, LISETTE)
Voici quelqu'un. (Acte 5, scène 1, GABRILLON)
Voici un Placet : Qu'elle le fasse présenter par qui elle voudra, et je lui promets un quart de part dans toutes les pièces qu'on jouera dorénavant de moi, où l'on ne sifflera pas. (Acte 5, scène 2, MONSIEUR DE LA PROTASE)
La voici tout à propos, comme si nous l'avions mandée. (Acte 5, scène 3, GABRILLON)
Quoi, c'est vous, Monsieur le Conseiller, vous voilà redevenu Officier. (Acte 5, scène 4, MADAME THIBAUT)
Ah, ah, voici notre vieille Marchande de marée : elle veut un mari à toute force, je ne sais pas qui voudra l'être. (Acte 5, scène 6, MADAME THIBAUT)
Oh, oh, voici de quoi me rendre savante. (Acte 5, scène 9, MADAME TORQUETTE)
Oui da, je me doutais bien qu'il y avait ici du cotillon. (Acte 5, scène 9, MADAME TORQUETTE)
En voici bien d'une autre. (Acte 5, scène 10, MADAME THIBAUT)
Le voici. (Acte 5, scène 12, GABRILLON)
Montons dans mon carrosse, Madame, et venez le mettre ce mot précieux, qui va m'assurer toute la félicité de ma vie. (Acte 5, scène 13, LA RAMEE)

LE DIABLE BOITEUX (1707)

C'est moi, qui, en rentrant par la force des conjurations de votre mari, dans la fiole dont Cléophas m'avait tiré, passai par votre appartement, et qui a depuis fâché tant le Magicien, et qui est cause de l'aventure à qui je dois ma liberté. (Acte 1, scène 1, LE DIABLE)
Hé, dites-le moi, si vous le savez ; je voudrais bien que cela fût vrai, et je serais bien aise de n'être point la fille du Magicien. (Acte 1, scène 1, SANCHETTE)
Mais avec cela, Seigneur Asmodée, le genre humain n'était pas peu redevable à mon mari le Magicien, de vous retenir dans la bouteille, et je ne sais pas si je ne me repentirai point d'être cause que vous en êtes échappé. (Acte 1, scène 1, THÉRÈSE)
Monsieur Asmodée, c'est ici Paris. ? (Acte 1, scène 1, SANCHETTE)
Voilà bien du monde assemblé, la Ville serait-elle partout aussi peuplée qu'elle l'est ici ? (Acte 1, scène 1, THÉRÈSE)
Et ne voyez-vous pas que vous êtes dans un lieu de spectacle, que c'est ici le Théâtre de la Comédie ? (Acte 1, scène 1, LE DIABLE)
Nous sommes ici à la Comédie ? (Acte 1, scène 1, SANCHETTE)
Mais écoutez-moi un peu, Monsieur Asmodée, vous nous avez amenées à Paris, pour nous faire connaître le monde, en voici une belle occasion, nous ne pouvons guère en voir davantage à la fois ; faites-nous, s'il vous plaît, connaître le caractère, les intrigues et le ridicule de toutes les personnes qui sont ici. (Acte 1, scène 1, SANCHETTE)
Oui, mais ce n'est point ici qu'il faut s'en servir. (Acte 1, scène 1, LE DIABLE)
Il en a trop, ma bonne maman, et je sens bien que je suis déjà plus malicieuse que lui, moi. (Acte 1, scène 1, SANCHETTE)
Oh bien, si vous voulez quelque chose de particulier, je vais vous faire voir, sans sortir d'ici, c'est ce qui se passe à l'heure qu'il est, vers la place Maubert, chez un Procureur de ma connaissance. (Acte 1, scène 1, LE DIABLE)
Léandre, qui sait que mon oncle est mourant, et qui me propose d'aller au bal à vingt pas d'ici ! (Acte 1, scène 2, ANGÉLIQUE)
Voici la tante, elle n'a guère moins de talent que nous : mais elle se contraint davantage. (Acte 1, scène 3, MARTON)
Depuis quand es-tu ici ? (Acte 1, scène 5, MARTON)
Vous avez mal pris votre temps pour arriver, et il est dangereux qu'on te voie ici. (Acte 1, scène 5, MARTON)
Éraste, vous me mettez dans le plus grand embarras? Allez, sortez d'ici, je vous en conjure, vous aurez de mes nouvelles, je vous écrirai tout ce que je pense : allez-vous-en, vous dis-je encore une fois. (Acte 1, scène 7, ANGÉLIQUE)
Non, je ne l'ai pas, demeurez, Éraste, je me plais trop à vous voir ici : mais il serait important pour mon repos et pour le vôtre, qu'on ne vous vît point de quelque temps. (Acte 1, scène 7, ANGÉLIQUE)
Voici de quoi vous déguiser. (Acte 1, scène 8, LÉANDRE)
C'en est fait, il n'y a plus moyen de sortir, l'oncle est défunt apparemment, la tante vient ici. (Acte 1, scène 9, MARTON)
Voici la clef de la grande armoire, ils y tiendront bien tous quatre. (Acte 1, scène 9, MARTON)
Voici votre tante. (Acte 1, scène 9, MARTON)
Hé, passez dans votre chambre, Madame, il y fait plus clair qu'ici, et il faut faire arranger cette salle. (Acte 1, scène 11, MARTON)
Mais, qu'on sache du moins ce que vous venez faire ici. (Acte 1, scène 13, MADAME LUCAS)
Je ne suis pas ici, Madame, pour examiner le droit des parties, mais pour y faire le dû de ma Charge. (Acte 1, scène 13, LE COMMISSAIRE)
Je ne vois plus rien ici passons ailleurs. (Acte 1, scène 13, LE COMMISSAIRE)
Demeure ici, toi, Marton, tu nous conseilleras. (Acte 1, scène 14, MADAME LUCAS)
M'a-t-on fait venir ici pour se moquer de moi ? (Acte 1, scène 14, MONSIEUR CORBEAU)
Il va tout à l'heure apporter ici le Testament. (Acte 1, scène 15, CASCARET)
Tout ce que tu as à faire, toi, Marton, c'est de faire entendre à Madame Lucas, que l'âme de son mari revient ici, qu'elle t'est apparue. (Acte 1, scène 16, LÉPINE)
Cela ne sera pas difficile à lui persuader, elle est peureuse : mais pourquoi? (Acte 1, scène 16, MARTON)
Oui vraiment, votre mari ; depuis que vous êtes sortie d'ici, il me lutine d'une manière ; là, là, là, là, ne le voilà-t-il pas derrière vous ? (Acte 1, scène 17, MARTON)
C'est ici un plat de ton métier, Marton ? (Acte 1, scène 18, LE NOTAIRE)
Mais que dites-vous de la petite nièce, qui, sans consulter ni sens ni raison, épouse sottement un jeune Officier qui n'a rien ? (Acte 1, scène 19, LE DIABLE)
Je ne l'approuve pas, mais je l'excuse : en voici la raison, écoutez. (Acte 1, scène 19, THÉRÈSE)
Oui, voilà le fait, on peut vous en croire, vous avez été quelquefois dans le cas, mais dites un peu à Monsieur l'Officier ce que vous prévoyez des suites de son mariage. (Acte 1, scène 19, LE DIABLE)
Mon brave Officier, vous êtes gueux, v.12 (Acte 1, scène 19, THÉRÈSE)
Voici ce qu'il vous dira, v.17 (Acte 1, scène 19, TH?R?SE)
Qu'on débite ici v.60 (Acte 1, scène 19, SANCHETTE)
Est ici ce soir v.69 (Acte 1, scène 19, THÉRÈSE)
Vient ici souvent v.79 (Acte 1, scène 19, LÉPINE)

LES FÉES. (1699)

Un séjour si délicieux. v.70 (Acte 1, scène 2, LA FÉE)
Vous croyez ici pouvoir plaire : v.83 (Acte 1, scène 3, LA SAGESSE)
Hé, bonjour, Seigneur Darinel, vous me paraissez de bonne humeur, vous serait-il arrivé quelque fortune dont on dût vous féliciter ? (Acte 2, scène 4, FINETTE)
Le respect jusqu'ici m'a fermé la bouche, mais... (Acte 2, scène 4, DARINEL)
On te permet l'espoir, et on te dispense du respect ; si tu n'es pas content, il faut que tu sois bien difficile. (Acte 2, scène 4, FINETTE)
Voici, je pense, Inégilde : ne te mets pas en peine, tout ira bien, pourvu que tu ne sois pas huit ou dix ans à me rendre réponse. (Acte 2, scène 4, DARINEL)
Voici l'heure de prendre vos leçons de prudence et de politique. (Acte 2, scène 6, LAMBETHIE)
Quel heureux destin vous conduit ici ? (Acte 2, scène 8, INEGILDE)
Mais le voici. (Acte 2, scène 8, CLEONIDE)
Que chacun se retire, et qu'aucun n'entre ici : mes Filles, demeurez, et vous Finette, aussi. (Acte 2, scène 9, ASTUR)
Vos amants doivent se rendre incessamment ici ; je ne les connais pas mais vos tantes les Fées qui m'en ont parlé, en disent beaucoup de bien, elles les ont choisis comme pour elles. (Acte 2, scène 9, ASTUR)
La Fortune et l'Amour seront ici le gage v.140 (Acte 2, scène 10, UNE HABITANTE DE L'ÎLE)
Des plus rares félicités. v.147 (Acte 2, scène 10, UNE HABITANTE DE L'?LE)
La voici, je pense ? (Acte 2, scène 4, INEGILDE)
Bon, le voici, je pense ; il est seul comme je le souhaite, et j'ai prudemment fait de je venir attendre ici. (Acte 2, scène 8, DARINEL)
Cela passe l'imagination ; et je m'en vais gager que je devine la raison qui vous fait venir rêver ici plutôt qu'ailleurs. (Acte 2, scène 9, DARINEL)
C'est en ce lieu que vous avez vu les deux Princesses : vous n'avez suivi qu'avec peine celle que l'on vous destine, vous quittiez l'autre avec regret ; j'ai jugé que vous reviendriez ici ; vous y revenez, vous êtes rêveur, vous soupirez, je ne me suis pas trompé, vous êtes amoureux d'Inégilde. (Acte 2, scène 9, DARINEL)
Cela ne sera pas impossible ; et voici justement Finette, qui est sa favorite, et qui n'aura pas de répugnance à vous rendre ce bon office. (Acte 2, scène 9, DARINEL)
Les voici tous deux ensemble, nous allons savoir des nouvelles. (Acte 2, scène 10, FINETTE)
Cela ne sera pas bien difficile ; la Fée n'y est pas, Inégilde m'a fait signe de venir ici, elle ne tardera pas à s'y rendre. (Acte 2, scène 10, FINETTE)
La voici, je pense ; éloignez-vous, et me laissez faire. (Acte 2, scène 10, FINETTE)
Voici le Prince que Darinel vous amène. (Acte 2, scène 11, FINETTE)
Vraiment, Seigneur, il vous sied bien de vous rendre si difficile, vous qui n'étiez qu'un simple berger lorsque ma soeur eut la faiblesse... (Acte 2, scène 14, MELISENDE)
Les ordres de la Fée m'ont fait venir ici ; les vôtres m'en écartent, Madame : je serai prompt à m'éloigner. (Acte 4, scène 1, ASTIBEL)
Hé bien, Seigneur, Inégilde n'est donc plus au pouvoir de la Fée qui prenait des soins si judicieux pour former son coeur et son esprit ? (Acte 4, scène 7, BLANDONIE)
Je vous l'avoue, Madame : toujours nourrie dans les plaisirs, c'est ici le premier chagrin que je souffre ; et l'essai que j'en fais aujourd'hui, contre mon attente, me paraît dur à supporter. (Acte 4, scène 8, CLEONIDE)
Mais voici le Prince de l'île Inconnue. (Acte 4, scène 9, CLEONIDE)
Je ne vois rien ici qui me convienne, tout m'y paraît faux et affecté. (Acte 4, scène 10, ASTIBEM)
N'est-ce pas assez de deux qui restent ici pour me faire enrager ? (Acte 4, scène 12, ASTUR)
La voici. (Acte 4, scène 13, BLANDONIE)
Astur, rassurez-vous, et rendez grâces avec mes soeurs au destin qui me permet de venir ici pour terminer leurs différents, et pour réunir par ma présence et par mes conseils, les coeurs que mon éloignement avait séparés. (Acte 4, scène 14, LOGISTILLE)
Non, non, non, je suis fort aise de vous revoir ici ; y êtes-vous pour longtemps ? (Acte 4, scène 14, ASTUR)
Recevez Inégilde de ma main, Prince, et soyez sûr de toute la félicité possible. (Acte 4, scène 14, LOGISTILLE)
Tout ici-bas aux mortels est soumis, v.226 (Acte 4, scène 15, DARINEL)

COLIN-MAILLARD. (1701)

Je reviendrai ce soir, mon enfant, je ne vais qu'à deux lieux d'ici, consulter un peu le Bailli de Pontoise, mon parent et mon ami, sur une petite affaire dans laquelle tu me feras aussi besoin. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR ROBINOT)
Vous resterez ici queuque temps de ce voyage, peut-être ? (Acte 1, scène 1, MATHURIN)
Je voudrais qu'ou l'eussiais vue, quand alle était ici aveuc ses bons amis, qui étiont aussi les vôtres, da ; car y beuviont tant à votre santé? Ma défunte à moi, qui était une maleigne bête, disait comme ça que ce n'était pas par amiquié qu'ils y beuviont, qu'ils se gobargiont de vous, qui s'en moquiont : mais mon opignon à moi, c'est qu'ils y alliont tout à la franquette ; et une marque qu'ils n'y entendiont point de finesse, c'est qu'ils n'y beuviont jamais qu'ils ne fussiont saouls. (Acte 1, scène 1, MATHURIN)
Tout biau, ly dis-je, Monsieu Lucas, ce n'est pas pour vous que je jouons à ce jeu-là, vous n'en n'êtes pas, retirez-vous d'ici. (Acte 1, scène 1, MATHURIN)
Le reste ne viendra peut-être que trop tôt, et il n'est pas difficile de faire l'horoscope d'un mari qui a épousé sa femme en dépit d'elle. (Acte 1, scène 2, MADAME BRILLARD)
Faites avertir les violons, et toute la Jeunesse du Village, de se trouver ici tantôt à mon retour ; je tarderai le moins qu'il me sera possible. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR ROBINOT)
Que viens-tu faire ici, mon pauvre garçon ? (Acte 1, scène 6, MADAME BRILLARD)
Oui, Madame, il est ici. (Acte 1, scène 6, LÉPINE)
Éraste est ici ? (Acte 1, scène 6, MADAME BRILLARD)
Voici mon maître. (Acte 1, scène 6, LÉPINE)
Il croit qu'il est à la garnison, il pense que peut-être il est ici, il ne sait morguenne à quoi s'en tenir. (Acte 1, scène 8, MATHURIN)
Ils savent bien aimer, Madame, ces Officiers de garnison, ils n'ont que cela à faire. (Acte 1, scène 8, LÉPINE)
Tant que je serai ici, je vous mets morgué à pis faire. (Acte 1, scène 8, MATHURIN)
La voici que le hasard me livre le plus à propos du monde. (Acte 1, scène 10, ÉRASTE)
Tâche de rejoindre le Jardinier, et de l'amener ici comme sans dessein. (Acte 1, scène 10, ÉRASTE)
Est-ce que ce n'est pas pour Mademoiselle Angélique que vous êtes venu ici ? (Acte 1, scène 11, CLAUDINE)
Hé fi donc, Monsieur, vous venez ici pour elle, et vous ne la verriez pas ? (Acte 1, scène 11, CLAUDINE)
Il est vrai, je venais ici pour elle : mais je n'y demeure que pour vous, je vous assure. (Acte 1, scène 11, ÉRASTE)
Hé bien, hé bien, si Monsieur Robinot vient à savoir que c'est vous qui êtes ici, il se tiendra sur ses gardes, et cela rendra l'exécution de vos projets plus difficile. (Acte 1, scène 14, LÉPINE)
Mais voici cette Mademoiselle Angélique. (Acte 1, scène 16, CLAUDINE)
Vous l'avez queuquefois vu ici peut être. (Acte 1, scène 23, MATHURIN)
C'est un de mes cousins d'auprès de Bourgenville, qui ayant ouï dire dans le Village qu'on disait qu'il y avait ici des Ménétriers? (Acte 1, scène 23, MATHURIN)

LES BOURGEOISES Ã€ LA MODE. (1692)

Cela ne gâtera rien ; au contraire, si elles ont de l'esprit elles profiteront de l'aventure. Et pour vous, si vous en usez bien avec moi, car enfin nous nous connaissons, comme vous savez, il faut être bon Prince, nous tâcherons de vous faire épouser Mariane. Voici déjà votre billet que je vais donner à Lisette. Allez cependant songer à faire taire le petit homme aux deux mille écus. Dans l'affaire où vous allez vous embarquer, une aventure d'éclat ne vaudrait pas le diable. (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
Monsieur le Chevalier a conseillé à Madame d'établir ici avec Araminte de petites parties de plaisir et de jeu. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
Est-ce ici la seule maison de ta connaissance où les Maris ne sont que les premiers domestiques de leurs femmes ? (Acte 1, scène 3, LISETTE)
Qu'est-ce qui t'amène ici ? (Acte 1, scène 3, LISETTE)
Voici ta Maîtresse. (Acte 1, scène 3, FRONTIN)
La voici. (Acte 1, scène 6, LISETTE)
Oh, Madame, ce n'est pas là ce qui m'amène ici. (Acte 1, scène 7, MADAME AMELIN)
Trois cent dix livres, cela est-il si difficile à comprendre ! (Acte 1, scène 7, ANGÉLIQUE)
Hé, mon cher enfant, que viens-tu faire ici ? (Acte 1, scène 10, MADAME AMELIN)
Hé, ne m'appelez point ici de ce nom, je vous en conjure. (Acte 1, scène 10, LE CHEVALIER)
Non, je vous aime, je vous respecte ; mais si vous me faites connaître ici, vous ruinez les plus belles espérances du monde. (Acte 1, scène 10, LE CHEVALIER)
Voici quelqu'un, contraignez-vous, et ne me trahissez point, je vous prie. (Acte 1, scène 10, LE CHEVALIER)
Oui, Monsieur, justement, deux marquises, une comtesse, un partisan, trois abbés, autant de fainéants, ce commis de la douane, et ce petit épicier, sont au logis qui vous attendent. (Acte 2, scène 2, FRONTIN)
Vous n'attendrez pas longtemps, la voici. (Acte 2, scène 4, LISETTE)
Tu as fait une belle conquête, et je t'en félicite. (Acte 2, scène 5, ANGÉLIQUE)
Non pas, s'il vous plaît, j'ai ici les miennes, et vous vous passerez bien de moi. (Acte 2, scène 5, LISETTE)
Mais voici Mariane fort à propos, n'ai-je pas perdu le billet du Chevalier ? (Acte 2, scène 6, LISETTE)
Oh que oui, cela n'est pas bien difficile. (Acte 2, scène 7, MARIANE)
Hé, vous n'êtes pas le moins capricieux mortel que je connaisse. (Acte 2, scène 8, LISETTE)
C'est que vous êtes furieusement difficile ; car enfin, qu'y a-t-il donc de si extraordinaire dans sa conduite ? (Acte 2, scène 9, LISETTE)
Allez vite, voici quelqu'un, il ne faut pas qu'on nous voie ensemble. (Acte 3, scène 2, LISETTE)
Hé, qui vous ramène ici, Madame Amelin ? (Acte 3, scène 3, LISETTE)
Il y a ici une grande fille à marier ? (Acte 3, scène 3, MADAME AMELIN)
Il n'y a qu'un moment que Mariane et moi, nous étions ici seules, et peut-être n'aura-t-il de longtemps une si belle occasion de l'entretenir. (Acte 3, scène 5, LISETTE)
Hé bien, va donc vite porter à Monsieur le Chevalier ce billet de Mariane, et reviens ici je te dirai la chose. (Acte 3, scène 5, LISETTE)
Laisse-moi faire, les voici, elles ne s'attendent pas aux nouvelles que je vais leur dire. (Acte 3, scène 5, LISETTE)
Ah, te voilà, que fais-tu ici, Frontin ? (Acte 3, scène 6, ANGÉLIQUE)
Je crois que le voici, Madame ; laissez-moi seule avec lui, je vais lui porter une botte qu'il aura de la peine à parer. (Acte 3, scène 7, LISETTE)
Quand on dit à de jolies femmes que quelqu'un les estime, il est bien difficile de leur persuader qu'on n'a pour elles qu'une passion désintéressée. (Acte 3, scène 9, LISETTE)
Il n'y a qu'un bon tour à prendre pour les lui faire accepter, c'est là le difficile. (Acte 3, scène 9, LISETTE)
Ne précipitons rien, donne-toi patience : il est allé dans son cabinet se préparer à une querelle que je lui ai conseillé de faire à Madame, pour autoriser les petites parties qu'on veut faire ici. (Acte 3, scène 10, LISETTE)
Voici Monsieur le Chevalier. (Acte 3, scène 10, FRONTIN)
Voilà un pernicieux maroufle ! (Acte 3, scène 12, LE CHEVALIER)
Je te donne les soixante pistoles, voici qui est fini. (Acte 3, scène 12, LE CHEVALIER)
Tais-toi, Frontin, voici Lisette. (Acte 3, scène 12, LE CHEVALIER)
Non vraiment, j'ai ici de l'argent à recevoir. (Acte 3, scène 13, LISETTE)
Entrons ici, Monsieur le Chevalier, je ne suis point tranquille dans ma chambre, on pourrait nous y surprendre, et l'on m'en ferait un crime. (Acte 4, scène 1, MARIANE)
Ici, l'on peut penser que le hasard nous aura fait rencontrer, et que vous ne m'aurez abordée que par civilité. (Acte 4, scène 1, MARIANE)
Que faites-vous donc ici ? (Acte 4, scène 2, LISETTE)
Des concerts ici dans ma maison ? (Acte 4, scène 6, MONSIEUR SIMON)
Vous êtes bienheureux d'avoir une femme si bonne et si judicieuse. (Acte 4, scène 7, LISETTE)
Oh, Monsieur, cela est bien difficile ; elle doit plus de mille écus, afin que vous le sachiez. (Acte 4, scène 9, FRONTIN)
Voici quelqu'un, veux-tu te taire, et me suivre ? (Acte 4, scène 9, MONSIEUR SIMON)
La voici. (Acte 5, scène 3, LISETTE)
Celle qui est venue tantôt ici ? (Acte 5, scène 6, JAMSIN)
Mais je m'arrête ici trop longtemps, je vais les rejoindre. (Acte 5, scène 6, ANGÉLIQUE)
Demandez-vous ici quelque chose ? (Acte 5, scène 7, LISETTE)
Hé qui vous amène ici, mon voisin ? (Acte 5, scène 9, MONSIEUR SIMON)
Il y a ici fort à propos un Commissaire de mes amis, vous n'aurez qu'à nous envoyer avertir. (Acte 5, scène 9, MONSIEUR SIMON)
Que faites-vous donc ici, Monsieur Josse. (Acte 5, scène 10, FRONTIN)
Je vous en félicite, je vois bien ce que cela signifie. (Acte 5, scène 10, FRONTIN)
En voici bien d'un autre. (Acte 5, scène 13, LISETTE)
Lisette, voici Monsieur le Chevalier. (Acte 5, scène 13, MARIANE)

LA PARISIENNE (1691)

Entrez chez votre jeune maîtresse, puisque vous y voici ; sa présence seulement, peut-être, adoucira l'aigreur de votre rhume. (Acte 1, scène 1, LA VIGNE)
Ici, cela commence à mal aller. (Acte 1, scène 3, L'OLIVE)
Demeure ici, promène-toi aux environs de ce quartier, et tâche d'apprendre des nouvelles, par le moyen de quelques personnes du voisinage. (Acte 1, scène 3, ÉRASTE)
Vous attendrai-je ici ? (Acte 1, scène 3, L'OLIVE)
Paix, ne fais pas semblant de me voir, je suis ici incognito. (Acte 1, scène 5, L'OLIVE)
Demeure ici quelque temps, tu pourras y voir entrer notre vieil Adonis. (Acte 1, scène 5, LA VIGNE)
Non, je craindrais qu'il me vît, et nous ne voulons pas mon Maître et moi qu'il nous sache ici. (Acte 1, scène 5, L'OLIVE)
Ne précipitez point les choses, Madame ; on vous attend chez le Notaire, allez-y, mais ne signez rien. La voici ; laissez-moi seule avec elle, je la ferai parler, ou elle aura perdu la parole. (Acte 1, scène 7, LISETTE)
Ouais ; mais voici un étrange endurcissement ! (Acte 1, scène 8, LISETTE)
J'ai donné ici un rendez-vous à Dorante. (Acte 1, scène 8, ANGÉLIQUE)
Est-il de robe, officier, ou courtisan ? (Acte 1, scène 8, LISETTE)
Voici quelqu'un, rentrons au logis. (Acte 1, scène 9, ANGÉLIQUE)
Enferme-les dans mon cabinet, et viens me retrouver ici. (Acte 1, scène 9, ANGÉLIQUE)
Voici quelqu'un. (Acte 1, scène 11, LISETTE)
Lisette, je crains que voici Lisimon. (Acte 1, scène 12, ANGÉLIQUE)
Non, le voici, je ne me trompe point, c'était lui-même. (Acte 1, scène 13, ANGÉLIQUE)
Deux petits collets, maltraités du Lansquenet, Madame, qui depuis un quart d'heure m'arrêtent à cent pas d'ici, et pour quoi. (Acte 1, scène 14, LISIMON)
Ils vous ont volée ; et sans savoir vous trouver ici, je vous avais destiné ma bourse. (Acte 1, scène 14, LISIMON)
Le ciel vous a conduit ici bien heureusement pour achever ce que nous avons commencé. (Acte 1, scène 16, ANGÉLIQUE)
La pauvre enfant, sa simplicité me charme ! (Acte 1, scène 16, DAMIS)
C'est ici que j'ai besoin de tes conseils, ma chère Lisette. (Acte 1, scène 19, ANGÉLIQUE)
Tais-toi, voici Madame Olimpe. (Acte 1, scène 22, DAMIS)

L'Ã‰TÃ‰ DES COQUETTES (1754)

Fou, musicien et poète, qui dit l'un, dit l'autre ; c'est la même chose. (Acte 1, scène 7, LISETTE)
Poète et musicien ! (Acte 1, scène 7, CIDALISE)
Le voici. (Acte 1, scène 9, ANGÉLIQUE)
Monsieur l'Abbé dans cet équipage n'a l'air ni d'un bénéficier, ni d'un homme d'épée, et il n'y a personne qui ne le prenne pour un animal amphibie. (Acte 1, scène 10, LISETTE)
Est-il si difficile de vous en apercevoir ? (Acte 1, scène 10, ANGÉLIQUE)
Sortez d'ici, je vous prie. (Acte 1, scène 10, ANGÉLIQUE)
Les femmes sont capricieuses, ne faut-il pas que leurs vapeurs le soient aussi ? (Acte 1, scène 10, LISETTE)
C'est ce qui m'a fait prendre le dessein de revenir ici. (Acte 1, scène 14, LA COMTESSE)
C'est un petit régal que j'espère ce soir avoir l'honneur de donner à Madame dans ma maison de campagne, qui n'est qu'à demi lieue d'ici. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR PATIN)
Je suis de taille difficile à cacher. (Acte 1, scène 20, MONSIEUR PATIN)
Si vous saviez avec quelle impatience l'amour m'a fait voler ici... (Acte 1, scène 21, CLITANDRE)
La voici. (Acte 1, scène 21, ANGÉLIQUE)
L'Amour est un bon guide, Madame, je vous aurais cherchée vainement chez vous, et c'est lui qui m'a fait entendre que je vous trouverais ici. (Acte 1, scène 22, CLITANDRE)
Madame, j'ai joint l'armée ; j'ai vu l'ennemi, je me suis fait voir à nos généraux, j'ai fait le coup de pistolet, pris quelques officiers prisonniers ; l'Amour m'a rappelé vers vous, je suis revenu sans réflexion. (Acte 1, scène 22, CLITANDRE)
Allons nous mettre à table, nos différents s'y termineront mieux qu'ici, et nous irons tous ensemble souper ce soir chez Monsieur Patin. (Acte 1, scène 25, ANGÉLIQUE)

LA DÃ‰SOLATION DES JOUEUSES (1687)

Je ne sais ; il me semble que dans l'état où sont les choses, si la nouvelle est vraie, il devrait être ici. (Acte 1, scène 1, ANGÉLIQUE)
Vous avez raison, Dorante devrait être ici. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Le voici, Lisette. (Acte 1, scène 1, ANGÉLIQUE)
Je vous ai déjà dit les raisons, qui jusqu'ici, je crois, l'ont rendue contraire à votre amour. (Acte 1, scène 2, ANGÉLIQUE)
Je viens d'envoyer chez lui, et l'on m'en viendra dire ici des nouvelles. (Acte 1, scène 2, DORANTE)
Le voici tout à propos, comme si vous l'aviez mandé. (Acte 1, scène 2, LISETTE)
Expliquez-moi votre affaire, que je voie si elle n'est point trop difficile, et si je me ferai prier, ou non. (Acte 1, scène 3, MERLIN)
Je suis ici dans quelques moments. (Acte 1, scène 3, DORANTE)
Monsieur Topase, que vous faites le difficile, comme si nous ne savions pas de quel profit vous sont les bijoux, et combien vous faites votre compte à les vendre trois fois plus qu'ils ne valent aux jeunes gens de famille, qu'on vous adresse quand ils ont affaire d'argent. (Acte 1, scène 4, DORIMÈNE)
En voici bien une autre. (Acte 1, scène 5, LISETTE)
Elle emprunta, il y a quelques jours, sur un collier de mille écus, six vingt pistoles, qu'elle perdit ici le lendemain. (Acte 1, scène 6, LA-COMTESSE)
Je suis bienheureuse que Madame_la_Comtesse et Clitandre se rencontrent ici. (Acte 1, scène 8, L-INTENDANTE)
Il n'y aurait plus ici de lansquenet ! (Acte 1, scène 9, LE-CAISSIER)
Voici un homme d'un assez plaisant caractère. (Acte 1, scène 9, CLITANDRE)
Je viens de le rencontrer, il sort d'ici dans une rage épouvantable. (Acte 1, scène 10, ÉRASTE)
Vous avez grand tort, Dorante, de produire ici des gens de ce caractère. (Acte 1, scène 13, LE-CHEVALIER)
Ôte-toi d'ici, misérable, et ne parais jamais où je serai ! (Acte 1, scène 13, DORIMÈNE)

L'IMPROMPTU DE LIVRY (1705)

Ici dans ces heureux moments, v.22 (Acte 1, scène 1, LE PÂTRE)
Assemble ici les plaisirs et les jeux. v.25 (Acte 1, scène 2, LE PÂTRE)

LA FOIRE DE BESONS (1694)

Vraiment oui, Monsieur, ce sont des animaux tenaces que de vieilles coquettes, on ne les quitte pas comme on veut ; cependant comme il est sans façon avec elle, il la plantera là toute seule au premier endroit : nous l'aurons bientôt ici, le voilà, je pense. (Acte 1, scène 2, L'OLIVE)
Toutes nos mesures sont prises pour cela : mais l'exécution m'en paraît un peu difficile. (Acte 1, scène 3, ÉRASTE)
Monsieur, je viens d'apercevoir Frosine qui se promène ici près toute seule. (Acte 1, scène 3, L'OLIVE)
Il n'y a ici que moi de femme de qualité, je pense. (Acte 1, scène 4, MADAME ARGANTE)
Te trouver ici, mon incomparable ! (Acte 1, scène 5, MADAME ARGANTE)
En sortant du bac, cinq ou six femmes à bonne fortune se sont emparées de Monsieur l'Abbé ; à cinquante pas plus loin, un gros d'ivrognes a accosté la fille d'Opéra, et Monsieur le Notaire est ici proche en affaire sérieuse. (Acte 1, scène 5, CIDALISE)
Cela est heureux, et je l'en félicite. (Acte 1, scène 6, MADAME ARGANTE)
Voici Monsieur l'Abbé, je pense. (Acte 1, scène 7, CIDALISE)
On ne les vole point, Madame, on les emprunte aux Abbés officieux, pour envelopper les baigneuses du bac, en attendant que leurs habits sèchent. (Acte 1, scène 8, LE CHEVALIER)
C'est une petite Bourgeoise des plus jolies, qui m'avait ici donné rendez-vous : il lui arrive un accident, je ne puis pas avec bienséance la ramener chez elle toute nue. (Acte 1, scène 8, LE CHEVALIER)
Les Dames, qui veulent faire emplettes, viennent ici dans la prairie voir danser, sauter, gambader, trotter, galoper ce qu'il y a de jeunes gens, et quand il s'en trouve quelqu'un beau, bien fait, et de bonne mine... Je me donne au diable, je l'ai échappé belle, moi qui vous parle, la bonne marchandise est de défaite en ce pays-ci. (Acte 1, scène 12, L'OLIVE)
Il faut donc se hâter, Madame : la scène ne se passe qu'à cent pas d'ici sous ces premiers Saules. (Acte 1, scène 12, L'OLIVE)
Sont-ce des épouseurs que les Officiers, et les Officiers de Dragons encore ? (Acte 1, scène 13, L'OLIVE)
Cela n'est pas difficile à croire. (Acte 1, scène 13, FROSINE)
Oh, pour les tiennes, elles se trouveront dans la bourse d'Éraste ; le voici le plus à propos du monde. (Acte 1, scène 13, L'OLIVE)
Et les Musiciens, les Danseurs, sont-ils arrivés ? (Acte 1, scène 14, L'OLIVE)
Ce ne sera pas bien difficile. (Acte 1, scène 15, FROSINE)
Il n'est donc pas ici ? (Acte 1, scène 17, MARIANE)
Nous ne sommes ici que pour cela, et ce ne sera pas incognito, votre père sera de la noce. (Acte 1, scène 18, FROSINE)
Que Frosine lui dise que je suis ici, que c'est pour le voir que je suis venue même, qu'elle flatte son imagination de tout l'espoir qu'il voudra prendre, je l'avouerai de ce qu'elle aura dit. (Acte 1, scène 19, CIDALISE)
Vraiment, je suis bien aise que vous soyez ici, cela mettra mon parrain de bonne humeur, peut-être. (Acte 1, scène 20, CHOUCHETTE)
Il fallait autrefois avoir de l'expérience pour bien conduire une affaire amoureuse ; aujourd'hui les filles naissent avec tant d'esprit, que la plus jeune est quelquefois la plus habile. Mais voici notre Monsieur Griffard : qu'il me paraît rêveur ! Il doit avoir fait cette nuit quelque mauvais songe. (Acte 1, scène 21, FROSINE)
La Foire de Besons n'est qu'un prétexte qu'elle a pris pour venir ici vous rendre une visite sans conséquence. (Acte 1, scène 22, FROSINE)
Elle va venir ici, c'est à vous à prendre vos mesures ; la voici, je pense. (Acte 1, scène 22, FROSINE)
Oui, cela me fera plaisir ; je le veux bien, mon pauvre Nourricier : mais amenez donc ici toute la noce, il y a moins de monde que partout ailleurs, et nous y danserons plus à notre aise. (Acte 1, scène 23, CIDALISE)
Ils font aujourd'hui leurs fiançailles ; ils vont venir danser ici, nous danserons avec eux, s'il vous plaît, et ce soir vous donnerez à souper à la compagnie. (Acte 1, scène 23, CIDALISE)
Je sommes ici pour ça. (Acte 1, scène 24, L'OLIVE)
Vous aviais promis à votre Nourricier, Madame, que vous prendriais la peine de bouter-là votre paraphe. (Acte 1, scène 24, LE TABELLION)
Tout va bien. Va-t-en vitement avertir Madame Argante de ce qui se passe, et nous l'envoie ici, nous aurons besoin d'elle pour le dénouement. (Acte 1, scène 25, L'OLIVE)
Et tu as l'insolence de m'amenez ici pour me trahir à ma barbe, petit vilain ? (Acte 1, scène 27, MADAME ARGANTE)
Ici l'on en achète. v.44 (Acte 1, scène 28, TOUS)
Ici l'on en achète. v.50 (Acte 1, scène 28, TOUS)
Ici l'on en achète. v.56 (Acte 1, scène 28, LE MARINIER)
Ici l'on en achète. v.62 (Acte 1, scène 28, L'OLIVE)

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LA FOIRE SAINT GERMAIN (1697)

Des bonnets à la bénéficière ? (Acte 1, scène 1, MADEMOISELLE MOUSSET)
Voyez ici, Mesdames. (Acte 1, scène 1, MADEMOISELLE MOUSSET)
Mais grâces au Ciel, je la retrouve en quartier d'hiver ; et pour ne l'effaroucher pas, en attendant que l'amour m'en fasse absolument raison, je la mine tout doucement ici, et je l'attrape par les menus. (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
Holà, hé, Mademoiselle Mousset, serviteur ; un mot ici, je vous en conjure. (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
On ne sera ici que dans une heure. (Acte 1, scène 3, MADEMOISELLE MOUSSET)
Oui, mon enfant, la Comtesse de Méripillerious, notre parente, tient toute la robe dans sa manche ; je vais accompagner ma soeur chez elle pour son affaire, et je reviens dans l'instant ici pour la nôtre. (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
Tu as raison : mais ne risques-tu rien ici ? (Acte 1, scène 5, MADEMOISELLE MOUSSET)
Je gage en deux jours d'emporter l'affaire, quelque difficile qu'elle puisse être. (Acte 1, scène 7, LORANGE)
Cet animal-là sera difficile à apprivoiser. (Acte 1, scène 7, LORANGE)
Elle vient par ici, n'est-ce pas ? (Acte 1, scène 8, LORANGE)
Je vous laisserais ici toute seule ? (Acte 1, scène 10, MADAME ISAAC)
Enfin, j'ose, en tremblant, vous consulter ici moi-même sur ma destinée : mon coeur est tout à vous, avez-vous disposé du vôtre ? (Acte 1, scène 13, CLITANDRE)
Doucement, s'il vous plaît, Monsieur, un peu moins de transport, et plus de réflexion ; nous ne sommes pas ici en place d'avoir de longues conversations : venons au fait. (Acte 1, scène 13, MADEMOISELLE MOUSSET)
Et très fort même : il vient ici presque tous les jours. (Acte 1, scène 13, MADEMOISELLE MOUSSET)
Faites-moi chercher l'Arménien et votre Breton, qu'ils lâchent le filou prétendu, et qu'ils se dépêchent de venir ici. (Acte 1, scène 14, MADEMOISELLE MOUSSET)
Mais voici Monsieur Farfadel. (Acte 1, scène 15, MADEMOISELLE MOUSSET)
Cette fille est riche, et ce qui fait que je viens ici incognito aujourd'hui, c'est que la mère est une prude qu'il faut ménager ; je ne veux pas manquer cette affaire, elle est sérieuse : mais quand la dupe sera une fois embarquée, je ne suis pas d'humeur à me contraindre, et je me rejetterai dans la bagatelle. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR FARFADEL)
Pour vous dire de venir ici, et de laisser aller ce pauvre diable. (Acte 1, scène 18, MADEMOISELLE MOUSSET)
Il ne fait pas bon ici. (Acte 1, scène 19, LORANGE)
Il avait gagé une discrétion contre moi, qu'il serait ici le premier, il a perdu, comme vous voyez. (Acte 1, scène 21, MAROTTE)
Ce ne sera pas bien difficile. (Acte 1, scène 21, MADEMOISELLE MOUSSET)
Je viens de le rencontrer en venant ici, il se promène dans l'autre allée avec Angélique, mon maître les suit pas à pas, et ne les perds pas de vue. (Acte 1, scène 23, LE BRETON)
Ce galant homme, par cas fortuit, est d'autre part rival de mon maître, nous voudrions bien le berner de dessein formé, et comme le hasard vous conduit ici, vous serez, si vous voulez, de la partie. (Acte 1, scène 23, LE BRETON)
Vous ne demeurez pas loin d'ici, Mademoiselle Nicole ? (Acte 1, scène 23, LORANGE)
Farfadel ici, Farfadel là, Farfadel partout ? (Acte 1, scène 24, LE CHEVALIER)
Voici la Dame. (Acte 1, scène 24, MADEMOISELLE MOUSSET)
Pudeur sur le visage, sages discours sur les lèvres, politique dans la conduite, déguisement dans l'amour-propre, simplicité dans la coiffure, modestie dans l'ajustement ; vous êtes un modèle accompli de perfections morales, ou la peste m'étouffe. (Acte 1, scène 25, LE CHEVALIER)
Cela est fort prudent ; et supposez même qu'on vous vît ici, ne pourriez-vous pas y être venue faire provision de confitures pour les malades ? (Acte 1, scène 25, MADEMOISELLE MOUSSET)
Mon gendre et ma fille sont ici ! (Acte 1, scène 28, MADAME BARDOUX)
Il y a ici quelque chose que je n'entends pas bien. (Acte 1, scène 28, MADAME BARDOUX)
C'est ici, Messieurs, entrez vite, Mesdames. (Acte 1, scène 29, LE BRETON)
Voyez ici, Messieurs le Cercle nouveau, des Figures parlantes, aussi hautes que le naturel ; voyez, ici, Messieurs. (Acte 1, scène 29, LORANGE)
Font ici commerce de tendresses. v.17 (Acte 1, scène 31, TOUS)

LES VENDANGES DE SURESNES (1695)

Tu la verras, et dès aujourd'hui elle doit venir ici faire vendange. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR THOMASSEAU)
Je songe aussi à marier ma fille, et le mari que je lui destine devrait être ici, je l'attends de jour en jour. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR THOMASSEAU)
Il viant rôder ici depuis que vous y êtes, un jeune gars de Paris. (Acte 1, scène 1, THIBAUT)
Oh, palsangué oui, Ils l'avont commencée drès Paris, je gage, et ils continuont ici par-dessus les murailles. (Acte 1, scène 1, THIBAUT)
Clitandre, vous paraissez en plein jour ici ? (Acte 1, scène 3, MARIANE)
C'est l'amour qui me retient ici. (Acte 1, scène 3, CLITANDRE)
Il attend ici aujourd'hui son gendre et sa maîtresse. (Acte 1, scène 3, THIBAUT)
Accoutez, ça est difficile, mais pourtant ça n'est pas impossible. (Acte 1, scène 3, THIBAUT)
Hé, pargué la vela, c'est queuque bon vent qui nous la souffle envars ici, j'aurons bonne issue. (Acte 1, scène 4, THIBAUT)
C'est bian dit, je ne sommes pas ici pour ça, j'y sommes pour notre compte. (Acte 1, scène 5, THIBAUT)
Vous n'êtes pas seul ici pour elle ; il y a chez moi un de vos rivaux, je vous en avertis. (Acte 1, scène 5, MADAME DUBUISSSON)
L'exécution est difficile. (Acte 1, scène 5, MADAME DUBUISSSON)
Votre l'Olive, n'est-il point ici ? (Acte 1, scène 5, MADAME DUBUISSSON)
Il y a aux trois Rois une vingtaine d'égrillards qui ne demandont qu'à se divartir ; ils avont des Musiciens, des menêtriers : ce sont de bons enfants qui avont la meine d'aimer à rire : lâchons-les après ce benêt-là, ils le feront désarter, sur ma parole. (Acte 1, scène 5, THIBAUT)
Si nous avions quelque habile fourbe qui pût nous aider encore, je répondrais bien? Oh, par ma foi, vous êtes né coiffé, en voici un que le hasard nous adresse le plus à propos du monde. (Acte 1, scène 6, MADAME DUBUISSSON)
Hé, que diantre viens-tu faire ici ? (Acte 1, scène 7, CLITANDRE)
Voici votre rival, allez rejoindre Thibaut ; vous avez tous trois de l'esprit, vous concerterez ensemble ce qu'il faudra faire ; et pour moi, je vous livre votre homme dans quelque panneau que vous puissiez lui tendre. (Acte 1, scène 7, MADAME DUBUISSSON)
Je vous en félicite. (Acte 1, scène 1, MADAME DUBUISSSON)
Voilà mon cousin l'Officier que j'amène voir mon prétendu. (Acte 1, scène 12, LORANGE)
C'est le chevalier Thomasseau, ce fameux, ce brave Officier aux Gardes, de son métier ? (Acte 1, scène 12, MADAME DUBUISSSON)
Oh çà, Mesdames, voilà la maison de votre petit serviteur, nous y serons plus commodément qu'ici. (Acte 1, scène 13, MONSIEUR THOMASSEAU)
Attends-moi ici, ma voisine, j'ai quelque chose à te dire. (Acte 1, scène 13, MONSIEUR THOMASSEAU)
Mais voici déjà le bon homme, quelle confidence me veut-il faire ? (Acte 1, scène 14, MADAME DUBUISSSON)
Oui, Monsieur, et pour mes péchés je suis venu ici dans le dessein d'épouser la fille d'un Monsieur Thomasseau, qui est le plus grand coquin, le plus grand maraud? (Acte 1, scène 17, VIVIEN)
Voilà un maraud qui a perdu l'esprit, ou qui vient ici pour m'insulter. (Acte 1, scène 17, MONSIEUR THOMASSEAU)
Il y a ici quelque chose que je ne comprends point. (Acte 1, scène 17, MONSIEUR THOMASSEAU)
C'est le fils d'un de mes amis, ma voisine, qui vient ici pour être mon gendre. (Acte 1, scène 19, MONSIEUR THOMASSEAU)
Je vous félicite de l'avoir trouvé. (Acte 1, scène 19, MADAME DUBUISSSON)
Trois Officiers de Dragons de mes bons amis m'ont engagée d'y venir en Vendanges ; et comme j'ai su par occasion que Monsieur Vivien de la Chaponnardière y était pour épouser la fille de Monsieur, j'ai cru ne pouvoir me dispenser de mettre empêchement à ce mariage. (Acte 1, scène 22, LORANGE)

LA MÉTEMPSYCOSE (1718)

Et vous croyais ici déjà bien établie. v.15 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
Avant que d'établir ici-bas mon séjour, v.34 (Acte 1, scène 2, LA PAIX)
Une félicité qui dure plus d'un jour. v.38 (Acte 1, scène 2, LA PAIX)
Vous viendra faire ici sa cour, v.81 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
Il en est ici de charmants, v.89 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
Quel sujet vous amène ici ? v.112 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
Je serai le Musicien. v.136 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
À seconder les jeux qu'ici nous préparons ; v.161 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
Et voici justement un endroit pour la Scène, v.175 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
Ce lieu charmant ici semble exprès transporté. v.183 (Acte 1, scène 3, BACCHUS)
Et Jupiter ne songe ici qu'à folâtrer, v.260 (Acte 2, scène 1, MERCURE)
Mais ici je te puis parler en confidence, v.271 (Acte 2, scène 1, JUPITER)
Du Ciel en ce moment ici vient d'arriver. v.355 (Acte 2, scène 2, FAUNUS)
De la savoir si près d'ici. v.363 (Acte 2, scène 2, JUPITER)
Ici l'Amour et vous, en vain vous m'arrêtez. v.412 (Acte 2, scène 4, JUPITER)
Je ne veux point ici disputer davantage, v.455 (Acte 2, scène 4, JUPITER)
Va vous rendre ici peu contente. v.467 (Acte 2, scène 5, FAUNUS)
Faire tous nos efforts pour nous sauver d'ici. v.543 (Acte 2, scène 6, JUNON)
Afin de m'introduire ici ; v.597 (Acte 2, scène 8, JUNON)
Qu'on voit là-haut comme ici-bas. v.615 (Acte 2, scène 8, JUNON)
Mais l'Inconstance ici pourrait me déranger, v.621 (Acte 2, scène 8, JUNON)
Il faut sans intérêt me rendre ici service, v.664 (Acte 2, scène 9, JUNON)
Je vous quitte là-haut, et vous retrouve ici. v.715 (Acte 2, scène 10, FAUNUS)
C'est ici que je l'ai laissée. v.719 (Acte 2, scène 10, FAUNUS)
De l'Amant qui la tient ici sous sa puissance? v.731 (Acte 2, scène 10, JUNON)
Qu'ici Faunus nous vît ensemble toutes deux, v.752 (Acte 2, scène 11, JUNON)
Formez ici d'aimables jeux, v.763 (Acte 2, scène 12, L'AMOUR)
Philène ici ? Quelle surprise ! Ah Dieux ! v.770 (Acte 2, scène 13, MÉROPE)
La constance ici tient sa cour, v.776 (Acte 2, scène 13, PHILÈNE)
Passons ici nos plus beaux jours, v.789 (Acte 2, scène 13, PHILIS, PHILÈNE)
Passons ici nos plus beaux jours, v.793 (Acte 2, scène 13, PHILIS, TIRCIS)
Comment donc, vous croyez ici faire les maîtres ? v.795 (Acte 2, scène 13, FAUNUS)
Tout m'est suspect ici, comme j'y suis suspecte, v.810 (Acte 3, scène 1, CORINE)
Vous-même ici tantôt les aviez approuvés, v.845 (Acte 3, scène 2, CORINE)
Vous me parliez tantôt ici tout autrement. v.898 (Acte 3, scène 2, CORINE)
Dans ce séjour délicieux, v.1029 (Acte 3, scène 5, BACCHUS)
Je ne vois point ici la beauté qu'il adore. v.1032 (Acte 3, scène 5, BACCHUS)
Bacchus ici pour quelque affaire ? v.1041 (Acte 3, scène 6, FAUNUS)
Le séjour qu'ici fait Junon v.1058 (Acte 3, scène 6, BACCHUS)
Être ici sorcier, ce n'est rien, v.1096 (Acte 3, scène 6, BACCHUS)
Et si de m'éloigner d'ici v.1125 (Acte 3, scène 7, CORINE)
Ne vous avisez pas d'aller me faire ici v.1218 (Acte 3, scène 7, FAUNUS)
Voici Philène? sa présence v.1259 (Acte 3, scène 9, CORINE)
Et quoique l'on m'observe ici de toutes parts ; v.1310 (Acte 3, scène 10, CORINE)
Ma tante porte ici ses pas. v.1313 (Acte 3, scène 10, CORINE)
Depuis quelques instants, tout ce qu'ici je vois v.1320 (Acte 3, scène 11, MÉROPE)
Ah ! Quels conseils pernicieux v.1368 (Acte 3, scène 11, PHILÈNE)
Oh, ce n'est point un Dieu, c'est un Magicien, v.1375 (Acte 3, scène 11, MÉROPE)
Ici tout est enchantement. v.1383 (Acte 3, scène 11, MÉROPE)
Un magicien t'aime, un Follet te lutine. v.1385 (Acte 3, scène 11, MÉROPE)
À vous donner ici, pour vous désennuyer, v.1443 (Acte 3, scène 13, FAUNUS)
Et qu'ils m'ont demandé de répéter ici. v.1447 (Acte 3, scène 13, FAUNUS)
Ils ne tarderont pas à venir. Les voici. v.1449 (Acte 3, scène 13, FAUNUS)
C'est un honneur dont je vous félicite ; v.1456 (Acte 3, scène 13, CORINE)
Je vous amène ici l'élite v.1459 (Acte 4, scène 1, BACCHUS)
Des vins les plus délicieux. v.1486 (Acte 4, scène 1, FAUNUS)
Et pour vous les offrir, j'adresse ici mes pas. v.1517 (Acte 4, scène 2, UN PETIT AMOUR)
Tant mieux, servons-nous-en pour les tirer d'ici. v.1557 (Acte 4, scène 3, L'AMOUR)
Cherchons ici Faunus de toutes parts, v.1619 (Acte 5, scène 1, MERCURE)
Je n'en puis plus, ici tout m'épouvante, v.1622 (Acte 5, scène 2, MÉROPE)
J'ai vu ma nièce ici causer avec quelqu'un v.1628 (Acte 5, scène 2, M?ROPE)
Est-il venu quelqu'un lui rendre ici visite ? v.1648 (Acte 5, scène 2, JUPITER)
Avaient ici, ri, bu, chanté, dansé ; v.1653 (Acte 5, scène 2, MÉROPE)
Nous le saurons, le voici qui s'avance. v.1663 (Acte 5, scène 2, MERCURE)
Je crois que la voici. v.1720 (Acte 5, scène 4, MERCURE)
Me fait vous chercher jusqu'ici. v.1722 (Acte 5, scène 5, VÉNUS)
Déesse vous venez ici nous débiter v.1742 (Acte 5, scène 5, JUPITER)
Hé ! Qu'est-ce donc, voici bien du remue-ménage ? v.1850 (Acte 5, scène 9, FAUNUS)
Qui malice avez ici tout dérangé. v.1854 (Acte 5, scène 9, FAUNUS)
Célébrons ici l'hyménée. v.1938 (Acte 5, scène 11, L'AMOUR)

LA LOTERIE (1697)

Paix, taisez-vous voici quelqu'un. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Je crois que cela ne serait pas inutile, et je me souviens que de certains Officiers cet hiver, en vous donnant leur argent, vous firent entendre... (Acte 1, scène 5, LISETTE)
Ils sont à l'Armée les Officiers. (Acte 1, scène 5, SBRIGANY)
On a déjà donné bien des petits lots à bien des gens qui s'en retournent en jurottant, Monsieur ; mais voici une boîte qui vous fera juroter à votre tour je pense. (Acte 1, scène 7, LISETTE)
Allez, si je gagne ici quelque chose de bon ne vous boutez pas en peine. (Acte 1, scène 10, BASTIEN)
Petit lot, une souricière. (Acte 1, scène 11, BASTIEN)
Hé palsangué jon des chats cheunous, que voulez-vous que je fassions d'une souricière ! (Acte 1, scène 11, BASTIEN)
Allons, dépêchons, n'oubliez rien ; voilà votre souricière. (Acte 1, scène 11, LISETTE)
Oh tastigué, Monsieur l'affronteux, je vous apprendrai à vous gausser des gens de Courbevoie, avec votre bouteille diau et vos souricières. (Acte 1, scène 11, BASTIEN)
Monsieur, Monsieur le manant, si vous faites ici le moindre bruit. (Acte 1, scène 11, SBRIGANY)
Morgué non je n'en ferai pas ici, mais si je l'attrape jamais queuque part sur le chemin de Neuilly je te rouerai bien pour mes six écus, va ne te mets pas en peine. (Acte 1, scène 11, BASTIEN)
C'est que Monsieur_le_Baron est amoureux d'elle, comme vous savez ; elle a une mère capricieuse, avec qui nous sommes brouillés : nous ne savons comment faire pour lui donner de nos nouvelle, et mon maître s'est imaginé que dans une boîte de Loterie vous pourriez bien, si vous vouliez, faire passer son petit billet. (Acte 1, scène 13, LA-FRANCE)
Oui je la referai : mais il n'en sera ni plus ni moins, et puisqu'elle le prend sur ce ton-là elle n'aura parbleu que des souricières. (Acte 1, scène 16, SBRIGANY)
La veuve d'un épicier de la rue des Lombards qui est amoureuse de lui à la folie. (Acte 1, scène 20, LISETTE)
Certes je vous en félicite. (Acte 1, scène 24, LE-GASCON)
Petit étui, petite porcelaine, petit mouchoir, petite souricière. (Acte 1, scène 24, LE-GASCON)
Je suis bien ici. (Acte 1, scène 24, SBRIGANY)
Ah vraiment voici qui est admirable. (Acte 1, scène 25, LA-PROCUREUSE)
Oh je ne viens ici qu'à bonnes enseignes, et voilà un billet qui fera bien foi que je ne rêve point. (Acte 1, scène 25, LA PROCUREUSE)
Voici tout à propos la personne à qui appartient le coffre. (Acte 1, scène 27, SBRIGANY)
C'est la Marquise ma cousine, hé que faites-vous ici, ma chère enfant ? (Acte 1, scène 28, LE-FINANCIER)

LE MOULIN DE JAVELLE. (1692)

Quand je serai payé, je n'aurai que faire ici. (Acte 1, scène 2, LE COCHER)
Écoute, nous voici près de la maison ; si j'appelle quelqu'un, tu seras rossé. (Acte 1, scène 2, LA COMTESSE)
Si vous couchiez ici, encore? (Acte 1, scène 2, LE COCHER)
Coucher ici, Madame ! (Acte 1, scène 2, FINETTE)
Coucher ici ! (Acte 1, scène 2, FINETTE)
Il me donne ce soir à souper ici, Le Chevalier s'y trouvera, et nous prendrons ensemble des mesures. (Acte 1, scène 3, LA COMTESSE)
Voici la maîtresse de la maison. (Acte 1, scène 3, FINETTE)
Hé, allez, allez, Madame, nous savons cela mieux que personne, et je ne sais combien de Dames qui sont ici tout l'hiver avec des Ducs et des Marquis, n'y viennent presque l'été qu'avec des Procureurs et des petits-maîtres du quartier Saint-Honoré : encore ne sont-ce pas les plus mal partagées. (Acte 1, scène 4, MADAME BERTRAND)
S'il vous questionnait tantôt, par hasard, ne vous avisez pas d'aller dire que sa femme soupa hier ici avec ce jeune Conseiller et ce vieux Musicien. (Acte 1, scène 7, MADAME BERTRAND)
Tenez, ma Tante, tous ces Messieurs qui viennent ici avec des femmes, ne voudraient pas que leurs femmes y vinssent avec des Messieurs, non. (Acte 1, scène 7, MAROTTE)
Alles se promenont le long de l'iau, et alles viandront ici, je gage. . (Acte 1, scène 9, NICOLAS)
Parce que tu vois ici des Madames qui couront après des Monsieux, tu t'imagines qu'il faut faire de même ; raye ça de tes papiers. (Acte 1, scène 10, BERTRAND)
Oui, mais j'ai dans la pensée qu'ils ne viennent pas ici pour des écrevisses, et qu'il y a queuque anguille sous roche. (Acte 1, scène 10, BERTRAND)
Sa femme soupait ici, à Monsieur Simonneau. (Acte 1, scène 10, BERTRAND)
Oui, m'est avis que j'ai entendu ce mot-là, et ils m'avons bian enchargé de ne pas dire qu'ils sont ici, ils y demeureront peut-être jusqu'à demain. (Acte 1, scène 10, BERTRAND)
Sans colère, Monsieur Bertrand, je ne viens ici que pour cela, et pour quelque autre petite chose. (Acte 1, scène 11, LOLIVE)
Trouveriez-vous qu'il y eût grand mal à lui dire que mon maître l'attend ici ; et que comme nous n'oserions aller à Vaugirard, par ménagement pour elle, elle court moins de risque à nous venir trouver ? (Acte 1, scène 11, LOLIVE)
C'est Monsieur Grimaudin, Madame, qui envoie savoir s'il n'y a ici personne de sa connaissance, et s'il y peut venir souper avec deux Dames de ses parentes ? (Acte 1, scène 13, LA FLEUR)
Il y a morgué du temps qu'alle vous garde ça ; car alle viant ici trois ou quatre fois la semaine. (Acte 1, scène 15, BERTRAND)
Madame du Rollet, ce ne sont point ici vos affaires, mêlez-vous, je vous prie? (Acte 1, scène 15, MONSIEUR SIMONNEAU)
Ouais, mais voici qui est admirable. (Acte 1, scène 15, MONSIEUR SIMONNEAU)
C'est une coquine qui ne croyait pas me trouver ici. (Acte 1, scène 15, MONSIEUR SIMONNEAU)
Je ne viens ici, comme vous savez, que pour y attraper en quelque débauche mon coquin de neveu, qui est un vagabond, qui mange tout son fait. (Acte 1, scène 17, MONSIEUR SIMONNEAU)
Alles veniont pour souper ici, alles trouvent la place prise, alles vont s'en plaindre : mais je ne pouvons mais de ça, nous autres. (Acte 1, scène 17, BERTRAND)
Si l'on me retient ici? (Acte 1, scène 19, MONSIEUR DU ROLLET)
Je ne m'effarouche pas si aisément, et nous serons ce soir ici mieux qu'en lieu du monde. (Acte 1, scène 23, MADAME SIMONNEAU)
S'il sait que je suis venue ici avec Monsieur Grimaudin, je suis perdue, te dis-je. (Acte 1, scène 23, MADAME DU ROLLET)
Nous n'avons qu'à nous tranquilliser ici pendant que leur premier mouvement passera : plus l'aventure sera forte, et plus ils craindront qu'elle éclate. (Acte 1, scène 23, MADAME SIMONNEAU)
Je ne me moque point, et vous allez voir ici son lendemain de noces. (Acte 1, scène 25, LOLIVE)
Vous avez ici rendez-vous avec Madame_la_Comtesse : elle vaut bien ces honnêtes personnes-là. (Acte 1, scène 25, LOLIVE)
Mais, mais, demeurez ici seulement, et ne vous embarrassez pas du reste. (Acte 1, scène 25, LOLIVE)
C'est elle qui reçoit l'argent du monde qui vient ici, et c'est mon oncle qui le serre. (Acte 1, scène 27, MAROTTE)
Mais la voici, votre tante, je m'en vais lui dire tout ce que vous m'avez dit. (Acte 1, scène 27, LE CHEVALIER)
Mais, Monsieur, y a-t-il longtemps que vous êtes ici ? (Acte 1, scène 29, MADAME BERTRAND)
Elle est ici ? (Acte 1, scène 29, LE CHEVALIER)
Vous donnez dans les beautés musiciennes, monsieur le Baron de Ganivet ! (Acte 1, scène 32, LA COMTESSE)
N'est-ce pas ici qu'on mange des matelotes ? (Acte 1, scène 32, GANIVET)
Et par quel hasard te trouvai-je ici ? (Acte 1, scène 34, LOLIVE)
Hé, Que j'ai de joie de te trouver ici, ma chère, ma charmante, mon incomparable Comtesse ! (Acte 1, scène 34, LOLIVE)
Je suis bienheureux que ma chaise de poste ait rompu si près d'ici. (Acte 1, scène 34, LOLIVE)
Place, place, Messieurs, et de la joie, voici tout le lendemain de noces qui nous arrive. (Acte 1, scène 36, MADAME BERTRAND)

LA GAZETTE (1693)

Oh, par ma foi, Monsieur, vous êtes trop scrupuleux pour un Officier d'Infanterie, il n'y a pas moyen de s'y sauver. (Acte 1, scène 1, LE SERGENT)
Voici Crispin, laisse-nous, et va m'attendre au logis : va vite. (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Demeure donc ici, toi, et prends bien garde... (Acte 1, scène 2, CLITANDRE)
Mais voici notre jeune maîtresse, et son vieux bonhomme de père. (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
Je vais sortir, il n'y a aucun de mes garçons à la boutique, prenez-y bien garde, et ne vous amusez pas, je vous prie, à babiller avec un tas de godelureaux qui rôdent toujours autour d'ici. (Acte 1, scène 4, GUILLEMIN)
Je me suis lassée d'ourler des coiffes, et de montrer des rubans : je suis accourue pour te féliciter de ton mariage. (Acte 1, scène 5, FILLON)
Paix, voici ma tante. (Acte 1, scène 5, ANGÉLIQUE)
Adieu, je vais faire un tour au banc de mon Procureur, et je repasserai peut-être par ici ; car je veux laver la tête à Monsieur mon frère. (Acte 1, scène 6, MADAME PERNELLE)
Ma chère Fillon, le voici. (Acte 1, scène 8, ANGÉLIQUE)
Voyez ici les affaires du temps ? (Acte 1, scène 8, FILLON)
Il faudrait être étrangement difficile, et la seule conversation d'une si aimable personne... (Acte 1, scène 8, CLITANDRE)
Nous sommes ici trop en vue, passons là-dedans, vous aurez tout le loisir de vous entretenir ensemble. (Acte 1, scène 8, FILLON)
Je suis seule ; il vient ici du monde à tout moment, pour cette Gazette surtout ; s'ils ne trouvent personne ? (Acte 1, scène 8, ANGÉLIQUE)
Hé bien, Monsieur Eustache Crassin, allez-vous-en ici près, rue du Coeur-Volant, à l'Hôtel de Normandie, et demandez Monsieur de la Rose ; je me donne au diable, s'il vous quitte que vous n'ayez fait affaire ensemble. (Acte 1, scène 10, CRISPIN)
C'est ici, Madame. (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
Voici le fait, mon cher Monsieur ; pour faire enrager des parents mal intentionnés qui comptent trop sur ma succession, je me suis mariée depuis trois mois incognito. (Acte 1, scène 11, LA COMTESSE)
Monsieur Guillemin n'est pas ici Monsieur ? (Acte 1, scène 13, ROBICHON)
Je vois cela d'ici. (Acte 1, scène 13, ROBICHON)
En voici un que je n'enrôlerai point, sur ma parole. (Acte 1, scène 15, CRISPIN)
Il me semble que je l'ai vu souvent rôder autour d'ici. (Acte 1, scène 15, LE CHEVALIER)
Demandez-vous ici quelque chose ? (Acte 1, scène 15, LE CHEVALIER)
Que faites-vous donc seul ici ? (Acte 1, scène 15, LA COMTESSE)
Ouais, voici un maroufle qui me paraît bien raisonneur. (Acte 1, scène 15, LA COMTESSE)
Je veux absolument savoir qui vous êtes, et ce que vous faites ici. (Acte 1, scène 15, LA COMTESSE)
C'est un des parents de Monsieur Guillemin, qui est ici depuis quelques jours pour ce mariage, apparemment. (Acte 1, scène 16, FILLON)
C'est un fort galant homme, diable ; il demeure ici près, rue du Coeur-Volant, à l'Hôtel de Normandie ; il vous fera Capitaine en moins d'un moment, je vous en réponds. (Acte 1, scène 18, CRISPIN)
Ouais, ma fille n'est point ici. (Acte 1, scène 23, MONSIEUR GUILLEMIN)
Cela n'est pas bien difficile, et ce n'est pas là-dedans qu'il faut être pour cela. (Acte 1, scène 23, MONSIEUR GUILLEMIN)

NOUVEAU PROLOGUE, ET NOUVEAUX DIVERTISSEMENTS (1704)

Dans ce Vallon délicieux v.1 (Acte 1, scène 1, LA FORTUNE)
Mais quoi ? Nul ici ne s'empresse v.40 (Acte 1, scène 1, LA FORTUNE)
Ordonne ici le Dieu des mers. v.135 (Acte 1, scène 4, L'AMOUR)
Jusqu'ici la Princesse à mon pouvoir rebelle, v.144 (Acte 1, scène 4, L'AMOUR)
Qu'ici l'Écho ne résonne v.159 (Acte 1, scène 4, L'AMOUR)
On ne parle ici que d'amour, v.194 (Acte 2, scène 2, LA NYMPHE)
Ses plaisirs sont ici moins chantés, v.198 (Acte 2, scène 2, LE FAUNE)
Loin d'ici, Faune téméraire, v.205 (Acte 2, scène 2, CORIDON)
Voici la beauté que j'adore. v.221 (Acte 2, scène 2, CORIDON)
L'Amour en ma faveur conduit ici ses pas ; v.222 (Acte 2, scène 2, CORIDON)
Ô la douce félicité ; v.234 (Acte 2, scène 2, LE FAUNE)
Des fêtes qu'ici l'on vous donne, v.315 (Acte 2, scène 3, PAN)
Fruits pour le goût délicieux, v.327 (Acte 2, scène 3, PAN)
Sont moins difficiles v.343 (Acte 2, scène 3, UN FAUNE)
Ici les Nymphes des Fontaines v.353 (Acte 2, scène 3, MADEMOISELLE SALLÉ)
Qui vous promet tant de félicité, v.406 (Acte 2, scène 4, L'AMOUR)
Modelez-vous sur la simplicité v.407 (Acte 2, scène 4, L'AMOUR)
Une félicité de la sorte établie. v.430 (Acte 2, scène 5, LE MARIÉ)

CÉPHALE ET PROCRIS (1711)

Muse charmante, et vous en félicite. v.10 (Acte 1, scène 1, MOMUS)
Que ces bois sont délicieux ! v.258 (Acte 2, scène 1, PHILACTE)
Mais ici franchement ce que j'aime le mieux, v.259 (Acte 2, scène 1, PHILACTE)
Mais ici de tout soin je me trouve exempté, v.265 (Acte 2, scène 1, PHILACTE)
De mille objets charmants l'esprit ici flatté, v.269 (Acte 2, scène 1, PHILACTE)
Voici le plus charmant séjour? v.313 (Acte 2, scène 2, PHILACTE)
Je dis que c'est ici pour moi le plus beau jour, v.315 (Acte 2, scène 2, PHILACTE)
Hé ! Que peut-il ici manquer à vos désirs ? v.441 (Acte 2, scène 2, CALLITÉE)
Que diable est-elle donc ? Quelque Magicienne, v.485 (Acte 2, scène 2, PHILACTE)
Oh bien, il n'est ici question sûrement v.495 (Acte 2, scène 2, CALLITÉE)
Mais ici tout promet le plus charmant bonheur ; v.535 (Acte 2, scène 2, PHILACTE)
Si quelqu'un d'eux peut-être ici retient mes pas v.618 (Acte 2, scène 3, CÉPHALE)
Non qu'aux traits de l'amour on veuille ici prétendre v.670 (Acte 2, scène 3, CALLITÉE)
Chez qui nous nous trouvons ici ? v.696 (Acte 2, scène 4, PHILACTE)
Lorsqu'aux plaisirs ici tout nous convie, v.723 (Acte 2, scène 4, PHILACTE)
Rien ne s'est-il ici offert à votre vue v.741 (Acte 2, scène 5, L'AURORE)
Rien ne vous troublerait ici ; v.756 (Acte 2, scène 5, L'AURORE)
La pureté de l'air qu'ici vous respirez, v.775 (Acte 2, scène 5, L'AURORE)
Qui d'abord n'était pas moins difficile à faire. v.885 (Acte 2, scène 6, CALLITÉE)
Pour approcher d'ici sans ma permission ? v.889 (Acte 2, scène 6, L'AURORE)
Restez ici, Seigneur Mercure. v.1047 (Acte 2, scène 7, CALLITÉE)
Vous passerez ici les moments les plus doux. v.1050 (Acte 2, scène 7, L'AURORE)
Demeure ici, toi, je te prie, v.1096 (Acte 2, scène 7, L'AURORE)
Au Dieu qui fait aimer tout fait ici la cour, v.1104 (Acte 2, scène , UNE NYMPHE)
De faire éclat de ses félicités. v.1155 (Acte 3, scène 1, PHILACTE)
Par avance déjà je vous en félicite, v.1162 (Acte 3, scène 1, PHILACTE)
À nous laisser aimer ici tout nous invite : v.1169 (Acte 3, scène 1, PHILACTE)
Tandis qu'ici-bas à notre aise v.1195 (Acte 3, scène 1, PHILACTE)
C'est que Procris vient d'arriver ici. v.1273 (Acte 3, scène 2, CALLITÉE)
Elle vient d'arriver ici dans le moment. v.1309 (Acte 3, scène 3, L'AURORE)
À mes Nymphes ici vous donnerez la loi ; v.1339 (Acte 3, scène 3, L'AURORE)
Je vous parle ici confidemment. v.1370 (Acte 3, scène 3, L'AURORE)
Faites ici de bon ouvrage, v.1505 (Acte 3, scène 5, PHILACTE)
Il arrête nos pas ici dans un séjour v.1532 (Acte 3, scène 7, DIONE)
Ah ! C'est ici, sans doute un pays enchanté : v.1536 (Acte 3, scène 7, DIONE)
Je viens ici sous sa conduite, v.1541 (Acte 3, scène 7, PROCRIS)
S'il est ici nous l'y verrons, v.1593 (Acte 3, scène 7, DIONE)
Ces jardins sont délicieux, v.1596 (Acte 3, scène 7, PROCRIS)
De nous conduire ici : j'y viens en confiance v.1607 (Acte 3, scène 7, DIONE)
Vous trouverez ici plus d'adoucissement v.1719 (Acte 3, scène 8, CÉPHALE)
Et qu'ici tout s'empresse à mériter l'honneur v.1743 (Acte 3, scène 8, CÉPHALE)
J'espère ici revoir Céphale à tout moment. v.1803 (Acte 3, scène 10, PROCRIS)
Profitons du séjour qu'ici vous allez faire, v.1970 (Acte 3, scène 12, PHILACTE)
Ici. v.1975 (Acte 3, scène 12, PHILACTE)
Voici Philacte, je vous laisse, v.2240 (Acte 4, scène 2, MERCURE)
Quoi ! Sans Procris vous trouver seule ici ? v.2358 (Acte 4, scène 7, MERCURE)
Et vous venez à propos, la voici. v.2360 (Acte 4, scène 7, DIONE)
Qu'ici mal-à-propos me voilà revenu ! v.2431 (Acte 4, scène 9, PHILACTE)
Voici, je crois, mon inconnu. v.2432 (Acte 4, scène 9, DIONE)
Éloignons-nous d'ici, je crois v.2439 (Acte 4, scène 9, PHILACTE)

MADAME ARTUS (1707)

Est-il jour ici ? v.14 (Acte 1, scène 2, FINETTE)
Oui, mon maître, Dorante ici n'a point couché. v.17 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
Sans prévoir contre lui ce qu'on prépare ici, v.57 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
Et qui, pour gouverner ici tous les esprits, v.81 (Acte 1, scène 2, FINETTE)
Cette Madame Artus a pris ici racine. v.99 (Acte 1, scène 2, FINETTE)
Voici ton maître. v.105 (Acte 1, scène 2, FINETTE)
Je venais de sa part ici vous en instruire. v.111 (Acte 1, scène 3, FINETTE)
D'en jouir n'est qu'un droit d'anticipation, v.146 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
Les nouvelles ici viennent tout à la fois. v.170 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
Voici mon oncle. v.193 (Acte 1, scène 4, DORANTE)
Je ne viens point vous faire ici de réprimande, v.196 (Acte 1, scène 5, DAMIS)
Elle est belle à présent, je vous en félicite ; v.200 (Acte 1, scène 5, DAMIS)
Oui, je la vois ici s'ancrer de plus en plus. v.270 (Acte 1, scène 5, DAMIS)
Voici la petite Fermière. v.280 (Acte 1, scène 5, MERLIN)
Voici par où d'abord il vous faut commencer : v.321 (Acte 1, scène 5, DAMIS)
Qu'il ne soit point ici fait de mention d'elle, v.323 (Acte 1, scène 5, DAMIS)
Je ne vous puis pas bien ici dire, entre nous, v.329 (Acte 1, scène 5, DAMIS)
Mais c'est ici pour vous ma dernière visite. v.352 (Acte 2, scène 1, DAMIS)
Qui voudrait de bon coeur qu'ici tout fût tranquille ; v.380 (Acte 2, scène 2, DORANTE)
C'est enfin le grand art qui la soutient ici ; v.397 (Acte 2, scène 2, FINETTE)
Songeons d'abord qu'ici l'on pourrait nous entendre. v.408 (Acte 2, scène 2, CÉLIDE)
Des rats contre le chat est ici le complot ? v.417 (Acte 2, scène 2, MERLIN)
Officieux, ardent, et zélé pour mon maître? v.427 (Acte 2, scène 2, DORANTE)
Il n'est point question ici de plaisanter, v.429 (Acte 2, scène 2, CÉLIDE)
Madame Artus ici redeviendra Marton. v.578 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
C'est vous ? Vous n'étiez pas seule ici tout à l'heure. v.588 (Acte 2, scène 4, MADAME ARGANTE)
Moi, fille et fils, ici tout va se marier. v.670 (Acte 2, scène 4, MADAME ARGANTE)
Nul. Je l'ai vue ici quelquefois, sans paraître v.699 (Acte 3, scène 1, ÉRASTE)
Son portrait tel qu'ici je l'ai tantôt pu faire : v.704 (Acte 3, scène 1, ?RASTE)
Voici de quoi tous deux nous réjouir très fort. v.737 (Acte 3, scène 2, MERLIN)
Voici notre mère. v.760 (Acte 3, scène 2, MERLIN)
Je trouble ici votre entretien, peut-être ; v.763 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANTE)
Les gens officieux qui s'en mêlent pour nous, v.793 (Acte 3, scène 3, DORANTE)
Mais la voilà, qu'ici Madame Artus amène. v.871 (Acte 3, scène 6, FINETTE)
Ce qui m'en plaît le plus, c'est sa simplicité. v.893 (Acte 3, scène 7, MADAME ARGANTE)
Oui, mais ici, soit dit sans vous déplaire, v.903 (Acte 3, scène 7, FINETTE)
Et Massine ici-bas descendra rarement, v.906 (Acte 3, scène 7, MADAME ARTUS)
Mais je dois vous en faire ici la confidence ; v.980 (Acte 3, scène 9, MADAME ARGANTE)
Il est allé chez lui m'attendre, et voici l'heure? v.991 (Acte 3, scène 9, MADAME ARTUS)
En la prenant ici vous avez vos desseins, v.1001 (Acte 3, scène 11, FINETTE)
Et la moindre démarche ici qu'on vous voit faire? v.1007 (Acte 3, scène 11, FINETTE)
Ah ! Par ma foi, voici quelque nouvelle affaire. v.1020 (Acte 3, scène 13, FINETTE)
C'est mon frère, il est vrai : que puis-je ici pour vous ? v.1021 (Acte 3, scène 13, CÉLIDE)
En descendant ici, qu'avez-vous fait d'Ursule ? v.1068 (Acte 3, scène 13, FINETTE)
Je vous suis venu dire ici tout doucement, v.1089 (Acte 4, scène 1, MERLIN)
Par où l'on mande ici qu'elle est dans un Couvent, v.1109 (Acte 4, scène 1, DORANTE)
Voici ma soeur. v.1113 (Acte 4, scène 1, DORANTE)
Non, félicitez-moi. v.1134 (Acte 4, scène 3, ÉRASTE)
Pour avoir votre aveu nous nous rendons ici. v.1138 (Acte 4, scène 3, DAMIS)
On ne vous a point fait ici de contes vains, v.1158 (Acte 4, scène 3, DAMIS)
Avec ce soupçon-là je suis sorti d'ici, v.1193 (Acte 4, scène 3, ÉRASTE)
Ici près. v.1231 (Acte 4, scène 3, DAMIS)
Dites, est-elle ici ? Quand puis-je la revoir ? v.1293 (Acte 4, scène 5, DORANTE)
Dorante ne sait point encor qu'elle est ici, v.1461 (Acte 5, scène 2, FINETTE)
Et j'étais engagé au secret? La voici. v.1462 (Acte 5, scène 2, FINETTE)
Ne perdons point de temps? mais Ciel ! Que vois-je ici ? v.1502 (Acte 5, scène 4, DORANTE)
L'amour pour vous chercher, conduit ici mes pas ; v.1505 (Acte 5, scène 4, MASSINE)
Mais comment, par quel sort vous ici chez ma mère ? v.1511 (Acte 5, scène 4, DORANTE)
Si de descendre ici Madame Artus s'avise, v.1535 (Acte 5, scène 4, FINETTE)
Voici Merlin. v.1560 (Acte 5, scène 5, FINETTE)
Mais retournez là-haut, et nous laissez ici. v.1582 (Acte 5, scène 8, FINETTE)
Et la félicitons des feux de votre frère. v.1596 (Acte 5, scène 9, DAMIS)
Voici celui qui doit faire notre bonheur. v.1621 (Acte 5, scène 10, MADAME ARTUS)
Les voici l'un et l'autre ; v.1627 (Acte 5, scène 11, MONSIEUR LUDET)
Pardonnez-moi d'oser ici parler en maître ; v.1747 (Acte 5, scène 15, DORANTE)
M'oublier, moi ? Vite, sortons d'ici ; v.1750 (Acte 5, scène 15, DORANTE)

LE MARI RETROUVÃ‰ (1698)

C'en sera la conclusion, mon enfant, et je borne tous mes désirs, toute ma félicité, au seul plaisir de me faire aimer d'une si charmante personne. (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Vous allez vous borner ici, et vous amuser à filer le parfait amour dans un moulin ? (Acte 1, scène 1, LÉPINE)
Vous êtes absolument dans ce goût-là, Monsieur, j'en suis ravi, je vous assure ; je vous en félicite, et je pourrai bien avoir l'honneur de devenir votre oncle. (Acte 1, scène 1, LÉPINE)
La voici, Monsieur. (Acte 1, scène 1, LÉPINE)
Je vous en félicite. (Acte 1, scène 7, LÉPINE)
Et de quoi t'avises-tu de revenir ici, bon vaurien ? (Acte 1, scène 8, JULIENNE)
Alle est morguenne assez malicieuse pour ça. (Acte 1, scène 9, JULIEN)
Je ne vous crois pas ici trop en sûreté, Monsieur Julien, si vous m'en croyez... (Acte 1, scène 9, LÉPINE)
La voici : si vous m'aimez, laissez-moi faire, ou sans ça, la paille est rompue. (Acte 1, scène 16, CHARLOT)
Mon pauvre Monsieu Clitandre, voici de tarribles affaires ! (Acte 1, scène 19, JULIENNE)
L'imposture ne sera pas difficile à confondre. (Acte 1, scène 21, CLITANDRE)
Ah, s'il était ici ! (Acte 1, scène 21, JULIENNE)
L'affaire est importante, Monsieur, il y a ici mort d'homme et supposition, voyez-vous ? (Acte 1, scène 22, LE BAILLI)
Madame Julianne, vela ces parsonnes que vous avez fait prier des fiançailles de Colette, qui n'osont approcher, parce qu'ils voyont ici des gens de Justice. (Acte 1, scène 24, MATURIN)

LE TUTEUR (1694)

Il faut que ce soit queuque chose de biau ; car il était bien emmailloté : cachets par ici, cachets par y-là? (Acte 1, scène 1, LUCAS)
Vous n'en avez que trop, peut-être, et je ne sais pas même s'il n'y en a point ici quelqu'un incognito, qui attend une occasion favorable pour se déclarer. (Acte 1, scène 4, LISETTE)
Ce Peintre, et ce Jardinier qui sont ici depuis quinze jours ? (Acte 1, scène 4, LISETTE)
Ce bizarre Monsieur Bernard, que votre père en mourant s'avisa pour nos péchés de nommer votre Tuteur en dépit de toute la famille, a ses raisons pour demeurer ici, et sous prétexte d'embellir sa maison de campagne, de faire peindre ses appartements, il vous cache aux yeux de tout le monde, et nous tient reléguées depuis six mois dans le fond d'un Village, où il y a plus de cinq mois et trois semaines que je m'ennuie. (Acte 1, scène 4, LISETTE)
Et avec ces beaux sentiments-là, vous mourrez vieille fille, cela est cruel : Monsieur Bernard, pour ne point rendre compte de votre bien, écartera tous les prétendants ; car enfin il n'a point eu jusqu'ici de bonnes raisons pour rebuter ceux qui vous ont demandée. (Acte 1, scène 4, LISETTE)
Et comment a-t-il reçu la demande que lui fit, il y a quelque temps, la mère de ce jeune Marquis, dont les terres sont si proches d'ici ? (Acte 1, scène 4, LISETTE)
Paix, taisez-vous ; voici son espion, il ne faut rien dire devant ce maraud-là. (Acte 1, scène 4, LISETTE)
Oh, c'est vous que je cherche, Angélique : j'allais monter à votre appartement, et je suis bien aise de vous rencontrer ici. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BERNARD)
Ici, Lucas. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR BERNARD)
Je viens d'ici près, Monsieur. (Acte 1, scène 8, L'OLIVE)
Nous travaillons ici depuis quinze jours l'un et l'autre, moi à gâter le jardin de Monsieur Bernard, et vous à défigurer ses plafonds et ses cheminées ; car vous êtes un très mauvais Peintre, et je ne suis pas un bon jardinier, moi, sans contredit. (Acte 1, scène 11, L'OLIVE)
Voici la suivante, laissez-moi un peu causer avec elle, j'irai dans un moment vous rendre compte de la conversation. (Acte 1, scène 11, L'OLIVE)
Il s'en fait de plus difficiles. (Acte 1, scène 12, LISETTE)
Voici Angélique, va chercher ton maître, et l'amène ici ; il ne faut point que les choses languissent. (Acte 1, scène 12, LISETTE)
Il y a quinze jours qu'il est ici, il ne m'a point encore parlé. (Acte 1, scène 13, ANGÉLIQUE)
Le voici. (Acte 1, scène 13, LISETTE)
Si vous êtes le Marquis, Monsieur, j'ai reçu tant de témoignage de tendresse de Madame votre mère, quand elle vint ici? (Acte 1, scène 14, ANGÉLIQUE)
Je ne demande point, adorable Angélique, que pour vous délivrer des persécutions d'un Tuteur bizarre, vous vous jetiez aveuglément entre mes bras, moins par tendresse, peut-être, que par désespoir ; c'est l'amour qui me fait faire le personnage que je fais ici. (Acte 1, scène 14, DORANTE)
Hé retirez-vous, la nuit s'avance à grand pas : quand elle sera tout à fait obscure, revenez ici dans le même endroit, vous nous y trouverez l'une et l'autre. (Acte 1, scène 14, LISETTE)
Il faut pourtant se hâter de prendre parti ; et voici une aventure qu'il faut brusquer, si vous voulez la conduire à bonne fin. (Acte 1, scène 15, LISETTE)
Oh bien morgué, je sommes donc ici plus de deux ; il y a de la trahison, prenons garde à nous. (Acte 1, scène 16, LUCAS)
La voici, l'Olive. (Acte 1, scène 18, DORANTE)
Ce peintre que vous avez ici depuis quinze jours. (Acte 1, scène 18, ANGÉLIQUE)
Voici l'heure à peu près, Monsieur, si vous vouliez nous irions par curiosité encore. (Acte 1, scène 18, LISETTE)
Oui, palsangué, regardez-y plutôt ; voici tout à propos de la lumière. (Acte 1, scène 21, LUCAS)
Oh, pour cela oui, Monsieur, je vous en réponds : et voici mon oncle le Chevalier qui vient d'arriver, qui vous la rendra bien davantage encore. (Acte 1, scène 22, ANGÉLIQUE)
Et que vient-il faire ici à l'heure qu'il est ? (Acte 1, scène 22, MONSIEUR BERNARD)
Donnez-vous le bal ici, Monsieur ? (Acte 1, scène 23, LE CHEVALIER)
Je connais sa folie ; je viens ici pour la guérir. (Acte 1, scène 23, LE CHEVALIER)

LES VENDANGES (1694)

Voici mon oncle, ne lui parlez de rien : quand il n'y sera plus, je vous dirai encore autre chose : mais, si vous êtes une causeuse, vous ne saurez plus rien. (Acte 1, scène 1, CLAUDINE)
Quand nos habillements ne suffiraient pas à nous faire connaître, il serait difficile de cacher notre condition. (Acte 1, scène 5, ÉRASTE)
Écoutez, vous avez bien fait de ne point venir ici avec un habit de Monsieu, on en eût murmuré ; et quoique Lucas ne soit pas défiant, il ne vous eût jamais pris pour travailler à nos vaignes. (Acte 1, scène 6, MARGOT)
Paix, tais-toi, voici le Collecteur. (Acte 1, scène 7, MARGOT)
Et vous, promenez-vous, à l'entour d'ici, sans faire semblant de nous connaître. (Acte 1, scène 7, MARGOT)
Oh ça, Madame Margot, il faut ici de la résolution. (Acte 1, scène 11, L'OLIVE)
Je vous en félicite. (Acte 1, scène 11, L'OLIVE)

LES EAUX DE BOURBON (1697)

Il viant ici prendre des yaux pour se rétablir le foie, et il y deviant estropié par la cervelle ; les Médecins le guarissont d'une façon, et les femmes le rendont malade d'une autre. (Acte 1, scène 1, BLAISE)
Le vela qui viant ici. (Acte 1, scène 1, BLAISE)
C'est ici un pays de liberté où l'on vit sans façon et sans contrainte. (Acte 1, scène 2, LE BARON)
C'est encore un bon original que ce vieux Intendant qui amène ici sa femme pour avoir des enfants. (Acte 1, scène 2, LE BARON)
Tenez, Monsieur, quand des maris amenont ici leurs femmes pour ça, les yaux n'y font rian : quand les femmes venont toutes seules, les yaux opéront que c'est des marveilles. (Acte 1, scène 2, BLAISE)
M'as-tu amené ces flûtes, ces Musiciens... (Acte 1, scène 2, LE BARON)
Ils attendont votre commodité tout ici proche. (Acte 1, scène 2, BLAISE)
Voici la maison de mon Médecin, Monsieur Grognet : les fenêtres de l'aimable Babet Grognet sa fille donnent sur cette place-ci justement, je vais me mettre tout vis-à-vis, afin qu'elle me voie. (Acte 1, scène 3, LE BARON)
Est-ce toi, gros coquin, qui m'amène ici ces canailles-là faire leur charivari ? (Acte 1, scène 5, MONSIEUR GROGNET)
Oh, cela est bien changé, mon pauvre Monsieur_le_Baron, je n'en puis plus ; les eaux me sont mortelles, et l'on m'enterrera ici, je pense. (Acte 1, scène 7, LA PRÉSIDENTE)
J'avons le bonheur de vous y voir tous les ans ; c'est une rente : mais ce n'est pas les yaux que vous venez prendre cette fois ici, peut-être ? (Acte 1, scène 9, BLAISE)
Tu me crois donc bien difficile ? (Acte 1, scène 9, LA MARQUISE)
Il y a ici, depuis quelque temps aussi, un Chevalier de votre connaissance, et qui fait vraiment bonne figure. (Acte 1, scène 10, MADAME GUIMAUVIN)
Vraiment oui, je le connais ; c'est son département, que les Eaux de Bourbon, il en rend quelque chose à la bourse commune ; il y a deux ans qu'il y était encore en Officier Suisse. (Acte 1, scène 10, LA MARQUISE)
On l'appelle Monsieur le Chevalier de la Bressandière : il est ici pour une jambe qu'il a eu cassée en Catalogne, par un parti de Miquelets, à ce qu'il dit, à la descente d'une montagne, mais... (Acte 1, scène 10, MADAME GUIMAUVIN)
Vous venez souvent ici l'un et l'autre : mais ce ne sont pas les mêmes raisons qui vous y amènent. (Acte 1, scène 11, MADAME GUIMAUVIN)
Il me paraît que vous avez ici tous deux intérêt d'être bien ensemble. (Acte 1, scène 11, MADAME GUIMAUVIN)
Vous avez ici vos vues l'un et l'autre : au lieu de vous détruire, ne pourriez-vous point travailler ensemble à frais communs, pour... (Acte 1, scène 11, MADAME GUIMAUVIN)
Je vous ai fait garder votre appartement, allez y conduire Madame, Monsieur le Chevalier ; aussi bien, voici un de mes compères qui veut me parler ; car depuis le matin l'on m'a dit qu'il me cherche (Acte 1, scène 11, MADAME GUIMAUVIN)
Morgué, il y a du dégourdissement dans son affaire ; si alle n'était pas d'ici encore, n'an la mènerait aux Iaux : mais comme alle est des Iaux, ça est chagrinant ; où diable la mèneront-je ? (Acte 1, scène 12, BLAISE)
Tu connais ce vieux Baron de Saint Aubin, qui est à Bourbon depuis trois semaines, et vous vous souvenez tous deux de ce petit homme qui a été tout le printemps ici à prendre des eaux ? (Acte 1, scène 23, BABET)
Ce jeune Officier de Dragons ? (Acte 1, scène 23, MADAME GUIMAUVIN)
Si Valère était ici, encore... (Acte 1, scène 23, MADAME GUIMAUVIN)
Sa chaise de poste vient de rompre à demi lieue d'ici, Madame, il est au désespoir ; il m'a dit de prendre les devants pour... (Acte 1, scène 14, LA ROCHE)
Voici mon père, éloigne-toi, va te débotter, et reviens ici parler à Madame Guimauvin, ou à moi ; on a des choses de conséquence à te dire. (Acte 1, scène 14, BABET)
Avec Madame Guimauvin, et avec un maître fripon, que je connais pour le valet de chambre de ce petit Officier qui vous muguetait ce printemps, et que je vous ai défendu de voir. (Acte 1, scène 15, MONSIEUR GROGNET)
L'arrivée du petit Officier nous tirera d'intrigue. (Acte 1, scène 19, MADAME GUIMAUVIN)
Cela sera difficile : et à propos de quoi, s'il vous plaît, fait-il le ridicule ? (Acte 1, scène 17, LA ROCHE)
Demeure ici, la Roche, pour attendre ton maître ; et sitôt qu'il sera venu, dis-lui qu'il nous vienne trouver, je te prie. (Acte 1, scène 17, BABET)
Voici pourtant une affaire assez délicate ; et si Monsieur mon maître, par aventure, était las de son mariage, comme ce n'est qu'un mariage à la dragonne, nous pourrions bien... (Acte 1, scène 18, LA ROCHE)
Qu'est-ce que le bonhomme vient faire ici ? (Acte 1, scène 19, LA ROCHE)
Et qui te fait venir ici toi ? (Acte 1, scène 19, LE BARON)
Oui, Monsieur ; et si vous en voulez savoir davantage, sa chaise de poste est dans une ornière : mais j'espère qu'elle en sortira, et qu'ils arriveront bientôt ici tous deux ce compagnie. (Acte 1, scène 19, LA ROCHE)
Écoute, va dire à ton maître que je suis ici, que je ne l'y veux point voir, entends-tu ? (Acte 1, scène 19, LE BARON)
Tenez, Monsieur, alle était ici tout à l'heure, et vela encore Monsieur de la Roche qui vous dira... (Acte 1, scène 21, BLAISE)
On veut marier votre femme, cela n'est rien ; votre père est ici, c'est le diable. (Acte 1, scène 21, LA ROCHE)
Mon père est ici ! (Acte 1, scène 21, VALÈRE)
Oh, par ma foi en voici bien d'une autre ; je ne m'étonne plus qu'il soit fâché de nous savoir ici, il ne veut pas que nous soyons de la noce. (Acte 1, scène 21, LA ROCHE)
Mademoiselle Babet vous attend chez Madame Guimauvin, qui est une femme de conseil et d'expédition : allez prendre langue avec elle, et me laissez ici attendre le bonhomme de pied ferme. (Acte 1, scène 21, LA ROCHE)
Voici deux personnes de ma connaissance ; quel marché font-ils ensemble ? (Acte 1, scène 23, LA ROCHE)
Ne vous avisez pas au moins de faire connaître ici que... (Acte 1, scène 23, LA MARQUISE)
Y a-t-il ici bien des dupes d'amour et de jeu cette année ? (Acte 1, scène 23, LA ROCHE)
Voici Monsieur Grognet et le Baron. (Acte 1, scène 25, LE CHEVALIER)
Vous voulez bien, Messieurs, qu'on vous félicite l'un et l'autre de l'heureuse alliance que vous contractez. (Acte 1, scène 26, LE CHEVALIER)

L'IMPROMPTU DE GARNISON. (1692)

Que demandez-vous ici, Monsieur ? (Acte 1, scène 1, MARTON)
Vous étiez Abbé dans le temps que nous nous sommes vus à Paris, vous voilà maintenant Officier. (Acte 1, scène 1, MARTON)
Ma foi, Monsieur, cela vaut davantage ; nous sommes ici de nouveaux débarqués ; il faut un peu payer sa bienvenue : mettez trente pistoles ; comme elle n'est pas intéressée, elle en prendra plutôt trente que dix. (Acte 1, scène 1, MERLIN)
Ah, que vous me proposez-là une chose difficile, Monsieur ! (Acte 1, scène 1, MARTON)
Comment difficile ? (Acte 1, scène 1, MERLIN)
Ce qui m'embarrasse, c'est qu'il y a ici un certain Espagnol, qui depuis deux ans est amoureux de ma maîtresse. (Acte 1, scène 1, MARTON)
Il sera bien difficile à un Français de faire déguerpir un Espagnol, n'est-ce pas ? (Acte 1, scène 1, MERLIN)
Voici ma maîtresse et la vôtre. (Acte 1, scène 1, MARTON)
C'est donc parce que vous êtes à moi, Marton, que ce jeune officier? (Acte 1, scène 2, ANGÉLIQUE)
Presque tous leurs Officiers vous parurent bien faits ; vous louiez la taille de celui-ci, l'air et la démarche de celui-là ; et qu'il vous en souvienne, vous me dites le soir en confidence qu'il y en avait un que vous aviez plus remarqué que les autres. (Acte 1, scène 2, MARTON)
Écoutez votre nouvel amant, le voici qui approche ; quelqu'un lui aura dit que votre Tante est sortie ; il est Français, il sait profiter de l'occasion. (Acte 1, scène 2, MARTON)
Madame, c'est ici une de ces aventures qui déconcerte un Cavalier. (Acte 1, scène 3, CLITANDRE)
Voici une affaire qu'il faut brusquer. (Acte 1, scène 3, MARTON)
Deux jeunes Amants veulent-ils parvenir au comble de la félicité ? (Acte 1, scène 3, CLITANDRE)
Quelque Officier, apparemment ? (Acte 1, scène 4, MERLIN)
Hé, vraiment oui, c'est un officier de notre défunte garnison, justement. (Acte 1, scène 4, MARTON)
Voici quelqu'un. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
C'est le valet de chambre de quelque officier français, Marton ? (Acte 1, scène 6, ARAMINTE)
Je ne suis point trop fâchée que les Français soient ici, Marton, nous aurons nouvelle compagnie. (Acte 1, scène 6, ARAMINTE)
Vous voyez, Madame, ce que peut l'amour sur un coeur bien fait : c'est lui qui me retient ici quand tous les autres sont dans le Château. (Acte 1, scène 8, DON JULIEN)
Je ne puis demeurer ici longtemps encore. (Acte 1, scène 10, DON JULIEN)
Préparez-vous, Madame, à recevoir un Marquis de conséquence, qui vient ici vous rendre visite. (Acte 1, scène 11, MARTON)
Il va en venir ici un, dis-tu ? (Acte 1, scène 11, ARAMINTE)
Le voici, Madame. (Acte 1, scène 11, MARTON)
Je n'ai pas l'honneur de vous connaître ; vous venez ici pour la première fois, et vous voulez déjà m'épouser. (Acte 1, scène 12, ARAMINTE)
Savez-vous bien, seigneur Don Julien, puisque Don Julien y a, qu'il y a ici des fenêtres. (Acte 1, scène 13, MERLIN)
Voici mon cadet, ma Princesse. (Acte 1, scène 14, MERLIN)
Il n'est point ici question de bagatelle ; il s'agit d'épouser au moins. (Acte 1, scène 15, MERLIN)
Voici Monsieur griffon, mon Notaire. (Acte 1, scène 15, ARAMINTE)
Cela ne sera pas bien difficile, Madame. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR GRIFFON)
Que diable venez-vous faire ici, quand vous me savez en bonne fortune ; vous avez bonne grâce de me venir détourner. (Acte 1, scène 17, MERLIN)

Dans les 1895 textes du corpus, il y a 51 textes (soit une présence dans 2,69 % des textes) dans lesquels il y a 1697 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 33,27 occurences par texte.

n°	Titres	Prologue	Acte 2	Acte 1	Acte 3	Acte 4	Acte 5	Acte 6	Total
1	L'OP?RATEUR BARRY	3	6	0	0	0	0	0	9
2	LES AGIOTEURS	0	15	7	20	0	0	0	42
3	LES ENFANTS DE PARIS	0	10	15	12	6	4	0	47
4	LES FONDS PERDUS	0	7	10	17	0	0	0	34
5	LA TRAHISON PUNIE	0	11	8	17	10	9	0	55
6	L'IMPROMPTU DE SURESNES	0	30	0	0	0	0	0	30
7	L'IMPROMPTU DE SURESNES	0	10	0	0	0	0	0	10
8	LE CHEVALIER ? LA MODE	0	19	12	10	8	14	0	63
9	LA F?TE DE VILLAGE.	0	3	12	13	0	0	0	28
10	LA COM?DIE DES COM?DIENS	0	10	15	28	0	0	0	53
11	SANCHO PANÇA, GOUVERNEUR	0	12	16	7	8	12	0	55
12	SECOND CHAPITRE DU DIABLE BOITEUX	0	18	5	0	0	0	0	23
13	SECOND CHAPITRE DU DIABLE BOITEUX	0	4	0	0	0	0	0	4
14	LA FEMME D'INTRIGUES.	0	7	8	12	23	12	0	62
15	LES F?ES.	0	19	0	0	10	0	0	29
16	LES FÉES.	0	2	2	0	1	0	0	5
17	LES BOURGEOISES ? LA MODE.	0	8	12	16	7	10	0	53
18	LA MÉTEMPSYCOSE	0	22	10	22	4	12	0	70
19	NOUVEAU PROLOGUE, ET NOUVEAUX DIVERTISSEMENTS	0	13	5	0	0	0	0	18
20	CÉPHALE ET PROCRIS	0	23	1	20	6	0	0	50
21	MADAME ARTUS	0	10	17	17	9	13	0	66
22	LES VACANCES	0	0	44	0	0	0	0	44
23	LES VACANCES	0	0	3	0	0	0	0	3
24	LA D?ROUTE DU PHARAON	0	0	26	0	0	0	0	26
25	LA DÉROUTE DU PHARAON	0	0	1	0	0	0	0	1
26	LA MAISON DE CAMPAGNE	0	0	35	0	0	0	0	35
27	LE GALANT JARDINIER	0	0	35	0	0	0	0	35
28	LE GALANT JARDINIER	0	0	3	0	0	0	0	3
29	LES CURIEUX DE COMPI?GNE	0	0	28	0	0	0	0	28
30	LES CURIEUX DE COMPIÈGNE	0	0	4	0	0	0	0	4
31	NOUVEAU PROLOGUE, ET NOUVEAUX DIVERTISSEMENTS	0	0	6	4	1	4	7	22
32	RENAUD ET ARMIDE	0	0	21	0	0	0	0	21
33	RENAUD ET ARMIDE	0	0	5	0	0	0	0	5
34	LA FOLLE ENCH?RE	0	0	37	0	0	0	0	37
35	LE RETOUR DES OFFICIERS	0	0	25	0	0	0	0	25
36	LE RETOUR DES OFFICIERS	0	0	1	0	0	0	0	1
37	L'OP?RA DE VILLAGE	0	0	19	0	0	0	0	19
38	DIVERTISSEMENT DE SCEAUX	0	0	3	0	0	0	0	3
39	LE CHARIVARI	0	0	20	0	0	0	0	20
40	LE VERT-GALANT	0	0	31	0	0	0	0	31
41	LE VERT-GALANT	0	0	2	0	0	0	0	2
42	LE BON SOLDAT	0	0	28	0	0	0	0	28
43	LE PRIX DE L'ARQUEBUSE	0	0	17	0	0	0	0	17
44	LES F?TES NOCTUNES DU COURS	0	0	33	0	0	0	0	33
45	LES FÊTES NOCTUNES DU COURS	0	0	8	0	0	0	0	8
46	LE DIABLE BOITEUX	0	0	35	0	0	0	0	35
47	LE DIABLE BOITEUX	0	0	5	0	0	0	0	5
48	COLIN-MAILLARD.	0	0	22	0	0	0	0	22
49	LA PARISIENNE	0	0	22	0	0	0	0	22
50	L'?T? DES COQUETTES	0	0	15	0	0	0	0	15
51	LA D?SOLATION DES JOUEUSES	0	0	17	0	0	0	0	17
52	L'IMPROMPTU DE LIVRY	0	0	2	0	0	0	0	2
53	LA FOIRE DE BESONS	0	0	30	0	0	0	0	30
54	LA FOIRE DE BESONS	0	0	4	0	0	0	0	4
55	LA FOIRE SAINT GERMAIN	0	0	32	0	0	0	0	32
56	LA FOIRE SAINT GERMAIN	0	0	1	0	0	0	0	1
57	LES VENDANGES DE SURESNES	0	0	29	0	0	0	0	29
58	LA LOTERIE	0	0	21	0	0	0	0	21
59	LE MOULIN DE JAVELLE.	0	0	41	0	0	0	0	41
60	LA GAZETTE	0	0	28	0	0	0	0	28
61	LE MARI RETROUV?	0	0	14	0	0	0	0	14
62	LE TUTEUR	0	0	29	0	0	0	0	29
63	LES VENDANGES	0	0	7	0	0	0	0	7
64	LES EAUX DE BOURBON	0	0	44	0	0	0	0	44
65	L'IMPROMPTU DE GARNISON.	0	0	31	0	0	0	0	31
66	LA FÊTE DE VILLAGE.	0	0	0	0	7	0	0	7
67	LA COMÉDIE DES COMÉDIENS	0	0	0	0	3	0	0	3
68	LA FEMME D'INTRIGUES.	0	0	0	0	1	0	0	1
	Total	3	259	1019	215	104	90	7	1697